Un nouveau système de radar de contrôle de vitesse de dernière génération est, désormais, opérationnel sur les routes. La Gendarmerie nationale a mis en service "571 systèmes radars de contrôle de vitesse de dernière génération (2015), mobiles, discrets, embraqués sur véhicules et capables de détecter les infractions au code de la route, en temps réel, notamment les excès de vitesse", a précisé le responsable. Un nouveau système de radar de contrôle de vitesse de dernière génération est, désormais, opérationnel sur les routes. La Gendarmerie nationale a mis en service "571 systèmes radars de contrôle de vitesse de dernière génération (2015), mobiles, discrets, embraqués sur véhicules et capables de détecter les infractions au code de la route, en temps réel, notamment les excès de vitesse", a précisé le responsable. La nouvelle acquisition "s'inscrit dans le cadre de la démarche générale adoptée par l'Etat et en plus des multiples dispositions entreprises visant à instaurer une nouvelle culture de sécurité routière", a-til expliqué encore. La démarche vise aussi à "renforcer les dispositifs de prévention pour mieux lutter contre les accidents de la route et pour intercepter les contrevenants impliqués dans les accidents qui engendrent chaque année des milliers de morts et des blessés en plus des dégâts matériels considérables", a ajouté M. Badaoui. "Ces nouveaux moyens sont déployés afin d'identifier les conducteurs dangereux qui roulent avec excès de vitesse et qui provoquent souvent des accidents mortels", a noté le responsable, indiquant que ces moyens "vont instaurer une nouvelle culture de sécurité routière favorisant le travail de prévention et de sensibilisation des usagers de la route". L'intervenant a expliqué, à cette occasion, que la mise en service de ce système "va se faire de manière progressive", annonçant qu'elle "sera généralisée d'ici à mars de l'année prochaine". S'agissant de la répartition de ces systèmes, le responsable a relevé qu'elle "se fera selon l'importance du périmètre ainsi que selon le classement de la zone en matière d'accidents de la route". Déclarant que "l'acquisition de ces moyens s'est basée sur une étude opérationnelle", le général a relevé que "les 500 radars déjà en service seront déployés sur les chemins de wilayas et des communes afin d'atteindre une complémentarité entre les deux systèmes". Il permet, selon le même responsable, "l'enregistrement de la vidéo prise par la caméra permettant l'interception des conducteurs auteurs de conduite dangereuse, le contrôle des véhicules permettant d'intercepter les véhicules en excès de vitesse dans les deux sens, le contrôle des véhicules, de jour comme de nuit dans toutes les conditions climatiques à l'aide d'un système d'infrarouge, et l'élaboration en temps réel du procès verbal des infractions constatées". Le responsable cite aussi le fait que "les infractions relevées sont enregistrées dans une banque de données, à partir de laquelle, une liste noire des usagers commettant fréquemment des infractions au code de la route est communiquée à toutes les unités de la Gendarmerie nationale". L'élaboration de cette liste noire "va aider les pouvoirs publics et les autorités judiciaires à prendre les mesures appropriées", a-t-il soutenu, qualifiant l'acquisition de ce système comme une "préparation à l'application du permis à points" inscrit dans la lutte contre les accidents de la route. Relevant, dans ce sens, que "le système radar a été homologué par d'importants laboratoires internationaux", il a souligné que le "nouveau radar mobile est d'une technologie très avancée, installé sur des véhicules banalisées de la GN, de différents types, avec une fiabilité de détection des excès de vitesse quasiment sûre". La nouvelle acquisition "s'inscrit dans le cadre de la démarche générale adoptée par l'Etat et en plus des multiples dispositions entreprises visant à instaurer une nouvelle culture de sécurité routière", a-til expliqué encore. La démarche vise aussi à "renforcer les dispositifs de prévention pour mieux lutter contre les accidents de la route et pour intercepter les contrevenants impliqués dans les accidents qui engendrent chaque année des milliers de morts et des blessés en plus des dégâts matériels considérables", a ajouté M. Badaoui. "Ces nouveaux moyens sont déployés afin d'identifier les conducteurs dangereux qui roulent avec excès de vitesse et qui provoquent souvent des accidents mortels", a noté le responsable, indiquant que ces moyens "vont instaurer une nouvelle culture de sécurité routière favorisant le travail de prévention et de sensibilisation des usagers de la route". L'intervenant a expliqué, à cette occasion, que la mise en service de ce système "va se faire de manière progressive", annonçant qu'elle "sera généralisée d'ici à mars de l'année prochaine". S'agissant de la répartition de ces systèmes, le responsable a relevé qu'elle "se fera selon l'importance du périmètre ainsi que selon le classement de la zone en matière d'accidents de la route". Déclarant que "l'acquisition de ces moyens s'est basée sur une étude opérationnelle", le général a relevé que "les 500 radars déjà en service seront déployés sur les chemins de wilayas et des communes afin d'atteindre une complémentarité entre les deux systèmes". Il permet, selon le même responsable, "l'enregistrement de la vidéo prise par la caméra permettant l'interception des conducteurs auteurs de conduite dangereuse, le contrôle des véhicules permettant d'intercepter les véhicules en excès de vitesse dans les deux sens, le contrôle des véhicules, de jour comme de nuit dans toutes les conditions climatiques à l'aide d'un système d'infrarouge, et l'élaboration en temps réel du procès verbal des infractions constatées". Le responsable cite aussi le fait que "les infractions relevées sont enregistrées dans une banque de données, à partir de laquelle, une liste noire des usagers commettant fréquemment des infractions au code de la route est communiquée à toutes les unités de la Gendarmerie nationale". L'élaboration de cette liste noire "va aider les pouvoirs publics et les autorités judiciaires à prendre les mesures appropriées", a-t-il soutenu, qualifiant l'acquisition de ce système comme une "préparation à l'application du permis à points" inscrit dans la lutte contre les accidents de la route. Relevant, dans ce sens, que "le système radar a été homologué par d'importants laboratoires internationaux", il a souligné que le "nouveau radar mobile est d'une technologie très avancée, installé sur des véhicules banalisées de la GN, de différents types, avec une fiabilité de détection des excès de vitesse quasiment sûre".