Des "risques de tsunami pèsent toujours sur l'Algérie, mais le pays dispose d'expérience et de moyenshumains nécessaires pour faire face à toute éventualité", a déclaré avant-hier la représentante spéciale du secrétaire général de l'Onu pour la réduction des catastrophes, Margareta Wahlstrom en visite à Alger. Des "risques de tsunami pèsent toujours sur l'Algérie, mais le pays dispose d'expérience et de moyenshumains nécessaires pour faire face à toute éventualité", a déclaré avant-hier la représentante spéciale du secrétaire général de l'Onu pour la réduction des catastrophes, Margareta Wahlstrom en visite à Alger. "Des menaces de tsunami pèsent toujours sur les côtes algériennes, mais l'Algérie compte de nombreux experts, qui, en plus d'être connaisseurs de risques, sont capables de développer une approche locale à même de faire face à toute éventualité", a en effet affirmé Mme Wahlstrom en marge d'une conférence sur les catastrophes naturelles, tenue à l'Ecole nationale d'administration (ENA) à Alger. Selon la représentante du SG de l'Onu, l'Algérie a réalisé des actions "très importantes" en matière de réduction et gestion des risques de catastrophes naturelles. "Aucun plan n'est parfait, toutefois, l'approche algérienne peut servir de model pour les pays voisins", a-t-elle souligné, appelant les autorités algériennes à partager leur expérience au niveau régional. Les avancées de l'Algérie sont illustrées, rappelle-t-elle, par le renforcement de son cadre juridique notamment par l'adoption en 2004 de la loi relative à la gestion des risques naturels et l'intégration du modede construction antisismique dans le secteur du bâtiment. En termes de suggestions, Mme Wahlstrom qui effectue une visite de deux jours à Alger à l'invitation du ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales, a plaidé pour davantage de formation et d'information en matière de de risques au niveau locale. Réduire la mortalité mondiale, augmenter le nombre de pays dotés de stratégie nationale et minimiser les pertes économiques en cas de sinistres naturels, sont les priorités de l'Onu pour les 15 prochaines années, a également indiqué Margareta Wahlstrom. Dans le cadre du nouveau plan d'action de l'Onu (Plan d'action de Sendai 2015- 2030), les 187 pays réunis récemment au Japon se sont assignés en tout 7 objectifs, a affirmé Mme Wahstrom . Ces principaux objectifs constituent de "grands enjeux" liés aux catastrophes naturelles au niveau mondial, à savoir la réduction de la mortalité mondiale, l'augmentationdu nombre de pays dotés de stratégies nationale et locale ainsi que la diminution des pertes économiques par rapport au PIB mondial. Le plan d'action comprend également le renforcement de la coopération internationale. il vise à faciliter l'accès aux systèmes multiples d'alerte et de réduire les dommages qui peuvent être occasionnés aux infrastructures de base en cas de catastrophes naturelles, mais aussi réduire le nombre de personnes touchées. Mme Wahlstrom a rappelé les quatre priorités inscrites au plan d'action. Il s'agit de "mieux comprendre les risques, du renforcement de la gouvernance des risques de catastrophes, de la préparation efficace aux catastrophes et l'intégration du mieux construire". La responsable onusienne a, en outre insisté sur les aspects liés à la récupération des infrastructures endommagées, la réhabilitation, la reconstruction et davantage d'investissement. A ce titre, "l'Onu et ses partenaires vont entrer en négociation pour décider de la suite à donner au plan Sendai. Il sera notamment question d'aborder le volet financier et tous les moyens qu'impliqueraient la mise en application du texte", a-t-elle conclu. "Des menaces de tsunami pèsent toujours sur les côtes algériennes, mais l'Algérie compte de nombreux experts, qui, en plus d'être connaisseurs de risques, sont capables de développer une approche locale à même de faire face à toute éventualité", a en effet affirmé Mme Wahlstrom en marge d'une conférence sur les catastrophes naturelles, tenue à l'Ecole nationale d'administration (ENA) à Alger. Selon la représentante du SG de l'Onu, l'Algérie a réalisé des actions "très importantes" en matière de réduction et gestion des risques de catastrophes naturelles. "Aucun plan n'est parfait, toutefois, l'approche algérienne peut servir de model pour les pays voisins", a-t-elle souligné, appelant les autorités algériennes à partager leur expérience au niveau régional. Les avancées de l'Algérie sont illustrées, rappelle-t-elle, par le renforcement de son cadre juridique notamment par l'adoption en 2004 de la loi relative à la gestion des risques naturels et l'intégration du modede construction antisismique dans le secteur du bâtiment. En termes de suggestions, Mme Wahlstrom qui effectue une visite de deux jours à Alger à l'invitation du ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales, a plaidé pour davantage de formation et d'information en matière de de risques au niveau locale. Réduire la mortalité mondiale, augmenter le nombre de pays dotés de stratégie nationale et minimiser les pertes économiques en cas de sinistres naturels, sont les priorités de l'Onu pour les 15 prochaines années, a également indiqué Margareta Wahlstrom. Dans le cadre du nouveau plan d'action de l'Onu (Plan d'action de Sendai 2015- 2030), les 187 pays réunis récemment au Japon se sont assignés en tout 7 objectifs, a affirmé Mme Wahstrom . Ces principaux objectifs constituent de "grands enjeux" liés aux catastrophes naturelles au niveau mondial, à savoir la réduction de la mortalité mondiale, l'augmentationdu nombre de pays dotés de stratégies nationale et locale ainsi que la diminution des pertes économiques par rapport au PIB mondial. Le plan d'action comprend également le renforcement de la coopération internationale. il vise à faciliter l'accès aux systèmes multiples d'alerte et de réduire les dommages qui peuvent être occasionnés aux infrastructures de base en cas de catastrophes naturelles, mais aussi réduire le nombre de personnes touchées. Mme Wahlstrom a rappelé les quatre priorités inscrites au plan d'action. Il s'agit de "mieux comprendre les risques, du renforcement de la gouvernance des risques de catastrophes, de la préparation efficace aux catastrophes et l'intégration du mieux construire". La responsable onusienne a, en outre insisté sur les aspects liés à la récupération des infrastructures endommagées, la réhabilitation, la reconstruction et davantage d'investissement. A ce titre, "l'Onu et ses partenaires vont entrer en négociation pour décider de la suite à donner au plan Sendai. Il sera notamment question d'aborder le volet financier et tous les moyens qu'impliqueraient la mise en application du texte", a-t-elle conclu.