La cherté de l'aliment du bétail est devenue le handicap face auquel nombreux sont les éleveurs à tirer la sonnette d'alarme. La cherté de l'aliment du bétail est devenue le handicap face auquel nombreux sont les éleveurs à tirer la sonnette d'alarme. Les éleveurs restent, dans leur majorité, préoccupés par l'envolée des prix de l'aliment du bétail. Si cela continue, les prix de la viande risquent de connaître des tarifs hors de portée. La cherté de l'aliment du bétail est devenue le handicap face auquel nombreux sont les éleveurs qui lancent une sonnette d'alarme. Aussi, indique-t-on que l'aliment du bétail coûte actuellement 4.000 DA, la botte de foin à 1.600 DA et une botte de paille est cédée à plus de 1.000 DA. Une situation qui n'arrange guère les professionnels de cette filière qui crient leur ras-le-bol face à ces pratiques. « Les prix trop élevés n'encouragent pas le développement et la promotion de lait et de viandes rouges dont le prix demeure élevé en raison de cette situation » tonne Rabah Ouguemat, président de la fédération des éleveurs qui regroupent la région du Centre et de certaines localités de l'Est. Si le nombre des éleveurs de la steppe forment l'ossature du métier à travers laquelle il y a des millions de cheptel ovin et bovin, c'est que ces éleveurs se trouvent pour la plupart endettés et mal soutenus. Ils crient à la « hogra» à cause d'un taux de crédit qui ne dépasse pas selon eux les 30 %. « C'est injuste », déplore le président de la fédération locale. Mais il n'est pas le seul à alerter les autorités sur les dangers qui guettent cette filière dont dépendent tous les Algériens dans leur alimentation. Le plus grave dans cette histoire, signale un des éleveurs des wilayas du Centre, c'est le manque flagrant des fourrages verts destinés à l'alimentation des vaches laitières qui est vu comme une menace pour les producteurs de lait qui en dépendent dans leur collecte. Une situation alambiquée qui risque selon ces professionnels de porter atteinte à la sécurité alimentaire des citoyens. Certains pessimistes n'excluent pas que cela va se répercuter sur les prix des viandes rouges qui seraient hors de portée avec la persistance de cette politique. Malgré les aides dont ont pu bénéficier certains éleveurs dans le cadre de la création de micro-entreprises, il n'en demeure pas moins que cela n'a pas contribué à l'efficacité de cette filière. Certains indiquent que les pâturages indispensables pour l'aliment du bétail se réduisent comme une peau de chagrin et la sécheresse dans les régions steppiques ont fortement perturbé en quantité et en qualité la nourriture du cheptel ovin et bovin. Au point où certains éleveurs ont été obligés de faire nourrir leur moutons ou vaches avec du lait mélangé aux céréales concassées. Sans compter que d'autres éleveurs sont obligés de vendre à bas prix des milliers de têtes surtout ovines pour ne pas trop s'endetter. Beaucoup de professionnels comptent à cet effet se regrouper durant ce mois en organisant des protestations et crier leur colère aux différents responsables du secteur. Ils espèrent alerter le premier responsable de l'agriculture et le Premier ministre pour regarder leur dossier de plus près et trouver des solutions appropriées à leurs doléances. Les éleveurs restent, dans leur majorité, préoccupés par l'envolée des prix de l'aliment du bétail. Si cela continue, les prix de la viande risquent de connaître des tarifs hors de portée. La cherté de l'aliment du bétail est devenue le handicap face auquel nombreux sont les éleveurs qui lancent une sonnette d'alarme. Aussi, indique-t-on que l'aliment du bétail coûte actuellement 4.000 DA, la botte de foin à 1.600 DA et une botte de paille est cédée à plus de 1.000 DA. Une situation qui n'arrange guère les professionnels de cette filière qui crient leur ras-le-bol face à ces pratiques. « Les prix trop élevés n'encouragent pas le développement et la promotion de lait et de viandes rouges dont le prix demeure élevé en raison de cette situation » tonne Rabah Ouguemat, président de la fédération des éleveurs qui regroupent la région du Centre et de certaines localités de l'Est. Si le nombre des éleveurs de la steppe forment l'ossature du métier à travers laquelle il y a des millions de cheptel ovin et bovin, c'est que ces éleveurs se trouvent pour la plupart endettés et mal soutenus. Ils crient à la « hogra» à cause d'un taux de crédit qui ne dépasse pas selon eux les 30 %. « C'est injuste », déplore le président de la fédération locale. Mais il n'est pas le seul à alerter les autorités sur les dangers qui guettent cette filière dont dépendent tous les Algériens dans leur alimentation. Le plus grave dans cette histoire, signale un des éleveurs des wilayas du Centre, c'est le manque flagrant des fourrages verts destinés à l'alimentation des vaches laitières qui est vu comme une menace pour les producteurs de lait qui en dépendent dans leur collecte. Une situation alambiquée qui risque selon ces professionnels de porter atteinte à la sécurité alimentaire des citoyens. Certains pessimistes n'excluent pas que cela va se répercuter sur les prix des viandes rouges qui seraient hors de portée avec la persistance de cette politique. Malgré les aides dont ont pu bénéficier certains éleveurs dans le cadre de la création de micro-entreprises, il n'en demeure pas moins que cela n'a pas contribué à l'efficacité de cette filière. Certains indiquent que les pâturages indispensables pour l'aliment du bétail se réduisent comme une peau de chagrin et la sécheresse dans les régions steppiques ont fortement perturbé en quantité et en qualité la nourriture du cheptel ovin et bovin. Au point où certains éleveurs ont été obligés de faire nourrir leur moutons ou vaches avec du lait mélangé aux céréales concassées. Sans compter que d'autres éleveurs sont obligés de vendre à bas prix des milliers de têtes surtout ovines pour ne pas trop s'endetter. Beaucoup de professionnels comptent à cet effet se regrouper durant ce mois en organisant des protestations et crier leur colère aux différents responsables du secteur. Ils espèrent alerter le premier responsable de l'agriculture et le Premier ministre pour regarder leur dossier de plus près et trouver des solutions appropriées à leurs doléances.