Sept soldats congolais ont été tués et quatre blessés jeudi dans une attaque surprise dans le nord-est de la République démocratique du Congo (RDC), menée apparemment par des rebelles islamistes ougandais, a-t-on appris de sources militaires. Sept soldats congolais ont été tués et quatre blessés jeudi dans une attaque surprise dans le nord-est de la République démocratique du Congo (RDC), menée apparemment par des rebelles islamistes ougandais, a-t-on appris de sources militaires. Des hommes armés ont attaqué un camp des forces congolaises (FARDC) près de la ville de Mbau, à une douzaine de kilomètres de Beni, dans la province du Nord-Kivu. Selon une organisation locale, le Centre d'étude pour la promotion de la paix, la démocratie et les droits de l'homme (CEPADHO), deux civils et quatre assaillants ont également été tués dans l'attaque. La fusillade a duré plus de deux heures. Selon le CEPADHO, les assaillants appartenaient aux Forces démocratiques alliées (ADF), un groupe islamiste ougandais actif près de Beni. Les ADF seraient responsables de plusieurs massacres de civils qui ont fait plus de 400 morts depuis octobre dernier, affirment des groupes locaux. Un porte-parole des forces armées congolaises, Mak Hazukay, a affirmé pour sa part que l'attaque n'avait fait aucun mort dans les rangs des FARDC, seulement un blessé. Six assaillants ont été tués, a-t-il dit. Des hommes armés ont attaqué un camp des forces congolaises (FARDC) près de la ville de Mbau, à une douzaine de kilomètres de Beni, dans la province du Nord-Kivu. Selon une organisation locale, le Centre d'étude pour la promotion de la paix, la démocratie et les droits de l'homme (CEPADHO), deux civils et quatre assaillants ont également été tués dans l'attaque. La fusillade a duré plus de deux heures. Selon le CEPADHO, les assaillants appartenaient aux Forces démocratiques alliées (ADF), un groupe islamiste ougandais actif près de Beni. Les ADF seraient responsables de plusieurs massacres de civils qui ont fait plus de 400 morts depuis octobre dernier, affirment des groupes locaux. Un porte-parole des forces armées congolaises, Mak Hazukay, a affirmé pour sa part que l'attaque n'avait fait aucun mort dans les rangs des FARDC, seulement un blessé. Six assaillants ont été tués, a-t-il dit.