C'est aujourd'hui que s'achève la visite du Premier ministre Abdelmalek Sellal en Chine avec l'espoir de parvenir à des partenariats. C'est aujourd'hui que s'achève la visite du Premier ministre Abdelmalek Sellal en Chine avec l'espoir de parvenir à des partenariats. Si l'on se réfère aux déclarations de Abdesselam Bouchouareb, ministre de l'Industrie et des Mines, des partenariats à chercher dans plusieurs domaines d'activités. Il s'agit des mines, l'électronique, l'électrique, le photovoltaïque, la sidérurgie, l'industrie mécanique, les équipements industriels, la chimie, la pétrochimie, la sous-traitance industrielle et l'agro-industrie. Il y a aussi l'agriculture, le numérique, la santé, les matériaux de construction ou encore le BTP. Ces domaines s'inscrivent dans le cadre du choix fait par l'Algérie d'une industrialisation qui favorise la remontée dans la chaîne des valeurs des filières. Avec des ressources prometteuses, le secteur des mines est un de ces exemples d'opportunité de chaîne des valeurs. L'Algérie met aussi en oeuvre une batterie de mesures qui visent à développer un secteur minier intégré, capable de soutenir effectivement l'économie nationale et de profiter à la population. Le lancement de grandes opérations de développement des phosphates, du minerai de fer dont l'emblématique Ghar Djbilet, des métaux de base, de l'or et d'autres minéraux est effectif et l'Algérie offre ces opportunités à la Chine qui « a toute sa place » dans le secteur. Des secteurs comme la mécanique, l'électronique, l'électrique, le photovoltaïque et d'autres offrent des opportunités tout aussi attrayantes. Dans cette coopération, il y a aussi le souhait de porter los entreprises locales aux standards internationaux de management et de compétitivité grâce à l'expérience chinoise, preuve que la nature du capital social importe peu face à l'efficacité des systèmes et processus de management « à libérer le potentiel des entreprises ». Après la leçon de l'investissement, voici celle du management. Les Algériens apprennent aussi des Chinois la manière d'inculquer à l'entreprise la capacité à se positionner, à se battre, à rester innovante et à arracher ses parts de marché. « L'expérience chinoise de transformation des entreprises et de leur management nous intéresse et nous souhaitons bénéficier de vos conseils avisés pour imprimer aux nouveaux groupes industriels la flexibilité et les articulations nécessaires pour qu'à la fois ils puissent s'imposer sur leurs marchés et s'inscrire dans la politique économique globale du pays », selon Bouchouareb. Toutes ces mesures doivent conduire à un partenariat stratégique s'inscrivant dans une perspective de croissance partagée. Car une fois que les domaines de coopération identifiés, Sellal peut considérer que sa visite en Chine est une réussite. Si l'on se réfère aux déclarations de Abdesselam Bouchouareb, ministre de l'Industrie et des Mines, des partenariats à chercher dans plusieurs domaines d'activités. Il s'agit des mines, l'électronique, l'électrique, le photovoltaïque, la sidérurgie, l'industrie mécanique, les équipements industriels, la chimie, la pétrochimie, la sous-traitance industrielle et l'agro-industrie. Il y a aussi l'agriculture, le numérique, la santé, les matériaux de construction ou encore le BTP. Ces domaines s'inscrivent dans le cadre du choix fait par l'Algérie d'une industrialisation qui favorise la remontée dans la chaîne des valeurs des filières. Avec des ressources prometteuses, le secteur des mines est un de ces exemples d'opportunité de chaîne des valeurs. L'Algérie met aussi en oeuvre une batterie de mesures qui visent à développer un secteur minier intégré, capable de soutenir effectivement l'économie nationale et de profiter à la population. Le lancement de grandes opérations de développement des phosphates, du minerai de fer dont l'emblématique Ghar Djbilet, des métaux de base, de l'or et d'autres minéraux est effectif et l'Algérie offre ces opportunités à la Chine qui « a toute sa place » dans le secteur. Des secteurs comme la mécanique, l'électronique, l'électrique, le photovoltaïque et d'autres offrent des opportunités tout aussi attrayantes. Dans cette coopération, il y a aussi le souhait de porter los entreprises locales aux standards internationaux de management et de compétitivité grâce à l'expérience chinoise, preuve que la nature du capital social importe peu face à l'efficacité des systèmes et processus de management « à libérer le potentiel des entreprises ». Après la leçon de l'investissement, voici celle du management. Les Algériens apprennent aussi des Chinois la manière d'inculquer à l'entreprise la capacité à se positionner, à se battre, à rester innovante et à arracher ses parts de marché. « L'expérience chinoise de transformation des entreprises et de leur management nous intéresse et nous souhaitons bénéficier de vos conseils avisés pour imprimer aux nouveaux groupes industriels la flexibilité et les articulations nécessaires pour qu'à la fois ils puissent s'imposer sur leurs marchés et s'inscrire dans la politique économique globale du pays », selon Bouchouareb. Toutes ces mesures doivent conduire à un partenariat stratégique s'inscrivant dans une perspective de croissance partagée. Car une fois que les domaines de coopération identifiés, Sellal peut considérer que sa visite en Chine est une réussite.