Le sixième Forum international sur la vie et l'oeuvre de Kateb Yacine a pris fin lundi dernier en présence de nombreux chercheurs et universitaires étrangers et nationaux au théâtre régional Mahmoud-Triki de Guelma. Le sixième Forum international sur la vie et l'oeuvre de Kateb Yacine a pris fin lundi dernier en présence de nombreux chercheurs et universitaires étrangers et nationaux au théâtre régional Mahmoud-Triki de Guelma. Organisé par l'association locale pour la promotion du tourisme et l'action culturelle et sous le haut patronage de la ministre de la Culture et du wali de Guelma, ce conclave littéraire s'est penché durant trois jours (du 21 au 24 mars), dans la dissection d'un thème intitulé : « Les interactions culturelles, textuelles et artistiques dans les oeuvres katebiennes ». Vingt communications, en tout, ont été données sur Kateb Yacine par des chercheurs et des universitaires d'Algérie, de Tunisie, de France, des USA, de Belgique, d'Autriche et de Pologne. Pour rappel, une journée a été consacrée à la mise en relief de l'apport du texte katébien aux strates de la culture et à la littérature arabe contemporaine, lors de ce forum. Ce volet spécifique lié en appendice aux activités de la manifestation nationale de : « Constantine, capitale de la culture arabe » a été animé et disséqué par les conférenciers des pays arabes, conviés à ce forum. Pour cette dernière journée, l'écrivain Amar Médiene, à son tour, a eu droit à une intervention, en présentant des témoignages sur la vie de Kateb Yacine (1929-1989), ses relations avec l'artiste M'hamed Issyakhem et l'écrivain Malek Haddad. Il a évoqué l'expérience de Kateb Yacine, comme docker et comme journaliste à Alger Républicain entre 1949 et 1951, son voyage incognito en Arabie saoudite et au Soudan qui lui ont valu des reportages signés Saïd Lamri. Quant au prix littéraire international Kateb-Yacine, récompensant les meilleures oeuvres littéraires et d'analyse, il n'a pas été attribué cette année, et devient désormais bi-annuel "faute d'oeuvres en concurrence", a-t-on annoncé. Les participants à cette rencontre qui s'est tenue au théâtre régional Mahmoud-Triki ont rappelé que le conseil scientifique du colloque avait institué, lors de la précédente édition, un prix doté d'une "importante somme en devises fortes", et comporte trois Kateb, un en or, un autre en argent et le troisième en bronze, à décerner aux trois premiers lauréats. Le Pr Mansour Mehenni, de l'université de Tunis, président du conseil scientifique du colloque, a indiqué que la participation au prix Kateb-Yacine s'effectuera en collaboration avec les éditeurs du Maghreb et les médias. Les recommandations de la rencontre ont, notamment, porté sur la publication des actes des cinquième et sixième éditions de cette rencontre. De même qu'il a été convenu qu'une maison d'édition française se chargera de cette édition. Les deux prochaines éditions du colloque sur Kateb Yacine porteront sur "le théâtre Katébien, entre le texte et la mise en scène", ainsi que sur "les lectures de Kateb Yacine", a souligné le président du conseil scientifique du colloque. La journée de mardi est consacrée à une randonnée des participants à Aïn Ghrour et Hamma N'bails (55 km à l'est de Guelma), fief de la tribu des Beni Kablout qui constituent les racines ancestrales de la famille Kateb. Organisé par l'association locale pour la promotion du tourisme et l'action culturelle et sous le haut patronage de la ministre de la Culture et du wali de Guelma, ce conclave littéraire s'est penché durant trois jours (du 21 au 24 mars), dans la dissection d'un thème intitulé : « Les interactions culturelles, textuelles et artistiques dans les oeuvres katebiennes ». Vingt communications, en tout, ont été données sur Kateb Yacine par des chercheurs et des universitaires d'Algérie, de Tunisie, de France, des USA, de Belgique, d'Autriche et de Pologne. Pour rappel, une journée a été consacrée à la mise en relief de l'apport du texte katébien aux strates de la culture et à la littérature arabe contemporaine, lors de ce forum. Ce volet spécifique lié en appendice aux activités de la manifestation nationale de : « Constantine, capitale de la culture arabe » a été animé et disséqué par les conférenciers des pays arabes, conviés à ce forum. Pour cette dernière journée, l'écrivain Amar Médiene, à son tour, a eu droit à une intervention, en présentant des témoignages sur la vie de Kateb Yacine (1929-1989), ses relations avec l'artiste M'hamed Issyakhem et l'écrivain Malek Haddad. Il a évoqué l'expérience de Kateb Yacine, comme docker et comme journaliste à Alger Républicain entre 1949 et 1951, son voyage incognito en Arabie saoudite et au Soudan qui lui ont valu des reportages signés Saïd Lamri. Quant au prix littéraire international Kateb-Yacine, récompensant les meilleures oeuvres littéraires et d'analyse, il n'a pas été attribué cette année, et devient désormais bi-annuel "faute d'oeuvres en concurrence", a-t-on annoncé. Les participants à cette rencontre qui s'est tenue au théâtre régional Mahmoud-Triki ont rappelé que le conseil scientifique du colloque avait institué, lors de la précédente édition, un prix doté d'une "importante somme en devises fortes", et comporte trois Kateb, un en or, un autre en argent et le troisième en bronze, à décerner aux trois premiers lauréats. Le Pr Mansour Mehenni, de l'université de Tunis, président du conseil scientifique du colloque, a indiqué que la participation au prix Kateb-Yacine s'effectuera en collaboration avec les éditeurs du Maghreb et les médias. Les recommandations de la rencontre ont, notamment, porté sur la publication des actes des cinquième et sixième éditions de cette rencontre. De même qu'il a été convenu qu'une maison d'édition française se chargera de cette édition. Les deux prochaines éditions du colloque sur Kateb Yacine porteront sur "le théâtre Katébien, entre le texte et la mise en scène", ainsi que sur "les lectures de Kateb Yacine", a souligné le président du conseil scientifique du colloque. La journée de mardi est consacrée à une randonnée des participants à Aïn Ghrour et Hamma N'bails (55 km à l'est de Guelma), fief de la tribu des Beni Kablout qui constituent les racines ancestrales de la famille Kateb.