La ministre de l'Education nationale, Mme Nouria Benghebrit a indiqué à Alger que les travailleurs du secteur bénéficieront de la médecine du travail en vertu d'une nouvelle convention qui sera signée prochainement avec le ministère de la Santé. La ministre de l'Education nationale, Mme Nouria Benghebrit a indiqué à Alger que les travailleurs du secteur bénéficieront de la médecine du travail en vertu d'une nouvelle convention qui sera signée prochainement avec le ministère de la Santé. "Les responsables des secteurs de l'Education et de la Santé ont finalisé l'examen de cette convention et il ne reste que sa signature", a précisé Mme Benghebrit lors d'une visite d'inspection effectuée avec le ministre de la santé, de la population et de la réforme hospitalière, Abdelmalek Boudiaf à une classe de cours à l'hôpital Issaad Hassani (Beni Messous) consacrée aux enfants scolarisés malades ainsi qu'à l'unité de dépistage et de suivi (UDS) de Bouzaréah. "Après la généralisation de ces classes dans les CHU, elles seront ouvertes dans tous les hôpitaux que compte le pays", a-t-elle souligné. L'ouverture de ces classes au niveau des CHU "permettront aux enfants scolarisés malades de poursuivre leurs études sans interruption, tout en passant les différents examens (fin du cycle primaire, BEM et Baccalauréat) au niveau de l'hôpital", a-t-elle précisé. A une question sur les violences en milieu scolaire, Mme Benghebrit a affirmé que les mesures prises pour mettre un terme au phénomène de la violence scolaire restaient insuffisantes, soulignant que la responsabilité de la lutte contre ce phénomène incombait à tous les secteurs. En vue de mettre un terme à ce phénomène, la ministre a prôné "la médiation" pour "apprendre aux élèves la meilleure méthode pour régler leurs problèmes de façon civilisée et sans recourir à la violence". Elle a appelé les parents d'élèves, les enseignants et les auxiliaires de l'éducation à la vigilance, "à enseigner aux élèves les valeurs de la tolérance et à régler leurs différends dans le calme". M. Boudiaf a pour sa part affirmé que cette convention qui concernera les travailleurs de l'éducation "leur permettra de bénéficier d'une couverture sanitaire globale" au niveau national. Concernant la santé scolaire, le ministre a indiqué que "les médecins complèteront fin septembre les examens médicaux au niveau des établissements éducatifs, tout en assurant les examens médicaux spécialisés et en garantissant le suivi permanent des élèves". Plus de 6.000 médecins (généralistes, spécialistes, chirurgiens-dentistes, psychologues et personnel paramédical) ont été mobilisés pour la mise en oeuvre du programme de santé scolaire pour l'année 2015, ont indiqué des responsables du ministère de la santé . "Les responsables des secteurs de l'Education et de la Santé ont finalisé l'examen de cette convention et il ne reste que sa signature", a précisé Mme Benghebrit lors d'une visite d'inspection effectuée avec le ministre de la santé, de la population et de la réforme hospitalière, Abdelmalek Boudiaf à une classe de cours à l'hôpital Issaad Hassani (Beni Messous) consacrée aux enfants scolarisés malades ainsi qu'à l'unité de dépistage et de suivi (UDS) de Bouzaréah. "Après la généralisation de ces classes dans les CHU, elles seront ouvertes dans tous les hôpitaux que compte le pays", a-t-elle souligné. L'ouverture de ces classes au niveau des CHU "permettront aux enfants scolarisés malades de poursuivre leurs études sans interruption, tout en passant les différents examens (fin du cycle primaire, BEM et Baccalauréat) au niveau de l'hôpital", a-t-elle précisé. A une question sur les violences en milieu scolaire, Mme Benghebrit a affirmé que les mesures prises pour mettre un terme au phénomène de la violence scolaire restaient insuffisantes, soulignant que la responsabilité de la lutte contre ce phénomène incombait à tous les secteurs. En vue de mettre un terme à ce phénomène, la ministre a prôné "la médiation" pour "apprendre aux élèves la meilleure méthode pour régler leurs problèmes de façon civilisée et sans recourir à la violence". Elle a appelé les parents d'élèves, les enseignants et les auxiliaires de l'éducation à la vigilance, "à enseigner aux élèves les valeurs de la tolérance et à régler leurs différends dans le calme". M. Boudiaf a pour sa part affirmé que cette convention qui concernera les travailleurs de l'éducation "leur permettra de bénéficier d'une couverture sanitaire globale" au niveau national. Concernant la santé scolaire, le ministre a indiqué que "les médecins complèteront fin septembre les examens médicaux au niveau des établissements éducatifs, tout en assurant les examens médicaux spécialisés et en garantissant le suivi permanent des élèves". Plus de 6.000 médecins (généralistes, spécialistes, chirurgiens-dentistes, psychologues et personnel paramédical) ont été mobilisés pour la mise en oeuvre du programme de santé scolaire pour l'année 2015, ont indiqué des responsables du ministère de la santé .