Les consommateurs algériens prennent d'assaut les supermarchés en vue de faire leurs emplettes. Cela correspond avec la rentrée sociale et celles des classes Les consommateurs algériens prennent d'assaut les supermarchés en vue de faire leurs emplettes. Cela correspond avec la rentrée sociale et celles des classes Les supermarchés de Bab Ezzouar, celui d'Ardis et de Garidi font l'objet d'une véritable ruée de consommateurs qui fréquentent ces espaces commerciaux de jour comme de nuit. Les grands centres commerciaux ont l'avantage d'avoir autant de produits de toutes sortes aussi bien locaux qu'étrangers. « Les centres ne ferment pas jusqu'à une heure tardive et la saison pour se procurer des produits qui restent abordables » nous renseigne un des employés du centre de Bab Ezzouar. Bien que ces établissements comportent des produits de luxe hors de prix, les autres rayons de consommation dont l'alimentaire et les cosmétiques voient des files d'acheteurs et de visiteurs pour prendre au minimum 2 ou 3 articles. Nombreux sont ceux et celles qui choisissent le week-end et de préférence de bonheur pour l'achat de vêtements pour enfants produits localement et qui sont accessibles (entre 2000 et 3000 DA la pièce) alors que d'autres traînent les chariots pour faire le tour des rayons de l'alimentation où généralement s'entassent des paquets de céréales, pâtes en tous genres, légumes secs, sucreries, jus de toutes natures. Pour les grands labels, les achats en masse présentent l'occasion de faire baisser les prix pour les articles conditionnés en Algérie. C'est l'aubaine pour ces centres qui veillent à la qualité et au prix de ces produits «made in Algeria » qui ont actuellement le vent en poupe. A la différence des superettes du coin, les supermarchés travaillent leurs enseignes en diversifiant autant que possible leurs fournisseurs. On y trouve des produits exotiques, des articles de bijouterie provenant de la Chine et Dubai et les robes de soie pour soirées de luxe. Toutefois, cela ne représente qu'un segment de clients parmi les plus aisés. Les autres souvent des pères et mères de familles accompagnés de leurs progénitures pour choisir un cartable ou un sac scolaire, des fournitures ou s'attablent carrément dans des cafétérias et petits restaurants aménagés pour la circonstance. Les supermarchés bien dotés d'équipements de télésurveillance avec une armée d'agents qui veillent au contrôle et à la sécurité renseignent sur le degré d'efficacité de ces espaces qui deviennent du coup des endroits d'évasion et de distraction pour des couples ou des jeunes qui tiennent à déambuler avec à la main un sachet de yaourts ou des canettes de soda. Le prétexte d'acheter est vite repéré par les agents marketeurs qui font un travail de conseil d'achats et livraison des produits électroménagers à domicile ou de la présentation dans les rayons de cosmétiques des crèmes de soins capillaires derniers cris. Cela dit, certains sont déçus par certains tarifs proposés pour les meubles, les stores et les articles d'habillement qui coûtent plus chers que dans les magasins de centre- ville. Des chemises à teint uni ou bariolées qui sont proposées entre 9000 et 15.000 DA font vite déguerpir les jeunes branchés à la mode. Des jupes et robes pour jeunes filles coûtent aussi chers. Il n'y a pas de discount ni de promotions pour les prix et souvent les consommateurs rouspètent en considérant que « ce sont les prix de l'arnaque ». Toutefois, avec le retour d'un autre grand concurrent français en Algérie, le commerce dans les supermarchés a de beaux jours devant lui. Les supermarchés de Bab Ezzouar, celui d'Ardis et de Garidi font l'objet d'une véritable ruée de consommateurs qui fréquentent ces espaces commerciaux de jour comme de nuit. Les grands centres commerciaux ont l'avantage d'avoir autant de produits de toutes sortes aussi bien locaux qu'étrangers. « Les centres ne ferment pas jusqu'à une heure tardive et la saison pour se procurer des produits qui restent abordables » nous renseigne un des employés du centre de Bab Ezzouar. Bien que ces établissements comportent des produits de luxe hors de prix, les autres rayons de consommation dont l'alimentaire et les cosmétiques voient des files d'acheteurs et de visiteurs pour prendre au minimum 2 ou 3 articles. Nombreux sont ceux et celles qui choisissent le week-end et de préférence de bonheur pour l'achat de vêtements pour enfants produits localement et qui sont accessibles (entre 2000 et 3000 DA la pièce) alors que d'autres traînent les chariots pour faire le tour des rayons de l'alimentation où généralement s'entassent des paquets de céréales, pâtes en tous genres, légumes secs, sucreries, jus de toutes natures. Pour les grands labels, les achats en masse présentent l'occasion de faire baisser les prix pour les articles conditionnés en Algérie. C'est l'aubaine pour ces centres qui veillent à la qualité et au prix de ces produits «made in Algeria » qui ont actuellement le vent en poupe. A la différence des superettes du coin, les supermarchés travaillent leurs enseignes en diversifiant autant que possible leurs fournisseurs. On y trouve des produits exotiques, des articles de bijouterie provenant de la Chine et Dubai et les robes de soie pour soirées de luxe. Toutefois, cela ne représente qu'un segment de clients parmi les plus aisés. Les autres souvent des pères et mères de familles accompagnés de leurs progénitures pour choisir un cartable ou un sac scolaire, des fournitures ou s'attablent carrément dans des cafétérias et petits restaurants aménagés pour la circonstance. Les supermarchés bien dotés d'équipements de télésurveillance avec une armée d'agents qui veillent au contrôle et à la sécurité renseignent sur le degré d'efficacité de ces espaces qui deviennent du coup des endroits d'évasion et de distraction pour des couples ou des jeunes qui tiennent à déambuler avec à la main un sachet de yaourts ou des canettes de soda. Le prétexte d'acheter est vite repéré par les agents marketeurs qui font un travail de conseil d'achats et livraison des produits électroménagers à domicile ou de la présentation dans les rayons de cosmétiques des crèmes de soins capillaires derniers cris. Cela dit, certains sont déçus par certains tarifs proposés pour les meubles, les stores et les articles d'habillement qui coûtent plus chers que dans les magasins de centre- ville. Des chemises à teint uni ou bariolées qui sont proposées entre 9000 et 15.000 DA font vite déguerpir les jeunes branchés à la mode. Des jupes et robes pour jeunes filles coûtent aussi chers. Il n'y a pas de discount ni de promotions pour les prix et souvent les consommateurs rouspètent en considérant que « ce sont les prix de l'arnaque ». Toutefois, avec le retour d'un autre grand concurrent français en Algérie, le commerce dans les supermarchés a de beaux jours devant lui.