Les numéros verts de la Police et de la Gendarmerie nationale, c'est établi, constituent à présent un moyen des plus efficaces dans la lutte contre la criminalité en Algérie. Cette méthode fait de plus en plus ses preuves sur le terrain à travers la résolution de plusieurs affaires compliquées et l'arrestation des auteurs en flagrant délit, s'apprêtant à commettre des méfaits tels les vols et les agressions, soit tout ce qui a trait aux atteintes des biens et personnes. Les numéros verts de la Police et de la Gendarmerie nationale, c'est établi, constituent à présent un moyen des plus efficaces dans la lutte contre la criminalité en Algérie. Cette méthode fait de plus en plus ses preuves sur le terrain à travers la résolution de plusieurs affaires compliquées et l'arrestation des auteurs en flagrant délit, s'apprêtant à commettre des méfaits tels les vols et les agressions, soit tout ce qui a trait aux atteintes des biens et personnes. Preuve de l'adhésion des citoyens à cette démarche, la DGSN, la Direction générale de la Sûreté nationale, a enregistré durant le mois de juillet dernier pas moins de 58.635 appels sur numéro vert, le 15-48 et ce, sur un total de 110.050 appels dont 51.420 appels sur son vieux numéro 17 qui reste toujours opérationnel. La moyenne pour le numéro vert est toujours de 1.500 appels/jour tandis que si on additionne l'ensemble des communications, cela nous donne une belle moyenne quotidienne de 3.000 communications, ce qui confirme donc la tendance en hausse de ce geste citoyen. La DGSN a indiqué dans un communiqué de presse la répartition de ces appels et révélé à ce sujet que plus de 16.430 communications ont porté sur des demandes d'intervention et que 2.400 autres concernent des signalements des accidents de la route qui restent en hausse, notamment en cette période de la saison estivale. 35.267 appels ont trait à des demandes de renseignements et 55.960 appels sont placés dans la catégorie "autres". La Direction générale de la Sûreté nationale s'est félicitée à cette occasion des résultats remarquables réalisés par ses éléments grâce au recours au téléphone et a assuré que ce bon réflexe de solliciter l'intervention de la police a donné ses fruits à travers la résolution de plusieurs affaires de criminalité et l'arrestation de nombreux malfaiteurs en flagrant délit alors qu'ils s'apprêtaient à commettre leurs actes, notamment les vols. En outre, ce réflexe salvateur a permis aux policiers d'intervenir à temps pour mettre en échec toutes les tentatives d'atteintes aux personnes et aux biens. Il faut rappeler que durant le premier trimestre de 2015, la DGSN a recensé 184.729 appels à son numéro vert dont plus de 29.000 communications ont porté sur des demandes d'intervention et de secours et 76.200 appels ont trait à des renseignements et informations. Plus de 3580 communications ont été effectuées pour signaler des accidents de la route alors que 75.889 appels ont été mis dans la catégorie "autres". Pour sa part, la Gendarmerie nationale n'est pas en reste et voit elle aussi son numéro vert de plus en plus sollicité par les populations. Mis en service au début de l'année 2001, le numéro vert de la Gendarmerie nationale a permis de régler pas mal de problèmes. Lors des 4 dernières années, près de 6 millions d'appels sur le 10/55 ont été recensés sur le territoire national pour dénoncer des actes liés à l'ordre public, l'obstruction de la voie publique, le trafic de stupéfiants, la contrebande et même le terrorisme, soit une moyenne qui avoisine les 4.000 communications par jour. Au total, ce sont plus de 850 personnes qui ont été arrêtées sur plus de 153.000 interventions effectuées par les différentes unités d'intervention de la GN. Comme pour la police, la tendance est à la hausse puisqu'on note une implication active des populations. En 2011, le chiffre était de 1,3 million d'appels avant de passer à plus de 1,4 million de communications en 2013 pour atteindre 1,5 million d'appels en 2014. Les enquêtes ont démontré que 52 % des appels ont porté sur des demandes d'informations, 22 % pour signaler des accidents de la circulation, 16 % pour signaler les routes coupées ou l'atteinte à la sécurité publique (terrorisme, contrebande, trafic de drogue) et 10 % pour dénoncer des agressions ou des menaces contre des personnes. Preuve de l'adhésion des citoyens à cette démarche, la DGSN, la Direction générale de la Sûreté nationale, a enregistré durant le mois de juillet dernier pas moins de 58.635 appels sur numéro vert, le 15-48 et ce, sur un total de 110.050 appels dont 51.420 appels sur son vieux numéro 17 qui reste toujours opérationnel. La moyenne pour le numéro vert est toujours de 1.500 appels/jour tandis que si on additionne l'ensemble des communications, cela nous donne une belle moyenne quotidienne de 3.000 communications, ce qui confirme donc la tendance en hausse de ce geste citoyen. La DGSN a indiqué dans un communiqué de presse la répartition de ces appels et révélé à ce sujet que plus de 16.430 communications ont porté sur des demandes d'intervention et que 2.400 autres concernent des signalements des accidents de la route qui restent en hausse, notamment en cette période de la saison estivale. 35.267 appels ont trait à des demandes de renseignements et 55.960 appels sont placés dans la catégorie "autres". La Direction générale de la Sûreté nationale s'est félicitée à cette occasion des résultats remarquables réalisés par ses éléments grâce au recours au téléphone et a assuré que ce bon réflexe de solliciter l'intervention de la police a donné ses fruits à travers la résolution de plusieurs affaires de criminalité et l'arrestation de nombreux malfaiteurs en flagrant délit alors qu'ils s'apprêtaient à commettre leurs actes, notamment les vols. En outre, ce réflexe salvateur a permis aux policiers d'intervenir à temps pour mettre en échec toutes les tentatives d'atteintes aux personnes et aux biens. Il faut rappeler que durant le premier trimestre de 2015, la DGSN a recensé 184.729 appels à son numéro vert dont plus de 29.000 communications ont porté sur des demandes d'intervention et de secours et 76.200 appels ont trait à des renseignements et informations. Plus de 3580 communications ont été effectuées pour signaler des accidents de la route alors que 75.889 appels ont été mis dans la catégorie "autres". Pour sa part, la Gendarmerie nationale n'est pas en reste et voit elle aussi son numéro vert de plus en plus sollicité par les populations. Mis en service au début de l'année 2001, le numéro vert de la Gendarmerie nationale a permis de régler pas mal de problèmes. Lors des 4 dernières années, près de 6 millions d'appels sur le 10/55 ont été recensés sur le territoire national pour dénoncer des actes liés à l'ordre public, l'obstruction de la voie publique, le trafic de stupéfiants, la contrebande et même le terrorisme, soit une moyenne qui avoisine les 4.000 communications par jour. Au total, ce sont plus de 850 personnes qui ont été arrêtées sur plus de 153.000 interventions effectuées par les différentes unités d'intervention de la GN. Comme pour la police, la tendance est à la hausse puisqu'on note une implication active des populations. En 2011, le chiffre était de 1,3 million d'appels avant de passer à plus de 1,4 million de communications en 2013 pour atteindre 1,5 million d'appels en 2014. Les enquêtes ont démontré que 52 % des appels ont porté sur des demandes d'informations, 22 % pour signaler des accidents de la circulation, 16 % pour signaler les routes coupées ou l'atteinte à la sécurité publique (terrorisme, contrebande, trafic de drogue) et 10 % pour dénoncer des agressions ou des menaces contre des personnes.