Le ministre des Affaires religieuses et des Wakfs, Mohamed Aissa, a affirmé jeudi à Alger que la programmation d'un quota pour le hadj au profit de la communauté nationale établie à l'étranger exigeait "une réflexion et une concertation" avec les différentes parties concernées. Le ministre des Affaires religieuses et des Wakfs, Mohamed Aissa, a affirmé jeudi à Alger que la programmation d'un quota pour le hadj au profit de la communauté nationale établie à l'étranger exigeait "une réflexion et une concertation" avec les différentes parties concernées. "Le ministère des Affaires religieuses oeuvre, en collaboration avec l'Office national du hadj et de la Omra (ONHO) et les secteurs concernés par le hadj à prendre en charge cette préoccupation", a souligné le ministre qui répondait à une question orale d'une députée du RND, lors d'une séance plénière de l'APN consacrée aux questions orales. Le ministre a appelé les députés représentant la communauté nationale à l'étranger à émettre leurs propositions à ce sujet, ajoutant que la consécration de ce quota nécessitait la prise de mesures spécifiques. Mohamed Aissa a affirmé que les membres de la communauté nationale établie à l'étranger avaient les mêmes droits et devoirs que leurs concitoyens en Algérie, soulignant que le hadj concernait tous les Algériens sans exclusive. Dans un souci de consacrer l'attachement de la communauté internationale à l'Islam, le ministre a rappelé que son département "oeuvre à encadrer l'activité religieuse et à détacher des imams et mourchidates, soulignant l'importance du rôle de la Grande Mosquée de Paris dans l'organisation et l'encadrement de la prière des tarawih durant le mois sacré pour permettre à la communauté nationale d'accomplir les rites religieux dans les meilleures conditions". "Le ministère des Affaires religieuses oeuvre, en collaboration avec l'Office national du hadj et de la Omra (ONHO) et les secteurs concernés par le hadj à prendre en charge cette préoccupation", a souligné le ministre qui répondait à une question orale d'une députée du RND, lors d'une séance plénière de l'APN consacrée aux questions orales. Le ministre a appelé les députés représentant la communauté nationale à l'étranger à émettre leurs propositions à ce sujet, ajoutant que la consécration de ce quota nécessitait la prise de mesures spécifiques. Mohamed Aissa a affirmé que les membres de la communauté nationale établie à l'étranger avaient les mêmes droits et devoirs que leurs concitoyens en Algérie, soulignant que le hadj concernait tous les Algériens sans exclusive. Dans un souci de consacrer l'attachement de la communauté internationale à l'Islam, le ministre a rappelé que son département "oeuvre à encadrer l'activité religieuse et à détacher des imams et mourchidates, soulignant l'importance du rôle de la Grande Mosquée de Paris dans l'organisation et l'encadrement de la prière des tarawih durant le mois sacré pour permettre à la communauté nationale d'accomplir les rites religieux dans les meilleures conditions".