C'est demain jeudi que s'ouvrira la 10e édition du Festival national de la musique et de la chanson citadine d'Annaba au théâtre régional Azzedine-Medjoubi. Cet événement culturel est organisé par la direction de la culture d'Annaba sous le patronage du ministre de la Culture. Depuis son institutionnalisation il y a dix ans, ce festival qui se tient chaque mois de Ramadhan fait le bonheur des mélomanes. C'est demain jeudi que s'ouvrira la 10e édition du Festival national de la musique et de la chanson citadine d'Annaba au théâtre régional Azzedine-Medjoubi. Cet événement culturel est organisé par la direction de la culture d'Annaba sous le patronage du ministre de la Culture. Depuis son institutionnalisation il y a dix ans, ce festival qui se tient chaque mois de Ramadhan fait le bonheur des mélomanes. Les Bônois vivront ainsi et jusqu'au 3 juillet au rythme du malouf, du chaâbi et du hawzi. Riche patrimoine culturel national de musiques et chansons raffinées dans ses différents genres, lié aux grandes cités algériennes. Formé de trois écoles, Il tire son origine d'une civilisation andalouse née de la rencontre heureuse de cultures méditerranéennes. Cette manifestation arrive au bon moment pour faire sortir cette grande ville côtière d'une léthargie culturelle marquant en général le restant de l'année. Elaboré par les organisateurs, le programme est une sélection de sons et de chansons représentant plusieurs régions du pays. Cette édition mettra à l'affiche, pas moins d'une quarantaine d'artistes, a-t-on appris, auprès de la direction de la culture. Durant neuf soirées, le temps que durera ce festival, des artistes de renom accompagnés d'orchestres formés de musiciens chevronnés, maîtrisant parfaitement leurs instruments, se produiront sur les planches du Théâtre régional Azzedine- Medjoubi de Annaba. La longue liste de ces artistes invités comporte des noms connus et appréciés par le public à l'exemple de Abdelmajid Meskoud, Mourad Djaâfri, Kamel Bouda et Naïma Ababsa et une multitude d'autres artistes de Annaba et de certaines régions du pays dont l'orchestre local de musique chaâbi et de malouf, les associations Qortobia (Souk- Ahras), Motribia (Biskra), Rawnak (Annaba) et Rasd ou maya (Skikda), ainsi que la troupe Ista de Tamanrasset sont également au programme de cette manifestation culturelle qui devrait donner un surcroît d'animation au veillées du Ramadhan dans l'antique Hippone. La participation maghrébine à cette 10e édition du festival est confiée à la tunisienne Sirine, artiste réputée pour sa voix puissante et mélodieuse, et au marocain Abdou El Ouezzani. Tous les artistes qui auront à se produire lors de cette 10e édition promèneront leur voix et le son de leurs instruments dans les plus pittoresques coins du malouf, chaâbi et hawzi. Ils réaliseront un play-back sur tout ce qui a trait à la musique et chanson citadines. A noter que la programmation est élargie à travers les localités limitrophes. Pour ce, des concerts de chants Aïssaoua, de malouf et de chaâbi seront également proposés au public des communes de Séraïdi, de Berrahal, d'Aïn- Berda, d'El-Bouni, d'El-Hadjar et de Sidi- Amar sur une initiative conjointe de la direction de la culture et des communes concernées. Pour les organisateurs, l'effort consenti pour rassembler tous ces artistes à Annaba, cité qui a vu naître et grandir le chantre du malouf M'hamed El Kourd, vise à satisfaire un public connaisseur. Tout en espérant que toutes ces apparitions sur les planches du théâtre Azzedine-Medjoubi seront à la mesure des attentes des Bônois et de leur goût de la fête. Les Bônois vivront ainsi et jusqu'au 3 juillet au rythme du malouf, du chaâbi et du hawzi. Riche patrimoine culturel national de musiques et chansons raffinées dans ses différents genres, lié aux grandes cités algériennes. Formé de trois écoles, Il tire son origine d'une civilisation andalouse née de la rencontre heureuse de cultures méditerranéennes. Cette manifestation arrive au bon moment pour faire sortir cette grande ville côtière d'une léthargie culturelle marquant en général le restant de l'année. Elaboré par les organisateurs, le programme est une sélection de sons et de chansons représentant plusieurs régions du pays. Cette édition mettra à l'affiche, pas moins d'une quarantaine d'artistes, a-t-on appris, auprès de la direction de la culture. Durant neuf soirées, le temps que durera ce festival, des artistes de renom accompagnés d'orchestres formés de musiciens chevronnés, maîtrisant parfaitement leurs instruments, se produiront sur les planches du Théâtre régional Azzedine- Medjoubi de Annaba. La longue liste de ces artistes invités comporte des noms connus et appréciés par le public à l'exemple de Abdelmajid Meskoud, Mourad Djaâfri, Kamel Bouda et Naïma Ababsa et une multitude d'autres artistes de Annaba et de certaines régions du pays dont l'orchestre local de musique chaâbi et de malouf, les associations Qortobia (Souk- Ahras), Motribia (Biskra), Rawnak (Annaba) et Rasd ou maya (Skikda), ainsi que la troupe Ista de Tamanrasset sont également au programme de cette manifestation culturelle qui devrait donner un surcroît d'animation au veillées du Ramadhan dans l'antique Hippone. La participation maghrébine à cette 10e édition du festival est confiée à la tunisienne Sirine, artiste réputée pour sa voix puissante et mélodieuse, et au marocain Abdou El Ouezzani. Tous les artistes qui auront à se produire lors de cette 10e édition promèneront leur voix et le son de leurs instruments dans les plus pittoresques coins du malouf, chaâbi et hawzi. Ils réaliseront un play-back sur tout ce qui a trait à la musique et chanson citadines. A noter que la programmation est élargie à travers les localités limitrophes. Pour ce, des concerts de chants Aïssaoua, de malouf et de chaâbi seront également proposés au public des communes de Séraïdi, de Berrahal, d'Aïn- Berda, d'El-Bouni, d'El-Hadjar et de Sidi- Amar sur une initiative conjointe de la direction de la culture et des communes concernées. Pour les organisateurs, l'effort consenti pour rassembler tous ces artistes à Annaba, cité qui a vu naître et grandir le chantre du malouf M'hamed El Kourd, vise à satisfaire un public connaisseur. Tout en espérant que toutes ces apparitions sur les planches du théâtre Azzedine-Medjoubi seront à la mesure des attentes des Bônois et de leur goût de la fête.