Le ministre de la Communication, Hamid Grine, a mis l'accent, avanthier à Chlef, sur la nécessité de poursuivre les efforts de formation des journalistes en vue d'arriver à une presse professionnelle respectant la déontologie et évitant la diffamation et l'invective. Le ministre de la Communication, Hamid Grine, a mis l'accent, avanthier à Chlef, sur la nécessité de poursuivre les efforts de formation des journalistes en vue d'arriver à une presse professionnelle respectant la déontologie et évitant la diffamation et l'invective. Il a souligné, lors d'une conférence de presse animée en marge d'une visite de travail dans la wilaya, que son département ministériel oeuvre, parallèlement à la formation des journalistes, à l'organisation de la profession, à travers l'installation de différents organes consacrant cet objectif, dont le Conseil de déontologie de la profession, l'Autorité de régulation de l'audiovisuel, la Commission permanente de la presse écrite et la carte du journaliste professionnel. Le ministre a indiqué, en outre, que 2.800 journalistes professionnels, à l'échelle nationale, sur un total de 3.500 recensés par son ministère, ont déjà reçu leur carte nationale de presse. M. Grine a invité, à l'occasion, les journalistes à s'"auto-former en permanence" en vue d'être au diapason des mutations accélérées en cours dans le secteur, tout en incitant les correspondants de presse à "réclamer leurs droits socioprofessionnels" auprès de leurs employés, pour améliorer leur situation. Il a indiqué que parmi ces correspondants, nombre d'entre eux perçoivent des "salaires modestes, n'atteignant pas souvent le salaire minimum garanti". Signalant des démarches en cours pour la formation des chargés de communication auprès des wilayas et autres départements ministériels, Hamid Grine a, en outre, fait part d'un relèvement du taux de couverture radiophonique à 95 %, à l'horizon 2017, avec la suppression attendue de toutes les zones d'ombre affectant la diffusion radiophonique, à l'échelle nationale, at- il assuré. Inspectant le siège de la Radio régionale de Chlef, le ministre a insisté auprès de ses responsables, afin d'axer leurs efforts sur "l'information de proximité qui intéresse le citoyen et transmet ses préoccupations aux services concernés, tout enrespectant la spécificité agro-touristique de cette région". La critique dans la presse doit être "constructive et loin de l'injure et de l'invective", a estimé mardi à Aïn-Defla le ministre de la Communication, Hamid Grine. "Dans le monde de la presse, la critique est inévitable, mais le journaliste doit l'utiliser pour améliorer les choses et non pas pour porter atteinte à des responsables ou à des institutions de l'Etat", a indiqué le ministre au cours d'une conférence de presse qu'il a animée à l'issue de sa visite de travail dans la wilaya. M. Grine a insisté, d'autre part, sur la nécessité de vérifier et de confirmer toute information avant de la publier en vue d'"assurer la crédibilité du journaliste et du média concerné". "La vérification de l'information doit être le souci principal du journaliste, car elle constitue un des piliers du professionnalisme", a-t-il insisté à cet effet. Il a également invité les journalistes à veiller "à ne pas confondre rapidité avec précipitation" dans l'exercice de leur travail, notant que "la recherche du sensationnel à tout prix constitue souvent la cause de la précipitation." Il a souligné, lors d'une conférence de presse animée en marge d'une visite de travail dans la wilaya, que son département ministériel oeuvre, parallèlement à la formation des journalistes, à l'organisation de la profession, à travers l'installation de différents organes consacrant cet objectif, dont le Conseil de déontologie de la profession, l'Autorité de régulation de l'audiovisuel, la Commission permanente de la presse écrite et la carte du journaliste professionnel. Le ministre a indiqué, en outre, que 2.800 journalistes professionnels, à l'échelle nationale, sur un total de 3.500 recensés par son ministère, ont déjà reçu leur carte nationale de presse. M. Grine a invité, à l'occasion, les journalistes à s'"auto-former en permanence" en vue d'être au diapason des mutations accélérées en cours dans le secteur, tout en incitant les correspondants de presse à "réclamer leurs droits socioprofessionnels" auprès de leurs employés, pour améliorer leur situation. Il a indiqué que parmi ces correspondants, nombre d'entre eux perçoivent des "salaires modestes, n'atteignant pas souvent le salaire minimum garanti". Signalant des démarches en cours pour la formation des chargés de communication auprès des wilayas et autres départements ministériels, Hamid Grine a, en outre, fait part d'un relèvement du taux de couverture radiophonique à 95 %, à l'horizon 2017, avec la suppression attendue de toutes les zones d'ombre affectant la diffusion radiophonique, à l'échelle nationale, at- il assuré. Inspectant le siège de la Radio régionale de Chlef, le ministre a insisté auprès de ses responsables, afin d'axer leurs efforts sur "l'information de proximité qui intéresse le citoyen et transmet ses préoccupations aux services concernés, tout enrespectant la spécificité agro-touristique de cette région". La critique dans la presse doit être "constructive et loin de l'injure et de l'invective", a estimé mardi à Aïn-Defla le ministre de la Communication, Hamid Grine. "Dans le monde de la presse, la critique est inévitable, mais le journaliste doit l'utiliser pour améliorer les choses et non pas pour porter atteinte à des responsables ou à des institutions de l'Etat", a indiqué le ministre au cours d'une conférence de presse qu'il a animée à l'issue de sa visite de travail dans la wilaya. M. Grine a insisté, d'autre part, sur la nécessité de vérifier et de confirmer toute information avant de la publier en vue d'"assurer la crédibilité du journaliste et du média concerné". "La vérification de l'information doit être le souci principal du journaliste, car elle constitue un des piliers du professionnalisme", a-t-il insisté à cet effet. Il a également invité les journalistes à veiller "à ne pas confondre rapidité avec précipitation" dans l'exercice de leur travail, notant que "la recherche du sensationnel à tout prix constitue souvent la cause de la précipitation."