A fin de prévenir et de mieux lutter contre les maladies non transmissibles, les pouvoirs publics viennent de décider la création d'un comité multisectoriel. A fin de prévenir et de mieux lutter contre les maladies non transmissibles, les pouvoirs publics viennent de décider la création d'un comité multisectoriel. En effet, le décret exécutif numéro 15-72 portant création, missions, organisation et fonctionnement du comité national multisectoriel de prévention et de lutte contre les maladies non transmissibles, a été publié au Journal officiel numéro 9 du 18 février. Placé auprès du ministre chargé de la Santé, ce comité national est considéré comme un organe permanent de consultation, de concertation, de coordination, de suivi et d'évaluation des activités du plan national stratégique multisectoriel de prévention et de lutte contre les maladies non transmissibles. Cet organe est ainsi chargé de plusieurs missions. Selon l'article 6 de ce décret, signé de la main du Premier ministre, Abdelmalek Sellal, c'est à lui qu'échoit la mission d'élaborer les mécanismes de mise en oeuvre des activités du plan national de prévention et de lutte intégrée contre les facteurs de risque des maladies non transmissibles. Ce texte cite, notamment, le tabagisme et la mauvaise alimentation. En plus de cette mission, cet organe est aussi chargé d'assurer la coordination, le suivi et l'évaluation des activités du plan national de prévention et de lutte intégrée contre les facteurs de risque de ce type de maladies. De même qu'il veille, selon toujours l'article 6 du décret en question, à l'élaboration et la cohésion des plans d'actions sectoriels de concert avec tous les secteurs concernés, de recueillir, d'examiner, d'évaluer et de valider les rapports d'activités des différents secteurs concernés, ainsi que les rapports d'activités des comités de wilaya. Il est aussi question, au titre des missions, d'apporter l'appui technique nécessaire aux différents secteurs concernés dans le cadre de la mise en oeuvre du plan et de proposer toute mesure à caractère médical, technique, juridique ou administratif relative à la prévention et la lutte contre les maladies non transmissibles. Les missions de cet organe ne s'arrêtent pas à ce stade puisqu'il est chargé de proposer toute mesure visant à renforcer le cadre juridique et réglementaire de lutte contre les facteurs de risque des maladies non transmissibles, de proposer toute mesure de financement des activités de mise en oeuvre du plan opérationnel de prévention et de lutte contre ces maladies, d'initier des actions d'information, de sensibilisation et de communication sociale relatives à la prévention et la lutte, de susciter toute activité de recherche en rapport avec ses missions. C'est dire combien cet organe à des prérogatives importantes puisqu'il a la haute main sur tout ce qui concerne ces maladies. Le plan national est actualisé et adopté tous les cinq ans par le ministre de la Santé. C'est le ministre de la Santé qui préside ce comité multisectoriel au sein duquel siègent des représentants d'autres ministères, à l'exemple de ceux de l'intérieur et des collectivités locales, des finances, de l'agriculture, de la communication, de l'éducation nationale et de l'enseignement supérieur. D'autres organismes publics ayant un rapport avec le secteur de la santé sont aussi représentés dans le comité. La société civile n'est pas en reste puisque, pour ne citer que ces exemples, un représentant d'associations de protection des consommateurs, et un représentant d'associations de malades activant dans les maladiescibles, figurent parmi les membres du comité. Le décret a cité quelques maladiescibles, comme le cancer, le diabète, les maladies respiratoires chroniques ainsi que les maladies cardiovasculaires. Le mandat des membres du comité est fixé à cinq ans. Il faut relever que la création de comités de wilaya, placés sous l'autorité des walis, a été prévue par le décret exécutif. En effet, le décret exécutif numéro 15-72 portant création, missions, organisation et fonctionnement du comité national multisectoriel de prévention et de lutte contre les maladies non transmissibles, a été publié au Journal officiel numéro 9 du 18 février. Placé auprès du ministre chargé de la Santé, ce comité national est considéré comme un organe permanent de consultation, de concertation, de coordination, de suivi et d'évaluation des activités du plan national stratégique multisectoriel de prévention et de lutte contre les maladies non transmissibles. Cet organe est ainsi chargé de plusieurs missions. Selon l'article 6 de ce décret, signé de la main du Premier ministre, Abdelmalek Sellal, c'est à lui qu'échoit la mission d'élaborer les mécanismes de mise en oeuvre des activités du plan national de prévention et de lutte intégrée contre les facteurs de risque des maladies non transmissibles. Ce texte cite, notamment, le tabagisme et la mauvaise alimentation. En plus de cette mission, cet organe est aussi chargé d'assurer la coordination, le suivi et l'évaluation des activités du plan national de prévention et de lutte intégrée contre les facteurs de risque de ce type de maladies. De même qu'il veille, selon toujours l'article 6 du décret en question, à l'élaboration et la cohésion des plans d'actions sectoriels de concert avec tous les secteurs concernés, de recueillir, d'examiner, d'évaluer et de valider les rapports d'activités des différents secteurs concernés, ainsi que les rapports d'activités des comités de wilaya. Il est aussi question, au titre des missions, d'apporter l'appui technique nécessaire aux différents secteurs concernés dans le cadre de la mise en oeuvre du plan et de proposer toute mesure à caractère médical, technique, juridique ou administratif relative à la prévention et la lutte contre les maladies non transmissibles. Les missions de cet organe ne s'arrêtent pas à ce stade puisqu'il est chargé de proposer toute mesure visant à renforcer le cadre juridique et réglementaire de lutte contre les facteurs de risque des maladies non transmissibles, de proposer toute mesure de financement des activités de mise en oeuvre du plan opérationnel de prévention et de lutte contre ces maladies, d'initier des actions d'information, de sensibilisation et de communication sociale relatives à la prévention et la lutte, de susciter toute activité de recherche en rapport avec ses missions. C'est dire combien cet organe à des prérogatives importantes puisqu'il a la haute main sur tout ce qui concerne ces maladies. Le plan national est actualisé et adopté tous les cinq ans par le ministre de la Santé. C'est le ministre de la Santé qui préside ce comité multisectoriel au sein duquel siègent des représentants d'autres ministères, à l'exemple de ceux de l'intérieur et des collectivités locales, des finances, de l'agriculture, de la communication, de l'éducation nationale et de l'enseignement supérieur. D'autres organismes publics ayant un rapport avec le secteur de la santé sont aussi représentés dans le comité. La société civile n'est pas en reste puisque, pour ne citer que ces exemples, un représentant d'associations de protection des consommateurs, et un représentant d'associations de malades activant dans les maladiescibles, figurent parmi les membres du comité. Le décret a cité quelques maladiescibles, comme le cancer, le diabète, les maladies respiratoires chroniques ainsi que les maladies cardiovasculaires. Le mandat des membres du comité est fixé à cinq ans. Il faut relever que la création de comités de wilaya, placés sous l'autorité des walis, a été prévue par le décret exécutif.