Personne n'est à l'abri d'une crise économique avec la chute des prix du pétrole, a estimé Abderrahmane , ministre des Finances, lors de son intervention, ce lundi 24 août, sur les ondes de la radio Chaîne III. Personne n'est à l'abri d'une crise économique avec la chute des prix du pétrole, a estimé Abderrahmane , ministre des Finances, lors de son intervention, ce lundi 24 août, sur les ondes de la radio Chaîne III. Le ministre des Finances s'est voulu rassurant quant à la situation financière du pays. Pour Abderrahmane Benkhalfa l'Algérie a échappé à une crise frontale qui a touché plusieurs pays. «Nous ne subissons pas de choc frontal car nous n'avons pas de dettes et nous disposons d'épargne institutionnelle », a-t-il expliqué. La situation doit cependant être traitée car «personne n'est à l'abri», a-t-il ajouté. La solution pour faire face à la chute du prix du baril est «l'optimisation de l'utilisation des ressources», a insisté M. Benkhalfa. «Nous sommes un pays à fort potentiel de croissance, il faut donc optimiser nos ressources afin de préserver notre épargne institutionnelle», a-t-il expliqué tout en indiquant qu'aucune révision des subventions des produits de large consommation n'est prévue. La possibilité de recourir à l'endettement a été également éloignée par le ministre. «Nous ne sommes pas arrivés à ce stade», a-t-il dit. Abderrahmane Benkhalfa a insisté de ce fait pour que tous les acteurs bancarisent leur argent. «La bancarisation des ressources est une solution adaptée à la situation économique de notre pays». Revenant sur la baisse du dinar, le ministre des Finances dira : «Ce n'est pas le dinar qui a baissé mais c'est le dollar qui a augmenté ». Selon lui il faut que l'économie soit compétitive pour que le dinar se relève. Des mesures financières pour les entreprises qui s'installent dans la substitution aux importations «Des mesures financières sont prévues pour toute entreprise qui se substituera à l'importation». a annoncé, ce matin, Abderrahmane Benkhalfa, l'argentier du pays «Toute entreprise qui s'installe dans la substitution aux importations bénéficie de 10 à 20 %, en matière d'impôts, aussi bien sur l'IBS, sur la TAP, sur l'IRG, Sut la TVA, sur les droits de douanes », a affirmé le ministre. «Chaque fois qu'il ya un investissement qui se fait en substitution de l'importation, on fait en sorte que l'investisseur gagne en impôt de 15 à 20 % par rapport à une importation d'un produit qui vient de l'extérieur et cette voie va être encore renforcée par des mesures structurelles », a-t il précisé. Le ministre des Finances s'est voulu rassurant quant à la situation financière du pays. Pour Abderrahmane Benkhalfa l'Algérie a échappé à une crise frontale qui a touché plusieurs pays. «Nous ne subissons pas de choc frontal car nous n'avons pas de dettes et nous disposons d'épargne institutionnelle », a-t-il expliqué. La situation doit cependant être traitée car «personne n'est à l'abri», a-t-il ajouté. La solution pour faire face à la chute du prix du baril est «l'optimisation de l'utilisation des ressources», a insisté M. Benkhalfa. «Nous sommes un pays à fort potentiel de croissance, il faut donc optimiser nos ressources afin de préserver notre épargne institutionnelle», a-t-il expliqué tout en indiquant qu'aucune révision des subventions des produits de large consommation n'est prévue. La possibilité de recourir à l'endettement a été également éloignée par le ministre. «Nous ne sommes pas arrivés à ce stade», a-t-il dit. Abderrahmane Benkhalfa a insisté de ce fait pour que tous les acteurs bancarisent leur argent. «La bancarisation des ressources est une solution adaptée à la situation économique de notre pays». Revenant sur la baisse du dinar, le ministre des Finances dira : «Ce n'est pas le dinar qui a baissé mais c'est le dollar qui a augmenté ». Selon lui il faut que l'économie soit compétitive pour que le dinar se relève. Des mesures financières pour les entreprises qui s'installent dans la substitution aux importations «Des mesures financières sont prévues pour toute entreprise qui se substituera à l'importation». a annoncé, ce matin, Abderrahmane Benkhalfa, l'argentier du pays «Toute entreprise qui s'installe dans la substitution aux importations bénéficie de 10 à 20 %, en matière d'impôts, aussi bien sur l'IBS, sur la TAP, sur l'IRG, Sut la TVA, sur les droits de douanes », a affirmé le ministre. «Chaque fois qu'il ya un investissement qui se fait en substitution de l'importation, on fait en sorte que l'investisseur gagne en impôt de 15 à 20 % par rapport à une importation d'un produit qui vient de l'extérieur et cette voie va être encore renforcée par des mesures structurelles », a-t il précisé.