Le verdict dans l'affaire pour infraction à la législation des changes et passation de marchés contraire à la règlementation dans laquelle sont impliqués l'ex-PDG du groupe Sonatrach Mohamed Meziane et un vice-président du groupe sera prononcé mercredi par le Pôle judiciaire spécialisé d'Alger Le verdict dans l'affaire pour infraction à la législation des changes et passation de marchés contraire à la règlementation dans laquelle sont impliqués l'ex-PDG du groupe Sonatrach Mohamed Meziane et un vice-président du groupe sera prononcé mercredi par le Pôle judiciaire spécialisé d'Alger Lors du procès tenu le 8 avril dernier, une peine de cinq ans de prison ferme assortie d'une amende de 122 millions de dinars avait été requise par le ministère public contre Mohamed Meziane et Boumediene Belkacem, vice-président du groupe chargé des activités amont. L'ex-PDG du groupe Sonatrach (sous contrôle judiciaire) avait comparu libre durant l'audience, alors que l'ex-vice président amont de Sonatrach comparaissait en état de détention. Il est en détention depuis 2010. La partie civile à l'origine de la plainte déposée contre les deux inculpés est l'administration des Douanes. Selon l'ordonnance de renvoi, Sonatrach avait conclu en 2008 un marché avec la compagnie Schlumberger portant réalisation d'une raffinerie dans la région de Stah (Adrar) d'une valeur de 126 millions de dollars. Mais lors de l'exécution du marché, il a été procédé à l'importation de pièces de rechange et de générateurs électriques par quotas "surfacturés" ayant atteint 1,2 million de dollars, ce qui constitue une violation flagrante de la loi sur les changes et ce, dans le but de transférer illégalement des fonds vers l'étranger rapporte l'APS. L'ex-PDG de Sonatrach avait nié lors du procès les deux chefs d'accusation qui pesaient contre lui, à savoir la violation de la législation sur les changes et celle sur le mouvement des capitaux, clamant son innocence et celle du vice-président. Les deux inculpés sont aussi poursuivis avec 17 autres accusés dans une autre affaire de corruption, dite Sonatrach 1 pour "constitution d'une association de malfaiteurs, blanchiment d'argent, corruption et trafic d'influence". Le procès de cette affaire très médiatisée a été reporté lors de la session criminelle de 2014 au 7 juin prochain à la cour d'Alger, siège du tribunal criminel de la même juridiction, selon le rôle des affaires criminelles 2015. Lors du procès tenu le 8 avril dernier, une peine de cinq ans de prison ferme assortie d'une amende de 122 millions de dinars avait été requise par le ministère public contre Mohamed Meziane et Boumediene Belkacem, vice-président du groupe chargé des activités amont. L'ex-PDG du groupe Sonatrach (sous contrôle judiciaire) avait comparu libre durant l'audience, alors que l'ex-vice président amont de Sonatrach comparaissait en état de détention. Il est en détention depuis 2010. La partie civile à l'origine de la plainte déposée contre les deux inculpés est l'administration des Douanes. Selon l'ordonnance de renvoi, Sonatrach avait conclu en 2008 un marché avec la compagnie Schlumberger portant réalisation d'une raffinerie dans la région de Stah (Adrar) d'une valeur de 126 millions de dollars. Mais lors de l'exécution du marché, il a été procédé à l'importation de pièces de rechange et de générateurs électriques par quotas "surfacturés" ayant atteint 1,2 million de dollars, ce qui constitue une violation flagrante de la loi sur les changes et ce, dans le but de transférer illégalement des fonds vers l'étranger rapporte l'APS. L'ex-PDG de Sonatrach avait nié lors du procès les deux chefs d'accusation qui pesaient contre lui, à savoir la violation de la législation sur les changes et celle sur le mouvement des capitaux, clamant son innocence et celle du vice-président. Les deux inculpés sont aussi poursuivis avec 17 autres accusés dans une autre affaire de corruption, dite Sonatrach 1 pour "constitution d'une association de malfaiteurs, blanchiment d'argent, corruption et trafic d'influence". Le procès de cette affaire très médiatisée a été reporté lors de la session criminelle de 2014 au 7 juin prochain à la cour d'Alger, siège du tribunal criminel de la même juridiction, selon le rôle des affaires criminelles 2015.