La moudjahida Djamila Bouazza, une des figures marquantes de la Révolution algérienne, s'est éteinte vendredi à l'aube à la clinique El Azhar d'Alger, à l'âge de 78 ans, a-t-on appris auprès de ses proches. Hôspitalisée samedi dernier à minuit, Djamila Bouazza, "a rendu l'âme ce matin, épuisée par la vie", a indiqué à l'APS, son mari Boussouf Abboud. La moudjahida Djamila Bouazza, une des figures marquantes de la Révolution algérienne, s'est éteinte vendredi à l'aube à la clinique El Azhar d'Alger, à l'âge de 78 ans, a-t-on appris auprès de ses proches. Hôspitalisée samedi dernier à minuit, Djamila Bouazza, "a rendu l'âme ce matin, épuisée par la vie", a indiqué à l'APS, son mari Boussouf Abboud. La défunte a été en 1957, la première condamnée à mort avec sa compagne de lutte Djamila Bouhired, par le tribunal militaire français. La date de l'inhumation n'a pas encore été communiquée par ses proches. Djamila Bouazza qui est née en 1938 milita très jeune au FLN. Employée au Chèques postaux, elle intègre le "réseau bombes" de Yacef Saâdi. Condamnée à mort pour avoir posé une bombe au café du Coq Hardi pendant la Bataille d'Alger, l'engin préparé par Taleb Abderahmane provoque d'énormes dégâts : c'est l'attentat le plus meurtrier. Pour les Algériens, DjamilaBouazza est une héroïne, elle est condamnée à mort par le tribunal permanent des forces armées d'Alger et sera graciée par les Accords d'Evian en 1962 La défunte a été en 1957, la première condamnée à mort avec sa compagne de lutte Djamila Bouhired, par le tribunal militaire français. La date de l'inhumation n'a pas encore été communiquée par ses proches. Djamila Bouazza qui est née en 1938 milita très jeune au FLN. Employée au Chèques postaux, elle intègre le "réseau bombes" de Yacef Saâdi. Condamnée à mort pour avoir posé une bombe au café du Coq Hardi pendant la Bataille d'Alger, l'engin préparé par Taleb Abderahmane provoque d'énormes dégâts : c'est l'attentat le plus meurtrier. Pour les Algériens, DjamilaBouazza est une héroïne, elle est condamnée à mort par le tribunal permanent des forces armées d'Alger et sera graciée par les Accords d'Evian en 1962