Cette année ne semble pas connaître de répit en ce qui concerne les crimes. On compte à ce sujet un nombre important de meurtres enregistrés par les services de sécurité depuis le début de l'année 2015. Cette année ne semble pas connaître de répit en ce qui concerne les crimes. On compte à ce sujet un nombre important de meurtres enregistrés par les services de sécurité depuis le début de l'année 2015. Parfois, avec une horreur sans limite, dépassant tout entendement, comme ce fut le cas il y a quelques jours dans la wilaya de Tlemcen où un homme a été tué avant que ses bourreaux ne mettent le feu à son corps qui a été retrouvé carbonisé. L'affaire a été résolue grâce à un appel effectué par un citoyen sur le numéro vert de la Gendarmerie nationale, le 10 55, parvenu au groupement territorial. Il avisait de la découverte d'un cadavre carbonisé, à bord d'un véhicule. La voiture était calcinée et se trouvait à hauteur du village El-Hrayak, dans la commune de Djebala, selon un communiqué de presse de la cellule de communication du commandement de la Gendarmerie nationale. Les gendarmes de la brigade locale se sont aussitôt déplacés sur les lieux où ils ont établi, après constatations qu'il s'agit du corps d'un homme de 32 ans, pour ensuite lancer les investigations. Mais dans la soirée même, à 21h45, l'auteur principal du crime, un homme âgé de 50 ans, s'est livré de son propre chef à ladite brigade et il a reconnu les faits qui lui sont reprochés. L'enquête a démontré qu'au moment où ce dernier s'adonnait à la consommation de boissons alcoolisées avec la victime dans une habitation inoccupée, sise au village El-Houanet, toujours dans la commune de Djebala, une rixe a éclaté entre les deux protagonistes. Le mis en cause n'a pas hésité ainsi à porter des coups de pierres à la victime, lui occasionnant des blessures mortelles à la tête, pour ensuite embarquer son corps à bord de son véhicule et d'y mettre le feu pour ne laisser aucune trace de son crime. Cependant, le criminel n'a pas agi seul mais il a payé quatre personnes la somme de 7 millions de centimes chacun pour l'aider dans sa macabre besogne. Identifiés, ces derniers seront également arrêtés pour être tous présentés devant le procureur de la République près le tribunal de Ghazaouet pour homicide volontaire avec préméditation, enlèvement et non dénonciation d'un crime. Quatre d'entre eux ont été mis sous mandat de dépôt et le dernier a été placée sous contrôle judiciaire. Ce crime vient nous rappeler la triste réalité qui caractérise depuis quelques années la société algérienne, devenue de plus en plus violente, quel que soit le niveau et à toutes les échelles. En 2014, les atteintes contre les personnes, de plus en plus en hausse, représentaient plus de 44 % de la criminalité de droit commun. Durant l'année écoulée, les services de la Gendarmerie nationale ont enregistré plus de 18.620 affaires et procédé à l'arrestation de 19.786 personnes. Les grandes wilayas sont les plus touchées par cette forme de criminalité, à l'instar d'Alger (1.200), Sétif (974), Oran (911), Béjaïa (781), et Tipaza (760). Et dans les atteintes contre les personnes, le meurtre reste le plus abject des crimes. Un crime qui a pris ces dernières années des proportions inquiétantes dans notre pays. Les chiffres de la Gendarmerie nationale indiquent à ce sujet le traitement, en 2014, de 450 affaires d'homicides volontaires alors que pour les coups et blessures volontaires, qui représentent 6 % des atteintes contre les personnes, 11.772 affaires ont été enregistrées par la Gendarmerie nationale. Parfois, avec une horreur sans limite, dépassant tout entendement, comme ce fut le cas il y a quelques jours dans la wilaya de Tlemcen où un homme a été tué avant que ses bourreaux ne mettent le feu à son corps qui a été retrouvé carbonisé. L'affaire a été résolue grâce à un appel effectué par un citoyen sur le numéro vert de la Gendarmerie nationale, le 10 55, parvenu au groupement territorial. Il avisait de la découverte d'un cadavre carbonisé, à bord d'un véhicule. La voiture était calcinée et se trouvait à hauteur du village El-Hrayak, dans la commune de Djebala, selon un communiqué de presse de la cellule de communication du commandement de la Gendarmerie nationale. Les gendarmes de la brigade locale se sont aussitôt déplacés sur les lieux où ils ont établi, après constatations qu'il s'agit du corps d'un homme de 32 ans, pour ensuite lancer les investigations. Mais dans la soirée même, à 21h45, l'auteur principal du crime, un homme âgé de 50 ans, s'est livré de son propre chef à ladite brigade et il a reconnu les faits qui lui sont reprochés. L'enquête a démontré qu'au moment où ce dernier s'adonnait à la consommation de boissons alcoolisées avec la victime dans une habitation inoccupée, sise au village El-Houanet, toujours dans la commune de Djebala, une rixe a éclaté entre les deux protagonistes. Le mis en cause n'a pas hésité ainsi à porter des coups de pierres à la victime, lui occasionnant des blessures mortelles à la tête, pour ensuite embarquer son corps à bord de son véhicule et d'y mettre le feu pour ne laisser aucune trace de son crime. Cependant, le criminel n'a pas agi seul mais il a payé quatre personnes la somme de 7 millions de centimes chacun pour l'aider dans sa macabre besogne. Identifiés, ces derniers seront également arrêtés pour être tous présentés devant le procureur de la République près le tribunal de Ghazaouet pour homicide volontaire avec préméditation, enlèvement et non dénonciation d'un crime. Quatre d'entre eux ont été mis sous mandat de dépôt et le dernier a été placée sous contrôle judiciaire. Ce crime vient nous rappeler la triste réalité qui caractérise depuis quelques années la société algérienne, devenue de plus en plus violente, quel que soit le niveau et à toutes les échelles. En 2014, les atteintes contre les personnes, de plus en plus en hausse, représentaient plus de 44 % de la criminalité de droit commun. Durant l'année écoulée, les services de la Gendarmerie nationale ont enregistré plus de 18.620 affaires et procédé à l'arrestation de 19.786 personnes. Les grandes wilayas sont les plus touchées par cette forme de criminalité, à l'instar d'Alger (1.200), Sétif (974), Oran (911), Béjaïa (781), et Tipaza (760). Et dans les atteintes contre les personnes, le meurtre reste le plus abject des crimes. Un crime qui a pris ces dernières années des proportions inquiétantes dans notre pays. Les chiffres de la Gendarmerie nationale indiquent à ce sujet le traitement, en 2014, de 450 affaires d'homicides volontaires alors que pour les coups et blessures volontaires, qui représentent 6 % des atteintes contre les personnes, 11.772 affaires ont été enregistrées par la Gendarmerie nationale.