La participation des associations du mouvement associatif dans l'élaboration des lois est importante et donc fortement souhaitée. En tout cas la Fédération algérienne des consommateurs (FAC) en est amplement convaincue, d'où son appel aux pouvoirs publics à prendre en charge cette demande. La participation des associations du mouvement associatif dans l'élaboration des lois est importante et donc fortement souhaitée. En tout cas la Fédération algérienne des consommateurs (FAC) en est amplement convaincue, d'où son appel aux pouvoirs publics à prendre en charge cette demande. Le « gouvernement doit faire participer le mouvement associatif à l'élaboration des lois » a, ainsi, indiqué Hassan Mnaouar, président d'une association de protection des consommateurs de la wilaya d'Alger et vice-président de la FAC. Hassan Mnaouar, qui s'exprimait hier lors du forum du journal El Moudjahid, a, sur ce plan révélé que la fédération a été consultée par les pouvoirs public dans l'élaboration de certaines lois ce qui a permis de défendre les droits des consommateurs et surtout de mieux les protéger. Il en a été ainsi, dira le président de la FAC, Zaki Hariz, a propos du dernier décret relatif à l'importation et à la commercialisation des véhicules. Ce décret exécutif, promulgué au début de l'année en cours, a, pour rappel, énoncé que les véhicules neufs importés doivent être conformes aux modèles homologués et répondre aux normes de sécurité reconnues à l'échelle mondiale et ce, dans le seul souci de renforcer la protection des automobilistes en particulier et des Algériens en général. Hassan Mnaouar a mis en avant le nombre élevé des accidents de la route et la mort de milliers de personnes chaque année. La FAC va militer maintenant pour la création d'un laboratoire à même de contrôler les véhicules neufs importés et voir si oui ou non ils répondent aux normes édictées par les dispositions du cahier des charges comme indiqué dans le décret exécutif en question. L'intervenant a aussi souligné que la FAC a été aussi consultée lors de l'élaboration du plan national de lutte contre les maladies non transmissibles et est en train de faire pression pour l'élaboration d'une loi devant permettre la réduction de l'émission du monoxyde de carbonne. Mais beaucoup de choses restent encore à faire, notent les deux responsables de la FAC. Zaki Hariz a, dans ce sens, lancé un nouvel appel en direction des pouvoirs publics afin de mettre en place un réseau d'alerte qui devrait permettre de retirer du marché de manière rapide et efficace des produits de consommation dangereuxpour la santé des consommateurs. Ce d'autant que de temps à autre des produits impropres à la consommation et donc dangereux pour la santé sont commercialisés et les exemples ne manquent pas sur ce plan. Tout recemment un yaourt pour enfants, produit par une grande marque internationale, a été signalé. « Le risque zéro n'existe pas et cela peut même se produire dans les pays développés les mieux outillés » dira Hassan Mnaouar ajoutant qu'il faut toujours être vigilant. Le même appel a été lancé s'agissant de l'institution du conseil national des consommateurs qui fait actuellement défaut. Cela dit, il n'en demeure pas moins que la FAC a été fortement interpellée lors du forum d'hier sur ses actions. « Nous nous efforçons toujours de sensibiliser les consommateurs afin qu'ils ne consomment pas n'importe quoi. Nous menons aussi des campagnes dans les écoles pour prépare le consommateur de demain » dira Hariz, alors que Mnaouar a précisé que « nous sommes dépourvus de moyens juridiques devant nous permettre d'intervenir le cas échéant car nous ne sommes pas des policiers ». Cela dit, les deux intervenants ont indiqué qu'il y a une meilleure collaboration avec les services du ministère du Commerce. Sur la flambée des prix des fruits et légumes et l'incapacité de la FAC à protéger le consommateurs les deux invités du journal El Moudjahid ont accusé les spéculateurs tout en reconnaissant l'anarchie qui prévaut dans l'organisation du circuit de commercialisation et l'impuissance des pouvoirs publics a réguler le marché. Enfin, il faut savoir que sur 33 associations de protection des consommateurs sur les 45 existantes sur le territoire national ont rejoint la FAC Le « gouvernement doit faire participer le mouvement associatif à l'élaboration des lois » a, ainsi, indiqué Hassan Mnaouar, président d'une association de protection des consommateurs de la wilaya d'Alger et vice-président de la FAC. Hassan Mnaouar, qui s'exprimait hier lors du forum du journal El Moudjahid, a, sur ce plan révélé que la fédération a été consultée par les pouvoirs public dans l'élaboration de certaines lois ce qui a permis de défendre les droits des consommateurs et surtout de mieux les protéger. Il en a été ainsi, dira le président de la FAC, Zaki Hariz, a propos du dernier décret relatif à l'importation et à la commercialisation des véhicules. Ce décret exécutif, promulgué au début de l'année en cours, a, pour rappel, énoncé que les véhicules neufs importés doivent être conformes aux modèles homologués et répondre aux normes de sécurité reconnues à l'échelle mondiale et ce, dans le seul souci de renforcer la protection des automobilistes en particulier et des Algériens en général. Hassan Mnaouar a mis en avant le nombre élevé des accidents de la route et la mort de milliers de personnes chaque année. La FAC va militer maintenant pour la création d'un laboratoire à même de contrôler les véhicules neufs importés et voir si oui ou non ils répondent aux normes édictées par les dispositions du cahier des charges comme indiqué dans le décret exécutif en question. L'intervenant a aussi souligné que la FAC a été aussi consultée lors de l'élaboration du plan national de lutte contre les maladies non transmissibles et est en train de faire pression pour l'élaboration d'une loi devant permettre la réduction de l'émission du monoxyde de carbonne. Mais beaucoup de choses restent encore à faire, notent les deux responsables de la FAC. Zaki Hariz a, dans ce sens, lancé un nouvel appel en direction des pouvoirs publics afin de mettre en place un réseau d'alerte qui devrait permettre de retirer du marché de manière rapide et efficace des produits de consommation dangereuxpour la santé des consommateurs. Ce d'autant que de temps à autre des produits impropres à la consommation et donc dangereux pour la santé sont commercialisés et les exemples ne manquent pas sur ce plan. Tout recemment un yaourt pour enfants, produit par une grande marque internationale, a été signalé. « Le risque zéro n'existe pas et cela peut même se produire dans les pays développés les mieux outillés » dira Hassan Mnaouar ajoutant qu'il faut toujours être vigilant. Le même appel a été lancé s'agissant de l'institution du conseil national des consommateurs qui fait actuellement défaut. Cela dit, il n'en demeure pas moins que la FAC a été fortement interpellée lors du forum d'hier sur ses actions. « Nous nous efforçons toujours de sensibiliser les consommateurs afin qu'ils ne consomment pas n'importe quoi. Nous menons aussi des campagnes dans les écoles pour prépare le consommateur de demain » dira Hariz, alors que Mnaouar a précisé que « nous sommes dépourvus de moyens juridiques devant nous permettre d'intervenir le cas échéant car nous ne sommes pas des policiers ». Cela dit, les deux intervenants ont indiqué qu'il y a une meilleure collaboration avec les services du ministère du Commerce. Sur la flambée des prix des fruits et légumes et l'incapacité de la FAC à protéger le consommateurs les deux invités du journal El Moudjahid ont accusé les spéculateurs tout en reconnaissant l'anarchie qui prévaut dans l'organisation du circuit de commercialisation et l'impuissance des pouvoirs publics a réguler le marché. Enfin, il faut savoir que sur 33 associations de protection des consommateurs sur les 45 existantes sur le territoire national ont rejoint la FAC