Les relations historiques qu'entretiennent l'Algérie et le Mali, dont le président, Ibrahim Boubacar Keita, effectue depuis dimanche dernier une visite de travail et d'amitié à Alger, ont connu une dynamique soutenue au cours de ces dernières années. Les relations historiques qu'entretiennent l'Algérie et le Mali, dont le président, Ibrahim Boubacar Keita, effectue depuis dimanche dernier une visite de travail et d'amitié à Alger, ont connu une dynamique soutenue au cours de ces dernières années. Cette visite "confortera une longue tradition de fraternité, de solidarité, de coopération et de bon voisinage, qui existe entre l'Algérie et le Mali", avait indiqué un communiqué de la présidence de la République. Les entretiens qu'auront à cette occasion les présidents Abdelaziz Bouteflika et Ibrahim Boubacar Keita "leur permettront d'échanger leurs vues sur les questions régionales et internationales, au premier chef desquelles la mise en oeuvre de l'Accord d'Alger pour la paix et la réconciliation au Mali et au bénéfice de ses voisins ainsi que de la sécurité dans la sous région", avait ajouté la même source. En effet, les relations algéro-maliennes ont connu ces dernières années un développement sans précédent, marqué notamment par le rôle central de l'Algérie dans la conclusion de l'accord de paix et de réconciliation pour un règlement pacifique de la crise au Mali. Au lendemain de la signature de cet accord, le président malien avait fait part de l'engagement de son pays à déployer toute son énergie pour le retour de la paix et de la stabilité "afin que le monde retienne que l'Algérie n'a pas oeuvré en vain". "Nous ferons tout pour réussir en vue du rétablissement de la paix, de la stabilité et de la prospérité au Mali et que le monde et l'histoire retiennent que l'Algérie n'a pas oeuvré en vain", avait-il souligné. Evoquant les relations algéro-maliennes, M. Keïta avait déclaré que les deux pays "ont un avenir de coopération très brillant, stratégique, tourné vers la stabilité et le développement, à l'image de ces deux peuples qui veulent la paix". L'accord de paix et de réconciliation au Mali a été conclu après cinq rounds de dialogue, engagé en juillet 2014, sous la conduite de la médiation internationale, dont l'Algérie était le chef de file. L'Algérie et le Mali ont affiché, en de multiples occasions, leur volonté commune d'aller de l'avant sur la voie du développement et de la diversification de leur coopération bilatérale. L'évolution des relations entre Alger et Bamako est ponctuée par l'échange de visites au plus haut niveau des deux Etats, en vue de consolider cette relation d'amitié séculaire et ouvrir de nouvelles perspectives d'une coopération diversifiée. Les deux pays avaient décidé de mettre en place de nouveaux mécanismes dans le cadre du renforcement de leur coopération bilatérale, à travers la création d'un comité bilatéral chargé de suivre la mise en oeuvre des décisions liées au règlement pacifique du conflit du nord du Mali. Ils avaient convenu également de l'élaboration et de la mise en oeuvre d'arrangements de sécurité commune, prenant en considération le renforcement de la coopération militaire, sécuritaire et la lutte contre le terrorisme et le trafic. Il a été, aussi, question de la mise en place d'un "programme spécial" de développement économique des régions du nord du Mali et des zones frontalières des deux pays et de réaliser un "programme spécial" d'appui humanitaire au bénéfice notamment des populations affectées des régions des deux pays. Cette visite "confortera une longue tradition de fraternité, de solidarité, de coopération et de bon voisinage, qui existe entre l'Algérie et le Mali", avait indiqué un communiqué de la présidence de la République. Les entretiens qu'auront à cette occasion les présidents Abdelaziz Bouteflika et Ibrahim Boubacar Keita "leur permettront d'échanger leurs vues sur les questions régionales et internationales, au premier chef desquelles la mise en oeuvre de l'Accord d'Alger pour la paix et la réconciliation au Mali et au bénéfice de ses voisins ainsi que de la sécurité dans la sous région", avait ajouté la même source. En effet, les relations algéro-maliennes ont connu ces dernières années un développement sans précédent, marqué notamment par le rôle central de l'Algérie dans la conclusion de l'accord de paix et de réconciliation pour un règlement pacifique de la crise au Mali. Au lendemain de la signature de cet accord, le président malien avait fait part de l'engagement de son pays à déployer toute son énergie pour le retour de la paix et de la stabilité "afin que le monde retienne que l'Algérie n'a pas oeuvré en vain". "Nous ferons tout pour réussir en vue du rétablissement de la paix, de la stabilité et de la prospérité au Mali et que le monde et l'histoire retiennent que l'Algérie n'a pas oeuvré en vain", avait-il souligné. Evoquant les relations algéro-maliennes, M. Keïta avait déclaré que les deux pays "ont un avenir de coopération très brillant, stratégique, tourné vers la stabilité et le développement, à l'image de ces deux peuples qui veulent la paix". L'accord de paix et de réconciliation au Mali a été conclu après cinq rounds de dialogue, engagé en juillet 2014, sous la conduite de la médiation internationale, dont l'Algérie était le chef de file. L'Algérie et le Mali ont affiché, en de multiples occasions, leur volonté commune d'aller de l'avant sur la voie du développement et de la diversification de leur coopération bilatérale. L'évolution des relations entre Alger et Bamako est ponctuée par l'échange de visites au plus haut niveau des deux Etats, en vue de consolider cette relation d'amitié séculaire et ouvrir de nouvelles perspectives d'une coopération diversifiée. Les deux pays avaient décidé de mettre en place de nouveaux mécanismes dans le cadre du renforcement de leur coopération bilatérale, à travers la création d'un comité bilatéral chargé de suivre la mise en oeuvre des décisions liées au règlement pacifique du conflit du nord du Mali. Ils avaient convenu également de l'élaboration et de la mise en oeuvre d'arrangements de sécurité commune, prenant en considération le renforcement de la coopération militaire, sécuritaire et la lutte contre le terrorisme et le trafic. Il a été, aussi, question de la mise en place d'un "programme spécial" de développement économique des régions du nord du Mali et des zones frontalières des deux pays et de réaliser un "programme spécial" d'appui humanitaire au bénéfice notamment des populations affectées des régions des deux pays.