Le ministre des Affaires religieuses et des Wakfs, Mohamed Aissa, a affirmé avant-hier à Alger que les frais du hadj 2015 avaient été fixés à 412.000 DA et que toutes les conditions étaient réunies en termes d'encadrement, d'hébergement et d'accompagnement médical. Le ministre des Affaires religieuses et des Wakfs, Mohamed Aissa, a affirmé avant-hier à Alger que les frais du hadj 2015 avaient été fixés à 412.000 DA et que toutes les conditions étaient réunies en termes d'encadrement, d'hébergement et d'accompagnement médical. Intervenant en marge d'une journée d'études sur l'activité des mosquées et leur rôle dans le développement du sens du nationalisme, M. Mohamed Aissa a précisé que les frais du hadj 2015 étaient estimés à 312.000 DA, sans compter le billet d'avion, et à 412.000 DA en comptant les frais du transport aérien. Selon le ministre, le prix du billet est de 100.000 DA en classe économique et 140.000 DA en première classe sur les vols d'Air Algérie ou en classe économique sur les vols de Saudi Airlines. M. Mohamed Aissa a estimé que les frais du hadj devaient atteindre 600.000 DA en raison de la hausse du dollar sur la marché international, indiquant que le prix avait été réduit à la baisse grâce aux négociations menées par la partie algérienne avec les autorités saoudiennes outre l'aide apportée par le Président de la République, Abdelaziz Bouteflika, au profit des hadji algériens. Le ministre a, par ailleurs, fait savoir que "l'opération de paiement des frais du hadj 2015 débutera dimanche 17 mai", ajoutant que "les banques resteront ouvertes et au service des hadjis jusqu'au départ des premiers vols vers les Lieux saints prévus fin août 2015". Le ministre des Affaires religieuses et des wakfs, Mohamed Aissa a mis l'accent, jeudi à Alger, sur le rôle de la mosquée dans l'ancrage de l'esprit de citoyenneté et la préservation de la société contre les idées destructrices. Lors d'une journée d'études sur les activités des mosquées, le ministre a insisté sur le rôle "important" de la mosquée dans l'ancrage de l'esprit de citoyenneté. Dans ce cadre, M. Aissa a appelé les imams à conjuguer les efforts et à permettre à la société civile de "préserver le pays de ceux qui veulent dérouter les jeunes via internet, les dépliants et les publications", soulignant que le ministère maintenait l'interdiction de la distribution des dépliants dans les mosquées. Le ministre a mis en exergue le rôle de la mosquée dans la lutte contre les fléaux sociaux à l'instar de l'alcool, la corruption et la fraude, affirmant que "l'Algérie se porte bien tant que les mosquées incitent les gens au bien", exhortant les imams à conseiller et guider les citoyens. Concernant Arrida (apostasie), M. Aissa a indiqué que "ce phénomène n'est pas nouveau, il est particulièrement dû à ce qui est connu sous l'appellation +les nouveaux musulmans+ à l'étranger. Toutefois, les rapports officiels indiquent que pas moins de 4.000 personnes se convertissent annuellement à l'Islam en France", a précisé le ministre. Intervenant en marge d'une journée d'études sur l'activité des mosquées et leur rôle dans le développement du sens du nationalisme, M. Mohamed Aissa a précisé que les frais du hadj 2015 étaient estimés à 312.000 DA, sans compter le billet d'avion, et à 412.000 DA en comptant les frais du transport aérien. Selon le ministre, le prix du billet est de 100.000 DA en classe économique et 140.000 DA en première classe sur les vols d'Air Algérie ou en classe économique sur les vols de Saudi Airlines. M. Mohamed Aissa a estimé que les frais du hadj devaient atteindre 600.000 DA en raison de la hausse du dollar sur la marché international, indiquant que le prix avait été réduit à la baisse grâce aux négociations menées par la partie algérienne avec les autorités saoudiennes outre l'aide apportée par le Président de la République, Abdelaziz Bouteflika, au profit des hadji algériens. Le ministre a, par ailleurs, fait savoir que "l'opération de paiement des frais du hadj 2015 débutera dimanche 17 mai", ajoutant que "les banques resteront ouvertes et au service des hadjis jusqu'au départ des premiers vols vers les Lieux saints prévus fin août 2015". Le ministre des Affaires religieuses et des wakfs, Mohamed Aissa a mis l'accent, jeudi à Alger, sur le rôle de la mosquée dans l'ancrage de l'esprit de citoyenneté et la préservation de la société contre les idées destructrices. Lors d'une journée d'études sur les activités des mosquées, le ministre a insisté sur le rôle "important" de la mosquée dans l'ancrage de l'esprit de citoyenneté. Dans ce cadre, M. Aissa a appelé les imams à conjuguer les efforts et à permettre à la société civile de "préserver le pays de ceux qui veulent dérouter les jeunes via internet, les dépliants et les publications", soulignant que le ministère maintenait l'interdiction de la distribution des dépliants dans les mosquées. Le ministre a mis en exergue le rôle de la mosquée dans la lutte contre les fléaux sociaux à l'instar de l'alcool, la corruption et la fraude, affirmant que "l'Algérie se porte bien tant que les mosquées incitent les gens au bien", exhortant les imams à conseiller et guider les citoyens. Concernant Arrida (apostasie), M. Aissa a indiqué que "ce phénomène n'est pas nouveau, il est particulièrement dû à ce qui est connu sous l'appellation +les nouveaux musulmans+ à l'étranger. Toutefois, les rapports officiels indiquent que pas moins de 4.000 personnes se convertissent annuellement à l'Islam en France", a précisé le ministre.