Il est difficile d'obtenir la confiance de l'Algérie après les diverses affaires de corruption dont certaines sont devant les tribunaux. Il est difficile d'obtenir la confiance de l'Algérie après les diverses affaires de corruption dont certaines sont devant les tribunaux. L'odeur de l'argent est partout. Khalifa, Hadjas, autoroute, CNAN sont des noms qui résonnent avec un parfum de scandale. Ces scandales suscitent l'attention des économistes, y compris Abderrahmane Mebtoul, selon lequel l'Algérie doit tirer les leçons des scandales financiers. Ce n'est pas ce qui empêche des actions pour redresser la situation car selon lui, c'est seulement quand l'Etat est droit qu'il peut devenir un Etat de droit et il pense qu'on ne doit pas être pessimistes quant à l'avenir de l'Algérie. Il ajoute que l'Algérie reste un pays dynamique, plein de vitalité, qui se cherche et cherche sa voie avec nécessité de débats contradictoires productifs. Aussi, face aux mutations géostratégiques importantes qui se dessinent notamment au niveau de l'Afrique dont fait partie l'Algérie, il est impératif de penser à un nouveau mode de gouvernance. L'affaire Khalifa et bien d'autres dossiers de scandales financiers aussi importants, sinon plus importants, pour ne citer que quelques uns, comme Sonatrach, l'autoroute Est-Ouest, le programme agricole (PNDA) et de la BCIA interpellent tous les Algériens, dirigeants et citoyens, dit-il. Il y a aussi l'urgence de rétablir la morale dans la gestion de la Cité au moment où l'on assiste à des bouleversements politiques, sociaux et économiques. L'Algérie doit tirer les leçons des différents scandales financiers car comment un responsable impliqué directement ou indirectement peut-il être crédible auprès de l'opinion et de ses collaborateurs ? s'interroge-t-il. Plus grave, les scandales donnent une image ternie de l'Algérie au niveau international et la pudeur et la déontologie est de se retirer de la fonction gouvernementale pour se défendre en tant que simple citoyen, souligne-t-il. L'odeur de l'argent est partout. Khalifa, Hadjas, autoroute, CNAN sont des noms qui résonnent avec un parfum de scandale. Ces scandales suscitent l'attention des économistes, y compris Abderrahmane Mebtoul, selon lequel l'Algérie doit tirer les leçons des scandales financiers. Ce n'est pas ce qui empêche des actions pour redresser la situation car selon lui, c'est seulement quand l'Etat est droit qu'il peut devenir un Etat de droit et il pense qu'on ne doit pas être pessimistes quant à l'avenir de l'Algérie. Il ajoute que l'Algérie reste un pays dynamique, plein de vitalité, qui se cherche et cherche sa voie avec nécessité de débats contradictoires productifs. Aussi, face aux mutations géostratégiques importantes qui se dessinent notamment au niveau de l'Afrique dont fait partie l'Algérie, il est impératif de penser à un nouveau mode de gouvernance. L'affaire Khalifa et bien d'autres dossiers de scandales financiers aussi importants, sinon plus importants, pour ne citer que quelques uns, comme Sonatrach, l'autoroute Est-Ouest, le programme agricole (PNDA) et de la BCIA interpellent tous les Algériens, dirigeants et citoyens, dit-il. Il y a aussi l'urgence de rétablir la morale dans la gestion de la Cité au moment où l'on assiste à des bouleversements politiques, sociaux et économiques. L'Algérie doit tirer les leçons des différents scandales financiers car comment un responsable impliqué directement ou indirectement peut-il être crédible auprès de l'opinion et de ses collaborateurs ? s'interroge-t-il. Plus grave, les scandales donnent une image ternie de l'Algérie au niveau international et la pudeur et la déontologie est de se retirer de la fonction gouvernementale pour se défendre en tant que simple citoyen, souligne-t-il.