En l'espace d'une vingtaine de jours, la route nationale 12, a été fermée deux fois par des citoyens en colère causant ainsi d'énormes perturbations dans le trafic routier. En l'espace d'une vingtaine de jours, la route nationale 12, a été fermée deux fois par des citoyens en colère causant ainsi d'énormes perturbations dans le trafic routier. Cette fois, cet axe routier qui relie Alger à l'est du pays en passant par Tizi-Ouzou, a été fermé par des habitants du village Boukeloune, dans la commune de Naciria à une quarantaine de kilomètres à l'est de Boumerdès. Les manifestants réclament la réalisation d'une passerelle pour rejoindre leur localité via cette route où plusieurs accidents ont fait, par le passé, des pertes en vies humaines. Certains affirment que pas moins d'une dizaines de personnes ont trouvé la mort au moment où elles voulaient traverser la route pour rallier la localité située à quelques mètres dudit axe routier. Le denier accident en date c'est celui qui avait fait, selon un manifestant, deux victimes dont un jeune adolescent. «Nous avons réclamé la réalisation d'une passerelle afin de sauver des vies humaines, mais en vain », s'indignent-ils devant le silence des autorités qui n'ont pas fait grand chose pour éviter la mort aux piétons. En tous cas, le danger est omniprésent sur tout le long de la route. Car plusieurs hameaux et autres ne sont pas encore dotés en passerelles notamment à Si-Mustapha ou Chender qui enregistre le plus d'accidents de circulation mortels. Cette action de protestation a provoqué d'énormes bouchons sur la route et plusieurs automobilistes étaient immobiles durant plusieurs heures. Cette fois, cet axe routier qui relie Alger à l'est du pays en passant par Tizi-Ouzou, a été fermé par des habitants du village Boukeloune, dans la commune de Naciria à une quarantaine de kilomètres à l'est de Boumerdès. Les manifestants réclament la réalisation d'une passerelle pour rejoindre leur localité via cette route où plusieurs accidents ont fait, par le passé, des pertes en vies humaines. Certains affirment que pas moins d'une dizaines de personnes ont trouvé la mort au moment où elles voulaient traverser la route pour rallier la localité située à quelques mètres dudit axe routier. Le denier accident en date c'est celui qui avait fait, selon un manifestant, deux victimes dont un jeune adolescent. «Nous avons réclamé la réalisation d'une passerelle afin de sauver des vies humaines, mais en vain », s'indignent-ils devant le silence des autorités qui n'ont pas fait grand chose pour éviter la mort aux piétons. En tous cas, le danger est omniprésent sur tout le long de la route. Car plusieurs hameaux et autres ne sont pas encore dotés en passerelles notamment à Si-Mustapha ou Chender qui enregistre le plus d'accidents de circulation mortels. Cette action de protestation a provoqué d'énormes bouchons sur la route et plusieurs automobilistes étaient immobiles durant plusieurs heures.