La déclaration de Bernardino Leon, chef d'appui des Nations unies en Libye quant au résultat du résultat du deuxième round du dialogue interlibyen, dont les travaux ont été clôturés hier à Alger, n'est pas une suprise. Ce dernier a révélé que cette réunion à Alger est un "grand succès" et "donne de l'espoir pour parvenir à un accord politique à la crise en Libye". La déclaration de Bernardino Leon, chef d'appui des Nations unies en Libye quant au résultat du résultat du deuxième round du dialogue interlibyen, dont les travaux ont été clôturés hier à Alger, n'est pas une suprise. Ce dernier a révélé que cette réunion à Alger est un "grand succès" et "donne de l'espoir pour parvenir à un accord politique à la crise en Libye". "La qualité des échanges était importante et le résultat de la réunion est un grand succès et donne de l'espoir pour les autres groupes de travail créés dans l'objectif de parvenir à un accord politique pour la Libye", a-t-il déclaré lors d'un point de presse conjoint avec le ministre délégué chargé des Affaires maghrébines et africaines, Abdelkader Messahel, animé au terme du second round du dialogue interlibyen. M. Leon a indiqué que ce second round du dialogue interlibyen a vu la participation, pour "la première" fois, depuis que les différents processus du dialogue ont été lancés sous l'égide des Nations unies, de représentants "très importants" des principaux groupes politiques en Libye qui ont discuté, deux jours durant, autour de l'élaboration d'un projet d'accord de paix pour leur pays. Concernant les travaux du second round du dialogue, M. Léon a indiqué que trois "grandes questions" ont été examinées lors de cette réunion de deux jours. Il s'agit, a-t-il expliqué, de l'exposé et de l'étude d'un document élaboré par les Nations unies dans le but de trouver une solution politique globale à la crise en Libye, le suivi des travaux réalisés par les autres groupes de travail, dont les parlementaires, la société civile, les groupes armés et les tribus, ainsi que l'examen de la situation sur le terrain en Libye qui, a-til relevé, "est préoccupante à cause de l'usage des armes et de la recrudescence de la violence". "La guerre qui continue en Libye menace de déstabiliser le pays est toute la région", a-t-il mis en garde. Les travaux de la deuxième réunion du dialogue interlibyen ont permis, en outre, d'écouter les différents commentaires et propositions exprimés sur le contenu du projet d'accord de paix proposé. Pour M. Bernardino Leon, la réunion d'Alger a constitué une "opportunité" pour lancer un "message important" par les participants exprimant leurs préoccupations relatives notamment à la menace terroriste et la présence sur le sol libyen de groupes terroristes comme "Daech", "El Qaida" et bien d'autres. Le chef de l'UNISMIL a, toutefois, souligné que les parties libyennes attachaient une "importance particulière" à la conclusion d'un accord politique concret permettant le retour de la paix et de la stabilité en Libye, appelant à l'accélération de la composition d'un gouvernement libyen d'unité nationale et à booster les négociations vers un accord politique le "plus tôt possible". Il a, enfin, relevé la nécessité d'inclure l'ensemble des acteurs libyens pour une solution qui doit, a-t-il dit, "être bonne" et "équilibrée". De son côté, le ministre délégué chargé des Affaires maghrébines et africaines, Abdelkader Messahel, a affirmé hier mardi à Alger que les parties libyennes étaient unanimes quant à la nécessité de former "un gouvernement d'union nationale" qui permette à la Libye d'amorcer une ère nouvelle. "Il existe un consensus autour de l'impérative formation d'un gouvernement d'union nationale et de la nécessité de récupérer les milices qu'il convient de réintégrer dans la vie politique et militaire", a déclaré M. Messahel à la presse au terme des travaux du 2ème round du dialogue interlibyen, ajoutant qu'une telle démarche "permettra à la Libye soeur d'amorcer une ère nouvelle". "L'objectif de la réunion d'Alger est de parvenir à la formation de ce gouvernement qui représentera l'Etat et dont les prérogatives font actuellement l'objet de débat", a-t-il ajouté. M. Messahel a, en outre, estimé que la formation d'un gouvernement d'union nationale permettrait de lutter efficacement contre le terrorisme, rappelant l'existence d'"un consensus international autour du règlement politique de la crise libyenne". "Le règlement de la question libyenne se fait sur la voie politique pour parvenir à une solution pacifique à travers un dialogue regroupant toutes les parties libyennes", a conclu le ministre. "La qualité des échanges était importante et le résultat de la réunion est un grand succès et donne de l'espoir pour les autres groupes de travail créés dans l'objectif de parvenir à un accord politique pour la Libye", a-t-il déclaré lors d'un point de presse conjoint avec le ministre délégué chargé des Affaires maghrébines et africaines, Abdelkader Messahel, animé au terme du second round du dialogue interlibyen. M. Leon a indiqué que ce second round du dialogue interlibyen a vu la participation, pour "la première" fois, depuis que les différents processus du dialogue ont été lancés sous l'égide des Nations unies, de représentants "très importants" des principaux groupes politiques en Libye qui ont discuté, deux jours durant, autour de l'élaboration d'un projet d'accord de paix pour leur pays. Concernant les travaux du second round du dialogue, M. Léon a indiqué que trois "grandes questions" ont été examinées lors de cette réunion de deux jours. Il s'agit, a-t-il expliqué, de l'exposé et de l'étude d'un document élaboré par les Nations unies dans le but de trouver une solution politique globale à la crise en Libye, le suivi des travaux réalisés par les autres groupes de travail, dont les parlementaires, la société civile, les groupes armés et les tribus, ainsi que l'examen de la situation sur le terrain en Libye qui, a-til relevé, "est préoccupante à cause de l'usage des armes et de la recrudescence de la violence". "La guerre qui continue en Libye menace de déstabiliser le pays est toute la région", a-t-il mis en garde. Les travaux de la deuxième réunion du dialogue interlibyen ont permis, en outre, d'écouter les différents commentaires et propositions exprimés sur le contenu du projet d'accord de paix proposé. Pour M. Bernardino Leon, la réunion d'Alger a constitué une "opportunité" pour lancer un "message important" par les participants exprimant leurs préoccupations relatives notamment à la menace terroriste et la présence sur le sol libyen de groupes terroristes comme "Daech", "El Qaida" et bien d'autres. Le chef de l'UNISMIL a, toutefois, souligné que les parties libyennes attachaient une "importance particulière" à la conclusion d'un accord politique concret permettant le retour de la paix et de la stabilité en Libye, appelant à l'accélération de la composition d'un gouvernement libyen d'unité nationale et à booster les négociations vers un accord politique le "plus tôt possible". Il a, enfin, relevé la nécessité d'inclure l'ensemble des acteurs libyens pour une solution qui doit, a-t-il dit, "être bonne" et "équilibrée". De son côté, le ministre délégué chargé des Affaires maghrébines et africaines, Abdelkader Messahel, a affirmé hier mardi à Alger que les parties libyennes étaient unanimes quant à la nécessité de former "un gouvernement d'union nationale" qui permette à la Libye d'amorcer une ère nouvelle. "Il existe un consensus autour de l'impérative formation d'un gouvernement d'union nationale et de la nécessité de récupérer les milices qu'il convient de réintégrer dans la vie politique et militaire", a déclaré M. Messahel à la presse au terme des travaux du 2ème round du dialogue interlibyen, ajoutant qu'une telle démarche "permettra à la Libye soeur d'amorcer une ère nouvelle". "L'objectif de la réunion d'Alger est de parvenir à la formation de ce gouvernement qui représentera l'Etat et dont les prérogatives font actuellement l'objet de débat", a-t-il ajouté. M. Messahel a, en outre, estimé que la formation d'un gouvernement d'union nationale permettrait de lutter efficacement contre le terrorisme, rappelant l'existence d'"un consensus international autour du règlement politique de la crise libyenne". "Le règlement de la question libyenne se fait sur la voie politique pour parvenir à une solution pacifique à travers un dialogue regroupant toutes les parties libyennes", a conclu le ministre.