Le ministre du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale invite les services de l'inspection du travail à intensifier encore plus les actions de contrôle avec un ciblage pertinent des secteurs nécessitant un suivi particulier en matière de contrôle visant à assurer le respect des droits fondamentaux des travailleurs. Le ministre du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale invite les services de l'inspection du travail à intensifier encore plus les actions de contrôle avec un ciblage pertinent des secteurs nécessitant un suivi particulier en matière de contrôle visant à assurer le respect des droits fondamentaux des travailleurs. Mohamed El Ghazi qui a présidé avant-hier les travaux de la rencontre nationale des cadres des services de l'Inspection Générale du Travail a appelé ces derniers à « exploiter toutes les opportunités existantes », notamment au niveau local, pour « développer des actions de communication » envers le monde du travail, assurant une large vulgarisation et une meilleure compréhension des dispositions législatives et réglementaire, nécessaires, selon lui, à « la garantie de l'effectivité du droit du travail ». Il a exhorté en outre à « poursuivre les efforts » fournis en matière d'amélioration des prestations de l'institution en tant que service public en contact quotidien avec le citoyen, notamment en matière d'accueil des usagers, de célérité et d'efficacité dans la prise en charge de leurs doléances et préoccupations. « Il faut contribuer encore plus à la promotion de la culture de dialogue social au niveau des entreprises en tant que facteur essentiel dans la prévention des conflits de travail et de garantie d'un climat social apaisé », a-t-il recommandé. Cette rencontre des cadres de l'Inspection du travail s'inscrit dans le cadre des actions engagées par le secteur du Travail de l'Emploi et de la Sécurité Sociale en matière d'évaluation périodique de l'action de ses services centraux et déconcentrés, permettant de faire le bilan des activités réalisées, d'examiner les résultats atteints, de lever les contraintes et les difficultés rencontrées, de corriger les dysfonctionnements éventuels et d'établir les lignes directrices et les orientations nécessaires se rapportant à l'exercice des missions de cette institution. Pour El Ghazi, l'Inspection du travail a enregistré « un saut qualitatif et quantitatif » en termes de « modernisation » depuis sa réorganisation intervenue il y a une dizaine d'années, en application du programme du président de la République, lequel a porté, a-t-il ajouté, notamment sur la réforme des organes de contrôle, dans le but de garantir au mieux l'application de la législation et la réglementation du travail et le respect des droits des travailleurs, en usant toujours des bienfaits du dialogue et de la concertation. « Cette institution a bénéficié, dans le cadre de la mise en oeuvre de ce plan de modernisation, de différentes mesures au profit des services au niveau local ayant permis l'amélioration des conditions de travail des inspecteurs du travail et d'accueil des usagers, le renforcement et la modernisation des moyens de travail », a fait-il savoir. La ressource humaine, et en sus de la réhabilitation engagée ces dernières années par les pouvoirs publics au profit des fonctionnaires de cette, a fait l'objet d'un renforcement important avec le recrutement de 300 inspecteurs du travail de niveau universitaire dans le cadre du programme 2010-2014, qui bénéficient de cycles de formation et de mises à niveau nécessaires à une bonne maitrise de leurs fonctions. Il faut souligner qu'en 2015, du moins jusqu'au 31 août, l'inspection du travail a enregistré 142.069 visites de contrôle réalisées auprès de 191.675 établissements inscrits au fichier. Ça a concerné plus de 2.9 millions travailleurs et encadré par plus de 600 inspecteurs. Le Secteur privé national vient en tête des établissements contrôlés avec 130.800 visites contre 3342 pour le privé étranger. Pour le secteur public, le bilan a porté sur 7.641 visites Au final, 146.355 actes ont été établis pour 911.683 travailleurs concernés. Ces actes portent sur 83.730 mises en demeure, 43.015 procès-verbaux d'infraction (PVI) et de 19.610 observations écrites. Par branches d'activités, 88.595 actes ont concerné les services contre 22.000 actes pour l'industrie, 830 actes pour l'agriculture et 34.870 actes pour le BTPH. Mohamed El Ghazi qui a présidé avant-hier les travaux de la rencontre nationale des cadres des services de l'Inspection Générale du Travail a appelé ces derniers à « exploiter toutes les opportunités existantes », notamment au niveau local, pour « développer des actions de communication » envers le monde du travail, assurant une large vulgarisation et une meilleure compréhension des dispositions législatives et réglementaire, nécessaires, selon lui, à « la garantie de l'effectivité du droit du travail ». Il a exhorté en outre à « poursuivre les efforts » fournis en matière d'amélioration des prestations de l'institution en tant que service public en contact quotidien avec le citoyen, notamment en matière d'accueil des usagers, de célérité et d'efficacité dans la prise en charge de leurs doléances et préoccupations. « Il faut contribuer encore plus à la promotion de la culture de dialogue social au niveau des entreprises en tant que facteur essentiel dans la prévention des conflits de travail et de garantie d'un climat social apaisé », a-t-il recommandé. Cette rencontre des cadres de l'Inspection du travail s'inscrit dans le cadre des actions engagées par le secteur du Travail de l'Emploi et de la Sécurité Sociale en matière d'évaluation périodique de l'action de ses services centraux et déconcentrés, permettant de faire le bilan des activités réalisées, d'examiner les résultats atteints, de lever les contraintes et les difficultés rencontrées, de corriger les dysfonctionnements éventuels et d'établir les lignes directrices et les orientations nécessaires se rapportant à l'exercice des missions de cette institution. Pour El Ghazi, l'Inspection du travail a enregistré « un saut qualitatif et quantitatif » en termes de « modernisation » depuis sa réorganisation intervenue il y a une dizaine d'années, en application du programme du président de la République, lequel a porté, a-t-il ajouté, notamment sur la réforme des organes de contrôle, dans le but de garantir au mieux l'application de la législation et la réglementation du travail et le respect des droits des travailleurs, en usant toujours des bienfaits du dialogue et de la concertation. « Cette institution a bénéficié, dans le cadre de la mise en oeuvre de ce plan de modernisation, de différentes mesures au profit des services au niveau local ayant permis l'amélioration des conditions de travail des inspecteurs du travail et d'accueil des usagers, le renforcement et la modernisation des moyens de travail », a fait-il savoir. La ressource humaine, et en sus de la réhabilitation engagée ces dernières années par les pouvoirs publics au profit des fonctionnaires de cette, a fait l'objet d'un renforcement important avec le recrutement de 300 inspecteurs du travail de niveau universitaire dans le cadre du programme 2010-2014, qui bénéficient de cycles de formation et de mises à niveau nécessaires à une bonne maitrise de leurs fonctions. Il faut souligner qu'en 2015, du moins jusqu'au 31 août, l'inspection du travail a enregistré 142.069 visites de contrôle réalisées auprès de 191.675 établissements inscrits au fichier. Ça a concerné plus de 2.9 millions travailleurs et encadré par plus de 600 inspecteurs. Le Secteur privé national vient en tête des établissements contrôlés avec 130.800 visites contre 3342 pour le privé étranger. Pour le secteur public, le bilan a porté sur 7.641 visites Au final, 146.355 actes ont été établis pour 911.683 travailleurs concernés. Ces actes portent sur 83.730 mises en demeure, 43.015 procès-verbaux d'infraction (PVI) et de 19.610 observations écrites. Par branches d'activités, 88.595 actes ont concerné les services contre 22.000 actes pour l'industrie, 830 actes pour l'agriculture et 34.870 actes pour le BTPH.