Les usagers des transports publics, notamment les bus, continuent à s'exténuer à cause des heures d'embouteillage mettant à rude épreuve leur patience et prolongeant les délais de déplacement notamment à Alger. Les usagers des transports publics, notamment les bus, continuent à s'exténuer à cause des heures d'embouteillage mettant à rude épreuve leur patience et prolongeant les délais de déplacement notamment à Alger. Pour honorer son rendez-vous professionnel à 8 heures au coeur de la capitale, Salim T. est dans l'obligation de se lever avant 6 heures afin d'emprunter les transports publics « qui sont bloqués sur l'autoroute », témoigne-t-il à sa descente du bus à la gare de Tafourah. Cette dernière accueille également des usagers qui viennent d'autres localités d'Alger comme Aïn El Benian et Chéraga ou encore Ouled Fayet et ils arrivent tous à destination la mine renfrognée mais heureux du dénouement de ce qu'ils qualifient « de calvaire ». Un calvaire qui commence bien avant d'être monté à bord du bus car il faut d'abord atteindre les différentes stations qui ne sont pas toujours proches des habitations. Une fois arrivé à la gare routière, il faut trouver un abri pour éviter de recevoir la pluie sur le dos et là il faut encore attendre longtemps avant qu'un hypothétique bus fasse son apparition. Que ce soit aux stations de Birkhadem, de Saïd-Hamdine, de Lafarge, ou d'El Harrach et Rouiba, c'est la cohue dès que les usagers aperçoivent un de ces véhicules de transport collectif. «Je suis malmené car je suis dans l'obligation de jouer des coudes pour emprunter le bus et renter chez moi » témoigne un client à l'arrêt de bus de Lafarge à côté des abattoirs. Dans le bus, les clients s'entassent avec une surcharge évidente que les policiers sont peu nombreux à verbaliser. Or, même lorsqu'ils interpellent le conducteur du bus pour signifier l'infraction, ce sont les clients qui s'insurgent en arguant qu'il fait vite laisser le bus repartir car ils ne désirent pas « rater leurs rendez-vous en perdant du temps sur la route ». Pour parer à ces problèmes plusieurs projets sont prévus afin d'améliorer les transports dans la capitale, dont le réseau routier est saturé. Le plan prévoit plusieurs projets dont trois nouvelles gares routières, des parkings, des télécabines ainsi que l'achèvement du métro et du tramway, avait indiqué Rachid Ouazen, directeur des transports de la wilaya d'Alger lors de l'une des réunions des cadres du secteur. Les parkings en cours de réalisation sont situés dans les communes de Kouba, El Biar, El Madania et Hydra alors que trois autres parkings seront réalisés à Sidi M'hamed, Sidi Yahia et Boumati. Par ailleurs, les gares routières de Bir Mourad Raïs, à Zéralda et à Dar El Beida seront également réalisées prochainement. Pour soulager le transport routier, il y a aussi le projet de la nouvelle gare ferroviaire centrale d'Alger qui sera implantée à Kourifa (El Harrach) dans la banlieue est de la capitale. Dans l'attente de la réalisation de ces projets, le citoyen continue d'éprouver des difficultés à se déplacer dans la capitale suffoque où plus d'un million de véhicules circulent quotidiennement ce qui cause des embouteillages. Lors des assises sur le transport tenues en 2013, il a été préconisé le renforcement du transport en commun sur certains axes routiers et certaines destinations où la densité de la population est très élevée comme la région ouest et est d ́Alger accusant un manque flagrant de transports en commun. Le plan de circulation au niveau de la capitale permettra de désengorger la capitale et d ́éliminer les points noirs, entravant la circulation automobile et ce à travers notamment l'installation des feux tricolores. Pour honorer son rendez-vous professionnel à 8 heures au coeur de la capitale, Salim T. est dans l'obligation de se lever avant 6 heures afin d'emprunter les transports publics « qui sont bloqués sur l'autoroute », témoigne-t-il à sa descente du bus à la gare de Tafourah. Cette dernière accueille également des usagers qui viennent d'autres localités d'Alger comme Aïn El Benian et Chéraga ou encore Ouled Fayet et ils arrivent tous à destination la mine renfrognée mais heureux du dénouement de ce qu'ils qualifient « de calvaire ». Un calvaire qui commence bien avant d'être monté à bord du bus car il faut d'abord atteindre les différentes stations qui ne sont pas toujours proches des habitations. Une fois arrivé à la gare routière, il faut trouver un abri pour éviter de recevoir la pluie sur le dos et là il faut encore attendre longtemps avant qu'un hypothétique bus fasse son apparition. Que ce soit aux stations de Birkhadem, de Saïd-Hamdine, de Lafarge, ou d'El Harrach et Rouiba, c'est la cohue dès que les usagers aperçoivent un de ces véhicules de transport collectif. «Je suis malmené car je suis dans l'obligation de jouer des coudes pour emprunter le bus et renter chez moi » témoigne un client à l'arrêt de bus de Lafarge à côté des abattoirs. Dans le bus, les clients s'entassent avec une surcharge évidente que les policiers sont peu nombreux à verbaliser. Or, même lorsqu'ils interpellent le conducteur du bus pour signifier l'infraction, ce sont les clients qui s'insurgent en arguant qu'il fait vite laisser le bus repartir car ils ne désirent pas « rater leurs rendez-vous en perdant du temps sur la route ». Pour parer à ces problèmes plusieurs projets sont prévus afin d'améliorer les transports dans la capitale, dont le réseau routier est saturé. Le plan prévoit plusieurs projets dont trois nouvelles gares routières, des parkings, des télécabines ainsi que l'achèvement du métro et du tramway, avait indiqué Rachid Ouazen, directeur des transports de la wilaya d'Alger lors de l'une des réunions des cadres du secteur. Les parkings en cours de réalisation sont situés dans les communes de Kouba, El Biar, El Madania et Hydra alors que trois autres parkings seront réalisés à Sidi M'hamed, Sidi Yahia et Boumati. Par ailleurs, les gares routières de Bir Mourad Raïs, à Zéralda et à Dar El Beida seront également réalisées prochainement. Pour soulager le transport routier, il y a aussi le projet de la nouvelle gare ferroviaire centrale d'Alger qui sera implantée à Kourifa (El Harrach) dans la banlieue est de la capitale. Dans l'attente de la réalisation de ces projets, le citoyen continue d'éprouver des difficultés à se déplacer dans la capitale suffoque où plus d'un million de véhicules circulent quotidiennement ce qui cause des embouteillages. Lors des assises sur le transport tenues en 2013, il a été préconisé le renforcement du transport en commun sur certains axes routiers et certaines destinations où la densité de la population est très élevée comme la région ouest et est d ́Alger accusant un manque flagrant de transports en commun. Le plan de circulation au niveau de la capitale permettra de désengorger la capitale et d ́éliminer les points noirs, entravant la circulation automobile et ce à travers notamment l'installation des feux tricolores.