Le ministre de la Communication, Hamid Grine, a indiqué jeudi à Alger que la concrétisation du projet du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, relatif à la professionnalisation de la presse se poursuivra "quelles que soient les circonstances". Le ministre de la Communication, Hamid Grine, a indiqué jeudi à Alger que la concrétisation du projet du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, relatif à la professionnalisation de la presse se poursuivra "quelles que soient les circonstances". Nous "concrétiserons le projet du président de la République relatif à la professionnalisation de la presse quelles que soient les circonstances", a souligné M. Grine lors d'une conférence de presse à l'issue d'une rencontre sur "l'éthique de l'information", précisant que cela "interviendra dans les six ou huit prochains mois". La professionnalisation de la presse passe par la formation, l'éthique et la conscience, at- il soutenu. Evoquant la formation, il a regretté qu'un nombre réduit de journaux consacrent 2 % de leurs recettes à la formation, comme le prévoit la loi. La liberté d'expression et le pluralisme médiatique ne veulent pas dire insulte, diffamation et violence verbale pour l'audiovisuel et écrite pour la presse écrite, a insisté le ministre. Concernant la carte nationale de journaliste professionnel, M. Grine a fait savoir que la commission provisoire avaient délivré quelque 2.300 cartes à ce jour, ajoutant que l'opération se poursuivra au cours des six prochains mois avant l'élection des membres du conseil d'éthique et de la commission permanente de la carte de journaliste. Interrogé sur la loi sur la publicité, le ministre a précisé que le texte était "prêt". Les journalistes pourront le consulter dans trois mois, a-t-il dit. Concernant la création du Prix Assia-Djebar par l'Anep, Hamid Grine a souligné que cette initiative visait à "promouvoir la littérature et l'écriture en Algérie", précisant que "l'Anep est prête à collaborer avec l'Enag, qui relève du ministère de la Culture, pour la concrétisation de ce projet". Le Président-directeur général de l'Anep, Ahmed Boucenna, a, pour sa part, affirmé que le projet de création du prix Assia-Djebar était à un "stade avancé", précisant que les membres du jury avaient été nommés et que le règlement intérieur avait été élaboré. Le site Web du prix sera, quant à lui, lancé "incessamment". Sur un autre plan, le ministre de la Communication, Hamid Grine, a appelé les correspondants des chaînes et des journaux étrangers à respecter l'éthique de la profession. Lors d'une conférence de presse à l'issue d'une rencontre sur "l'éthique de l'information", M. Grine a souligné que l'Etat algérien avait le droit de ne pas renouveler l'accréditation des correspondants des chaînes et des journaux étrangers qui insultent, diffament ou usent de violence verbale ou écrite, ajoutant que "les correspondants étrangers doivent respecter les règles". Le ministère de la Communication rendra public jeudi après-midi un communiqué dans lequel il rappelle les correspondants des chaînes et des journaux étrangers en Algérie à la nécessité de respecter les lois algériennes et l'éthique de la profession et d'éviter l'insulte, la violence et la diffamation, "faute de quoi ils se verront retirer leurs accréditations", a fait savoir le ministre. La position du gouvernement algérien en la matière est "claire et ne changera pas", a affirmé Hamid Grine, soutenant que son ministère "ne reculera pas devant la violence, l'insulte et la diffamation". Nous "concrétiserons le projet du président de la République relatif à la professionnalisation de la presse quelles que soient les circonstances", a souligné M. Grine lors d'une conférence de presse à l'issue d'une rencontre sur "l'éthique de l'information", précisant que cela "interviendra dans les six ou huit prochains mois". La professionnalisation de la presse passe par la formation, l'éthique et la conscience, at- il soutenu. Evoquant la formation, il a regretté qu'un nombre réduit de journaux consacrent 2 % de leurs recettes à la formation, comme le prévoit la loi. La liberté d'expression et le pluralisme médiatique ne veulent pas dire insulte, diffamation et violence verbale pour l'audiovisuel et écrite pour la presse écrite, a insisté le ministre. Concernant la carte nationale de journaliste professionnel, M. Grine a fait savoir que la commission provisoire avaient délivré quelque 2.300 cartes à ce jour, ajoutant que l'opération se poursuivra au cours des six prochains mois avant l'élection des membres du conseil d'éthique et de la commission permanente de la carte de journaliste. Interrogé sur la loi sur la publicité, le ministre a précisé que le texte était "prêt". Les journalistes pourront le consulter dans trois mois, a-t-il dit. Concernant la création du Prix Assia-Djebar par l'Anep, Hamid Grine a souligné que cette initiative visait à "promouvoir la littérature et l'écriture en Algérie", précisant que "l'Anep est prête à collaborer avec l'Enag, qui relève du ministère de la Culture, pour la concrétisation de ce projet". Le Président-directeur général de l'Anep, Ahmed Boucenna, a, pour sa part, affirmé que le projet de création du prix Assia-Djebar était à un "stade avancé", précisant que les membres du jury avaient été nommés et que le règlement intérieur avait été élaboré. Le site Web du prix sera, quant à lui, lancé "incessamment". Sur un autre plan, le ministre de la Communication, Hamid Grine, a appelé les correspondants des chaînes et des journaux étrangers à respecter l'éthique de la profession. Lors d'une conférence de presse à l'issue d'une rencontre sur "l'éthique de l'information", M. Grine a souligné que l'Etat algérien avait le droit de ne pas renouveler l'accréditation des correspondants des chaînes et des journaux étrangers qui insultent, diffament ou usent de violence verbale ou écrite, ajoutant que "les correspondants étrangers doivent respecter les règles". Le ministère de la Communication rendra public jeudi après-midi un communiqué dans lequel il rappelle les correspondants des chaînes et des journaux étrangers en Algérie à la nécessité de respecter les lois algériennes et l'éthique de la profession et d'éviter l'insulte, la violence et la diffamation, "faute de quoi ils se verront retirer leurs accréditations", a fait savoir le ministre. La position du gouvernement algérien en la matière est "claire et ne changera pas", a affirmé Hamid Grine, soutenant que son ministère "ne reculera pas devant la violence, l'insulte et la diffamation".