Le transfert et le relogement des habitants du bidonville d'Erremli, dans la commune de Gué de-Constantine, ''se fera dans les meilleurs délais'', a annoncé dimanche le wali d'Alger, Abdelkader Zoukh, sans donner plus de précisions. Le transfert et le relogement des habitants du bidonville d'Erremli, dans la commune de Gué de-Constantine, ''se fera dans les meilleurs délais'', a annoncé dimanche le wali d'Alger, Abdelkader Zoukh, sans donner plus de précisions. Il ''est impossible de donner de daté précise'' pour ce transfert, a-t-il souligné dans des déclarations à la presse lors du lancement de la rentrée scolaire dans la wilaya d'Alger. Selon le chef de l'exécutif de la wilaya d'Alger, ''cette opération de transfert) a été retardée du fait du dernier mouvement dans le corps des walis, ainsi que par les préparatifs de la rentrée sociale et scolaire''. Mais, il a affirmé que ''la commission chargée d'organiser l'opération de relogement des 1.000 familles du bidonville d'Erremli travaille toujours, et lorsque cette commission rendra ses conclusions, le transfert (de ces familles, NDLR) aura lieu''. Au moins 4.000 travailleurs de la wilaya seront mobilisés pour cette opération, a-til précisé, avant d'expliquer que ''des moyens seront dégagés pour prendre en charge le transport des enfants scolarisés''. Le recasement des habitants de ce bidonville, prévu avant le mois sacré du Ramadhan, n'a pu se faire à cause desdossiers des postulants qui sont toujours à l'étude, ont indiqué en juin dernier des sources proches de la wilaya. "Les familles d'Erremli sont impatientes de déménager, mais nous sommes plus impatients qu'elles car ce bidonville, le plus grand de la capitale, gêne les travaux de construction du viaduc de oued Ouchayah et d'aménagement de oued El- Harrach", avait souligné le wali Abdelkader Zoukh rapporte l'APS. Jusqu'à présent, 20.000 familles habitant des sites précaires dans la wilaya d'Alger ont bénéficié d'un logement à la faveur du programme de résorption de l'habitat précaire lancé en 2014 par les autorités locales. L'opération avait débuté le 21 juin 2014 avec la distribution d'un premier quota de 25.800 logements sociaux-locatifs implantés à Alger, Blida et Boumerdès, sur un programme global de 84.700 logements, alors que le nombre des familles concernées est de 72.752, selon un recensement effectué en 2007. Ce recensement, actualisé en juillet 2013, a porté sur cinq catégories d'habitat : les bidonvilles, les chalets, les quartiers vétustes, les immeubles menaçant ruine (IMR) et enfin les caves et les terrasses. Le retard pris dans le transfert des habitants d'Erremli a contrarié le programme de réalisation du viaduc de Oued Ouchayah, une pièce maîtresse dans le plan de désengorgement du centre-ville de la capitale. Le ministère des Travaux publics avait exigé, rappelle t-on, des autorités locales de "mettre le paquet" pour raser le bidonville d'Erremli, afin de livrer dans les meilleurs délais le projet de la radiale de Oued Ouchayah, qui fait la jonction entre le tunnel de Oued Ouchayah (Bachdjarrah) avec l'autoroute Est-Ouest au niveau de la commune de Baraki. En fait, le programme de relogement dans la wilaya d'Alger a permis de relancer plusieurs projets dont la ligne ferroviaire électrifiée à double voie Birtouta- Zéralda, le barrage de Douéra et le stade communal de Birkhadem, par la libération des terrains squattés par des indus occupants Il ''est impossible de donner de daté précise'' pour ce transfert, a-t-il souligné dans des déclarations à la presse lors du lancement de la rentrée scolaire dans la wilaya d'Alger. Selon le chef de l'exécutif de la wilaya d'Alger, ''cette opération de transfert) a été retardée du fait du dernier mouvement dans le corps des walis, ainsi que par les préparatifs de la rentrée sociale et scolaire''. Mais, il a affirmé que ''la commission chargée d'organiser l'opération de relogement des 1.000 familles du bidonville d'Erremli travaille toujours, et lorsque cette commission rendra ses conclusions, le transfert (de ces familles, NDLR) aura lieu''. Au moins 4.000 travailleurs de la wilaya seront mobilisés pour cette opération, a-til précisé, avant d'expliquer que ''des moyens seront dégagés pour prendre en charge le transport des enfants scolarisés''. Le recasement des habitants de ce bidonville, prévu avant le mois sacré du Ramadhan, n'a pu se faire à cause desdossiers des postulants qui sont toujours à l'étude, ont indiqué en juin dernier des sources proches de la wilaya. "Les familles d'Erremli sont impatientes de déménager, mais nous sommes plus impatients qu'elles car ce bidonville, le plus grand de la capitale, gêne les travaux de construction du viaduc de oued Ouchayah et d'aménagement de oued El- Harrach", avait souligné le wali Abdelkader Zoukh rapporte l'APS. Jusqu'à présent, 20.000 familles habitant des sites précaires dans la wilaya d'Alger ont bénéficié d'un logement à la faveur du programme de résorption de l'habitat précaire lancé en 2014 par les autorités locales. L'opération avait débuté le 21 juin 2014 avec la distribution d'un premier quota de 25.800 logements sociaux-locatifs implantés à Alger, Blida et Boumerdès, sur un programme global de 84.700 logements, alors que le nombre des familles concernées est de 72.752, selon un recensement effectué en 2007. Ce recensement, actualisé en juillet 2013, a porté sur cinq catégories d'habitat : les bidonvilles, les chalets, les quartiers vétustes, les immeubles menaçant ruine (IMR) et enfin les caves et les terrasses. Le retard pris dans le transfert des habitants d'Erremli a contrarié le programme de réalisation du viaduc de Oued Ouchayah, une pièce maîtresse dans le plan de désengorgement du centre-ville de la capitale. Le ministère des Travaux publics avait exigé, rappelle t-on, des autorités locales de "mettre le paquet" pour raser le bidonville d'Erremli, afin de livrer dans les meilleurs délais le projet de la radiale de Oued Ouchayah, qui fait la jonction entre le tunnel de Oued Ouchayah (Bachdjarrah) avec l'autoroute Est-Ouest au niveau de la commune de Baraki. En fait, le programme de relogement dans la wilaya d'Alger a permis de relancer plusieurs projets dont la ligne ferroviaire électrifiée à double voie Birtouta- Zéralda, le barrage de Douéra et le stade communal de Birkhadem, par la libération des terrains squattés par des indus occupants