L'accès des professionnels de la pêche à la formation, y compris la formation par alternance et le perfectionnement, qui a déjà touché 20% des 50.000 inscrits maritimes, est l'un des axes de travail du secteur, a expliqué le ministre de la Pêche et des Ressources halieutiques, Sid-Ahmed Ferroukhi. L'accès des professionnels de la pêche à la formation, y compris la formation par alternance et le perfectionnement, qui a déjà touché 20% des 50.000 inscrits maritimes, est l'un des axes de travail du secteur, a expliqué le ministre de la Pêche et des Ressources halieutiques, Sid-Ahmed Ferroukhi. Il a indiqué , en marge de la cérémonie de clôture de l'année pédagogique à l'Institut national supérieur de la pêche et de l'aquaculture d'Alger, que ''10.000 personnes sont formées en deux ans''. ''Cette formation vise la validation des acquis des professionnels sur le terrain'', souligne t-il, citant l'exemple des électromécaniciens, déjà formés ''sur le tas'', mais qui n'ont pas de diplôme. ''Il existe dans le dispositif de la formation maritime cette possibilité, mais les professionnels n'ont pas l'habitude de passer devant un jury, qui évalue leurs connaissances et leur savoir-faire'', regrette le ministre. En 2015, ''il y a eu 1.059 professionnels formés pour la validation de leurs connaissances, ce qui est une manière pour le système de formation de s'adapter aux besoins des professionnels'' , estime M. Ferroukhi. Pour cela, il y a actuellement cinq écoles et deux instituts supérieurs de formation, qui sont des instrument au services des professionnels, mais ''la nouveauté pour cette année est la formation en plongée sous-marine qui est un domaine de pointe'', souligne le ministre. ''Le ministère va améliorer la qualité de la formation dans le cadre de la coopération internationale'', a annoncé M. Ferroukhi. Selon le ministre, il y a déjà un début de partenariat avec le ministère de la Formation professionnelle pour des spécialités identifiées dès cette année avec l'ouverture de la première formation à Kenadsa (Béchar) dans le domaine de l'aquaculture. ''On collabore également pour préparer des formations à Adrar, Ouargla et Tamanrasset pour l'aquaculture comme on assure aussi des formations à la carte et le recyclage'', insiste Ferroukhi. Le ministère de l'Agriculture a lancé cette année la première opération de recyclage de patrons de pêche pour la pêche à la sardine. Tous ces efforts visent à disposer d'une formation très réactive pour 50.000 inscrits maritimes dont la moitié a rejoint le métier dans les années 2000 et qui ont une moyenne d'âge de 40 ans, voire moins. ''Notre orientation est d'aller vers la formation continue car c'est un moyen de modernisation et d'intégration, ce qui est l'ambition du plan quinquennal afin de pouvoir gérer une flotte de pêche 4.500 embarcations, tous genres confondus'', explique le ministre. Le souci des responsables du secteur est d'améliorer la formation des marins pêcheurs pour rentabiliser l'outil de production, comme il s'agit aussi d'inculquer aux professionnels des connaissances sur la réglementation et le respect de l'environnement, ainsi que sur l'aquaculture. ''Il s'agit également de maintenir les 120.000 tonnes de produits de la pêche et la rendre durable, ce qui ne saurait être possible sans la formation'', estime M. Ferroukhi. La formation dans les métiers de la pêche est assurée actuellement par huit instituts spécialisés et des écoles pour l'année pédagogique 2015 dont le nombre d'inscrits est de 6.026 professionnels. Les formations vont du simple marin pêcheur au capitaine de pêche, en passant par les officiers mécaniciens de deuxième classe. Et l'année 2015 a marqué le début de la formation à El Kala de 14 plongeurs spécialisés dans la cueillette de corail. 300 personnes se sont inscrites pour cette formation pour la pêche au corail, mais la priorité a été donnée aux professionnels déjà en activité, indique la responsable de la formation au ministère. 73 % des marins qui ont suivi une formation spécialisée dans les métiers de la pêche ou de la conduite de navire de pêche sont des professionnels qui n'avaient pas d'attestation ou de diplômes, indique t-on de même source. Il a indiqué , en marge de la cérémonie de clôture de l'année pédagogique à l'Institut national supérieur de la pêche et de l'aquaculture d'Alger, que ''10.000 personnes sont formées en deux ans''. ''Cette formation vise la validation des acquis des professionnels sur le terrain'', souligne t-il, citant l'exemple des électromécaniciens, déjà formés ''sur le tas'', mais qui n'ont pas de diplôme. ''Il existe dans le dispositif de la formation maritime cette possibilité, mais les professionnels n'ont pas l'habitude de passer devant un jury, qui évalue leurs connaissances et leur savoir-faire'', regrette le ministre. En 2015, ''il y a eu 1.059 professionnels formés pour la validation de leurs connaissances, ce qui est une manière pour le système de formation de s'adapter aux besoins des professionnels'' , estime M. Ferroukhi. Pour cela, il y a actuellement cinq écoles et deux instituts supérieurs de formation, qui sont des instrument au services des professionnels, mais ''la nouveauté pour cette année est la formation en plongée sous-marine qui est un domaine de pointe'', souligne le ministre. ''Le ministère va améliorer la qualité de la formation dans le cadre de la coopération internationale'', a annoncé M. Ferroukhi. Selon le ministre, il y a déjà un début de partenariat avec le ministère de la Formation professionnelle pour des spécialités identifiées dès cette année avec l'ouverture de la première formation à Kenadsa (Béchar) dans le domaine de l'aquaculture. ''On collabore également pour préparer des formations à Adrar, Ouargla et Tamanrasset pour l'aquaculture comme on assure aussi des formations à la carte et le recyclage'', insiste Ferroukhi. Le ministère de l'Agriculture a lancé cette année la première opération de recyclage de patrons de pêche pour la pêche à la sardine. Tous ces efforts visent à disposer d'une formation très réactive pour 50.000 inscrits maritimes dont la moitié a rejoint le métier dans les années 2000 et qui ont une moyenne d'âge de 40 ans, voire moins. ''Notre orientation est d'aller vers la formation continue car c'est un moyen de modernisation et d'intégration, ce qui est l'ambition du plan quinquennal afin de pouvoir gérer une flotte de pêche 4.500 embarcations, tous genres confondus'', explique le ministre. Le souci des responsables du secteur est d'améliorer la formation des marins pêcheurs pour rentabiliser l'outil de production, comme il s'agit aussi d'inculquer aux professionnels des connaissances sur la réglementation et le respect de l'environnement, ainsi que sur l'aquaculture. ''Il s'agit également de maintenir les 120.000 tonnes de produits de la pêche et la rendre durable, ce qui ne saurait être possible sans la formation'', estime M. Ferroukhi. La formation dans les métiers de la pêche est assurée actuellement par huit instituts spécialisés et des écoles pour l'année pédagogique 2015 dont le nombre d'inscrits est de 6.026 professionnels. Les formations vont du simple marin pêcheur au capitaine de pêche, en passant par les officiers mécaniciens de deuxième classe. Et l'année 2015 a marqué le début de la formation à El Kala de 14 plongeurs spécialisés dans la cueillette de corail. 300 personnes se sont inscrites pour cette formation pour la pêche au corail, mais la priorité a été donnée aux professionnels déjà en activité, indique la responsable de la formation au ministère. 73 % des marins qui ont suivi une formation spécialisée dans les métiers de la pêche ou de la conduite de navire de pêche sont des professionnels qui n'avaient pas d'attestation ou de diplômes, indique t-on de même source.