Les réformes se poursuivent dans le secteur de la Justice, ce qui n'est pas chose facile", a indiqué, avant-hier, Tayeb Louh, ministre de la Justice, garde des Sceaux, lors de son intervention sur les ondes de la radio Chaîne III. Le ministre a souligné que "ces réformes profondes sont de nature à renforcer davantage la crédibilité et l'indépendance de la Justice". Les réformes se poursuivent dans le secteur de la Justice, ce qui n'est pas chose facile", a indiqué, avant-hier, Tayeb Louh, ministre de la Justice, garde des Sceaux, lors de son intervention sur les ondes de la radio Chaîne III. Le ministre a souligné que "ces réformes profondes sont de nature à renforcer davantage la crédibilité et l'indépendance de la Justice". "La Justice traite toutes les affaires de corruption dont elle est saisie et les réformes profondes prévues dans le secteur sont de nature à renforcer davantage la crédibilité et suprématie du pouvoir judiciaire", a-til ajouté. "Plusieurs parties veulent faire croire à l'opinion publique (...) que la Justice algérienne n'est pas capable d'obtenir l'extradition des individus impliqués dans une affaire pour les juger", a-t-il précisé. Par ailleurs, le ministre a confirmé la création d'une instance nationale pour la protection et la promotion de l'enfance, présidée par un commissaire national. "Cette instance vient compléter la politique nationale sur la protection de l'enfance, indiquant que l'Algérie a oeuvré depuis l'indépendance à la protection de l'enfant à travers ses législations dans tous les secteurs, notamment l'éducation, la santé et la solidarité nationale", a-t-il précisé. En vue de faciliter le travail des spécialistes en charge de l'enfance, il a été procédé à l'introduction de la protection sociale et judiciaire, contenue dans le code de procédure pénale, dans le nouveau texte, a indiqué le ministre. S'agissant du phénomène d'enlèvement des enfants, non mentionné dans le projet de loi, Tayeb Louh a fait savoir que les récents amendements du code pénal prévoient un durcissement des sanctions contre les auteurs d'enlèvement. "La Justice traite toutes les affaires de corruption dont elle est saisie et les réformes profondes prévues dans le secteur sont de nature à renforcer davantage la crédibilité et suprématie du pouvoir judiciaire", a-til ajouté. "Plusieurs parties veulent faire croire à l'opinion publique (...) que la Justice algérienne n'est pas capable d'obtenir l'extradition des individus impliqués dans une affaire pour les juger", a-t-il précisé. Par ailleurs, le ministre a confirmé la création d'une instance nationale pour la protection et la promotion de l'enfance, présidée par un commissaire national. "Cette instance vient compléter la politique nationale sur la protection de l'enfance, indiquant que l'Algérie a oeuvré depuis l'indépendance à la protection de l'enfant à travers ses législations dans tous les secteurs, notamment l'éducation, la santé et la solidarité nationale", a-t-il précisé. En vue de faciliter le travail des spécialistes en charge de l'enfance, il a été procédé à l'introduction de la protection sociale et judiciaire, contenue dans le code de procédure pénale, dans le nouveau texte, a indiqué le ministre. S'agissant du phénomène d'enlèvement des enfants, non mentionné dans le projet de loi, Tayeb Louh a fait savoir que les récents amendements du code pénal prévoient un durcissement des sanctions contre les auteurs d'enlèvement.