L'exposition "La saga de la création de la cinémathèque algérienne", regroupant des reproductions d'affiches de films, des photos de tournages et de coupures de presse datant des premières années de l'institution cinématographique algérienne qui fête son cinquantenaire, a été inaugurée samedi à Alger. L'exposition "La saga de la création de la cinémathèque algérienne", regroupant des reproductions d'affiches de films, des photos de tournages et de coupures de presse datant des premières années de l'institution cinématographique algérienne qui fête son cinquantenaire, a été inaugurée samedi à Alger. Visible jusqu'au 9 juillet au Musée d'art moderne et contemporain d'Alger (MaMa), l'exposition propose de redécouvrir "l'âge d'or" de la cinémathèque algérienne à travers les affiches numérisées et agrandies d'oeuvres algériennes et étrangères projetées entre 1965 et le début des année 1970 à la cinémathèque ainsi que les affiches des cycles thématiques ou de festivals organisés durant la même période. Exposés sur les deux étages du musée algérois, ces affiches sont agrémentées de reproductions de photos extraites de films marquants du 7 e art algérien comme "L'opium et le bâton" d'Ahmed Rachedi, "Hassen Terro" de Mohamed-Lakhdar Hamina et les oeuvres du regretté Abderrahmane Bouguermouh ou tournésà Alger à la même époque comme "Z" du réalisateur grec Costa Gavras. En plus d'évoquer les réalisations qui ont fait de la cinémathèque algérienne un haut lieu de culture au lendemain de l'indépendance, l'exposition rend également hommage aux pionniers (hommes politiques, gestionnaires, techniciens, etc.) qui ont contribué à son essor. C'est le cas par exemple de François Roulet, décorateur et affichiste français arrivé à Alger au printemps 1962 et dont les dessins annonçant la programmation de la cinémathèque sont exposés, ou encore à travers les clichés du cinéaste américain d'origine autrichienne Josef Von Strenberg prises à Alger par le photographe Daniel Letrier, membre de l'équipe d'Ahmed Hocine, premier directeur de la cinémathèque disparu en avril 2014. Le parcours de ces membres fondateurs est, par ailleurs, détaillé dans le catalogue de de 160 pages de l'exposition avec des contributions signés de son commissaire Ahmed Béjaoui ou de Jean- Michel Arnold, autre membre fondateur de la cinémathèque. Le cinquantenaire de la cinémathèque algérienne sera également l'occasion de voir ou de revoir des films d'époque algériens ou étrangers qui seront projetés à la salle de la Cinémathèque d'Alger à partir du 10 mai. Un hommage sera aussi rendu à deux géants du cinéma algérien, Sid Ali Kouiret et Amar Laskri, disparus récemment, à travers des expositions de photos dans le hall de la cinémathèque. Visible jusqu'au 9 juillet au Musée d'art moderne et contemporain d'Alger (MaMa), l'exposition propose de redécouvrir "l'âge d'or" de la cinémathèque algérienne à travers les affiches numérisées et agrandies d'oeuvres algériennes et étrangères projetées entre 1965 et le début des année 1970 à la cinémathèque ainsi que les affiches des cycles thématiques ou de festivals organisés durant la même période. Exposés sur les deux étages du musée algérois, ces affiches sont agrémentées de reproductions de photos extraites de films marquants du 7 e art algérien comme "L'opium et le bâton" d'Ahmed Rachedi, "Hassen Terro" de Mohamed-Lakhdar Hamina et les oeuvres du regretté Abderrahmane Bouguermouh ou tournésà Alger à la même époque comme "Z" du réalisateur grec Costa Gavras. En plus d'évoquer les réalisations qui ont fait de la cinémathèque algérienne un haut lieu de culture au lendemain de l'indépendance, l'exposition rend également hommage aux pionniers (hommes politiques, gestionnaires, techniciens, etc.) qui ont contribué à son essor. C'est le cas par exemple de François Roulet, décorateur et affichiste français arrivé à Alger au printemps 1962 et dont les dessins annonçant la programmation de la cinémathèque sont exposés, ou encore à travers les clichés du cinéaste américain d'origine autrichienne Josef Von Strenberg prises à Alger par le photographe Daniel Letrier, membre de l'équipe d'Ahmed Hocine, premier directeur de la cinémathèque disparu en avril 2014. Le parcours de ces membres fondateurs est, par ailleurs, détaillé dans le catalogue de de 160 pages de l'exposition avec des contributions signés de son commissaire Ahmed Béjaoui ou de Jean- Michel Arnold, autre membre fondateur de la cinémathèque. Le cinquantenaire de la cinémathèque algérienne sera également l'occasion de voir ou de revoir des films d'époque algériens ou étrangers qui seront projetés à la salle de la Cinémathèque d'Alger à partir du 10 mai. Un hommage sera aussi rendu à deux géants du cinéma algérien, Sid Ali Kouiret et Amar Laskri, disparus récemment, à travers des expositions de photos dans le hall de la cinémathèque.