Au moment ou l'on parle d'une éventuelle annulation des examens du 2e trimestre, le département de Benghebrit renonce à l'idée d'une date nationale pour l'examen du Bac blanc. Prévu initialement pour le 24 mai, cet examen sera organisé en fonction des conditions de chaque wilaya, à l'issue des réunions qui seront tenues entre les directions locales de l'éducation et les chefs d'établissements. Au moment ou l'on parle d'une éventuelle annulation des examens du 2e trimestre, le département de Benghebrit renonce à l'idée d'une date nationale pour l'examen du Bac blanc. Prévu initialement pour le 24 mai, cet examen sera organisé en fonction des conditions de chaque wilaya, à l'issue des réunions qui seront tenues entre les directions locales de l'éducation et les chefs d'établissements. Ce chamboulement est la conséquence directe de la grève dans le secteur de l'Education depuis maintenant plus d'un mois. L'inspecteur général de l'Education, Medjadi Mseguem, a annoncé donc cette nouvelle : « Nous avons accordé une autonomie aux direction de wilayas pour fixer la date du Bac blanc ». Le représentant du ministère, qui était en visite dans la wilaya de Tizi-Ouzou a, par ailleurs, rassuré les candidats au Bac de cette wilaya en annonçant qu'ils ne seront examinés « que sur les cours effectivement dispensés ». Medjadi Mseguem a rencontré des élèves au niveau du lycée du 20-Août- 1955 de la ville des Genêts, rassurant que les élèves des classes de terminale, dont la scolarité est interrompue depuis deux mois suite à la grève du Cnapest « ne seront examinés que sur les leçons dispensées en classe avec leurs enseignants ». M. Medjadi a précisé que« les CD mis à leur disposition par le ministère de l'Education nationale, n'ont pas pour objectif de remplacer l'enseignant qui reste un élément essentiel dans la construction du savoir ». Il a rappelé que les CD « contiennent un répertoire de toutes les leçons des matières dispensées en classe terminale dans les différentes filières ». « Ce support est destiné à aider les élèves à réviser leurs cours pendant cette période de grève, que ce soit chez eux ou au niveau des établissements scolaires », a-t-il affirmé. Medjadi Mseguem a, par ailleurs, informé les élèves que « les examens du 2e trimestre ne sont pas importants puisque le ministère a annulé pour cette année l'application de la fiche d'évaluation ». De son côté le Cnapest ne veut pas abdiquer malgré les répercussions que cela peut avoir sur l'avenir des lycéens. Des sit-in ont été organisés lundi dernier devant des directions de l'éducation dans différentes wilayas par des enseignants grévistes. Le Cnapest affirme que le suivi de sa grève est de 80 % dans le secondaire et de 30 % dans le moyen. Mais la question n'est pas de savoir qui a gagné dans cette bataille entre le syndicat et la tutelle, mais qui a vraiment à perdre dans cette histoire ? La réponse est claire et connue de tous : les enfants de l'Algérie et leur niveau d'instruction qui ne cesse de régresser. Ce chamboulement est la conséquence directe de la grève dans le secteur de l'Education depuis maintenant plus d'un mois. L'inspecteur général de l'Education, Medjadi Mseguem, a annoncé donc cette nouvelle : « Nous avons accordé une autonomie aux direction de wilayas pour fixer la date du Bac blanc ». Le représentant du ministère, qui était en visite dans la wilaya de Tizi-Ouzou a, par ailleurs, rassuré les candidats au Bac de cette wilaya en annonçant qu'ils ne seront examinés « que sur les cours effectivement dispensés ». Medjadi Mseguem a rencontré des élèves au niveau du lycée du 20-Août- 1955 de la ville des Genêts, rassurant que les élèves des classes de terminale, dont la scolarité est interrompue depuis deux mois suite à la grève du Cnapest « ne seront examinés que sur les leçons dispensées en classe avec leurs enseignants ». M. Medjadi a précisé que« les CD mis à leur disposition par le ministère de l'Education nationale, n'ont pas pour objectif de remplacer l'enseignant qui reste un élément essentiel dans la construction du savoir ». Il a rappelé que les CD « contiennent un répertoire de toutes les leçons des matières dispensées en classe terminale dans les différentes filières ». « Ce support est destiné à aider les élèves à réviser leurs cours pendant cette période de grève, que ce soit chez eux ou au niveau des établissements scolaires », a-t-il affirmé. Medjadi Mseguem a, par ailleurs, informé les élèves que « les examens du 2e trimestre ne sont pas importants puisque le ministère a annulé pour cette année l'application de la fiche d'évaluation ». De son côté le Cnapest ne veut pas abdiquer malgré les répercussions que cela peut avoir sur l'avenir des lycéens. Des sit-in ont été organisés lundi dernier devant des directions de l'éducation dans différentes wilayas par des enseignants grévistes. Le Cnapest affirme que le suivi de sa grève est de 80 % dans le secondaire et de 30 % dans le moyen. Mais la question n'est pas de savoir qui a gagné dans cette bataille entre le syndicat et la tutelle, mais qui a vraiment à perdre dans cette histoire ? La réponse est claire et connue de tous : les enfants de l'Algérie et leur niveau d'instruction qui ne cesse de régresser.