Les mouvements armés du nord du Mali ont montré en signant l'accord de paix et de la réconciliation, issu du processus d'Alger, leur « indéfectible » attachement à la paix et leur « ferme » volonté de rétablir la stabilité dans leur pays, ont affirmé vendredi des représentants de ces mouvements. Les mouvements armés du nord du Mali ont montré en signant l'accord de paix et de la réconciliation, issu du processus d'Alger, leur « indéfectible » attachement à la paix et leur « ferme » volonté de rétablir la stabilité dans leur pays, ont affirmé vendredi des représentants de ces mouvements. «C'est un événement majeur, historique et décisif que nous attendions depuis le début de la crise. A travers cette signature, nous avons montré notre indéfectible attachement à la paix et notre ferme volonté de rétablir la stabilité dans notre pays », a indiqué Me Harouna Toureh , au nom de la Plate-forme d'Alger, au terme de la signature de l'accord de paix et de la réconciliation. Il a ajouté que cette signature était le « couronnement d'efforts constant », notamment de l'Algérie pour « nous permettre la conclusion de cet accord». De son côté le représentant de la Coordination des mouvements de l'Azawed, signature de l'accord de paix et de la réconciliation, a indiqué qu'il « ne pouvait y avoir d'autres moyens que la paix pour entamer un page glorieuse du Mali ». « Nous avons répondu à la sollicitation pour signer l'accord avec la ferme volonté d'apporter la paix et stabilité pour notre cher pays » a-t-il soutenu. L'accord de paix et de réconciliation au Mali a été signé vendredi à Bamako par les parties maliennes au dialogue pour le règlement de la crise dans le nord du pays. Le document a été signé par le représentant du gouvernement malien, les mouvements politico-militaires du nord du Mali engagés au sein de la Plateforme d'Alger et par l'équipe de la médiation internationale conduite par l'Algérie. Deux composantes sur cinq que compte la Coordination des mouvements de l'Azawad (CMA), à savoir la Coordination pour le peuple de l'Azawad (CPA, dissident), la CM-FPR2 (Coordination des Mouvements et Fronts patriotiques de résistance II) ont également signé l'accord. Le Mouvement national de libération de l'Azawad (MNLA), le Haut conseil pour l'unité de l'Azawad (HCUA) et le Mouvement arabe de l'Azawad (dissident), autre éléments composant la CMA avaient, quant à eux, paraphé jeudi à Alger l'accord de paix et de la réconciliation. La Plateforme d'Alger, signataire de l'accord de paix et de la réconciliation, est composée du Mouvement arabe de l'Azawad (MAA), la Coordination pour le peuple de l'Azawad (CPA), la Coordination des Mouvements et Fronts patriotiques de résistance (CM-FPR). L'équipe de médiation, dont l'Algérie est le chef de file, comprend la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest(CEDEAO), l'Union africaine (UA), les Nations unies, l'Union européenne (UE) et l'Organisation de la Coopération islamique (OCI), le Burkina Faso, la Mauritanie, le Niger et le Tchad. L'accord de paix et de réconciliation au Mali signé vendredi à Bamako a été obtenu après cinq rounds de dialogue, engagé en juillet 2014 sous la conduite de la médiation internationale, dont l'Algérie est le chef de file. La cérémonie de la signature s'est déroulée en présence notamment du président du Conseil de la nation, Abdelkader Bensalah, représentant du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, de chefs d'Etat africains et des personnalités internationales. «C'est un événement majeur, historique et décisif que nous attendions depuis le début de la crise. A travers cette signature, nous avons montré notre indéfectible attachement à la paix et notre ferme volonté de rétablir la stabilité dans notre pays », a indiqué Me Harouna Toureh , au nom de la Plate-forme d'Alger, au terme de la signature de l'accord de paix et de la réconciliation. Il a ajouté que cette signature était le « couronnement d'efforts constant », notamment de l'Algérie pour « nous permettre la conclusion de cet accord». De son côté le représentant de la Coordination des mouvements de l'Azawed, signature de l'accord de paix et de la réconciliation, a indiqué qu'il « ne pouvait y avoir d'autres moyens que la paix pour entamer un page glorieuse du Mali ». « Nous avons répondu à la sollicitation pour signer l'accord avec la ferme volonté d'apporter la paix et stabilité pour notre cher pays » a-t-il soutenu. L'accord de paix et de réconciliation au Mali a été signé vendredi à Bamako par les parties maliennes au dialogue pour le règlement de la crise dans le nord du pays. Le document a été signé par le représentant du gouvernement malien, les mouvements politico-militaires du nord du Mali engagés au sein de la Plateforme d'Alger et par l'équipe de la médiation internationale conduite par l'Algérie. Deux composantes sur cinq que compte la Coordination des mouvements de l'Azawad (CMA), à savoir la Coordination pour le peuple de l'Azawad (CPA, dissident), la CM-FPR2 (Coordination des Mouvements et Fronts patriotiques de résistance II) ont également signé l'accord. Le Mouvement national de libération de l'Azawad (MNLA), le Haut conseil pour l'unité de l'Azawad (HCUA) et le Mouvement arabe de l'Azawad (dissident), autre éléments composant la CMA avaient, quant à eux, paraphé jeudi à Alger l'accord de paix et de la réconciliation. La Plateforme d'Alger, signataire de l'accord de paix et de la réconciliation, est composée du Mouvement arabe de l'Azawad (MAA), la Coordination pour le peuple de l'Azawad (CPA), la Coordination des Mouvements et Fronts patriotiques de résistance (CM-FPR). L'équipe de médiation, dont l'Algérie est le chef de file, comprend la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest(CEDEAO), l'Union africaine (UA), les Nations unies, l'Union européenne (UE) et l'Organisation de la Coopération islamique (OCI), le Burkina Faso, la Mauritanie, le Niger et le Tchad. L'accord de paix et de réconciliation au Mali signé vendredi à Bamako a été obtenu après cinq rounds de dialogue, engagé en juillet 2014 sous la conduite de la médiation internationale, dont l'Algérie est le chef de file. La cérémonie de la signature s'est déroulée en présence notamment du président du Conseil de la nation, Abdelkader Bensalah, représentant du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, de chefs d'Etat africains et des personnalités internationales.