L'évacuation des familles des bidonvilles ''Erremlli'', dans la commune de Gué de Constantine et ''Bateau cassé'' à Bordj El Kiffan, dans la wilaya d'Alger, a permis de reloger presque un millier de familles, qui vivaient dans des conditions difficiles. L'évacuation des familles des bidonvilles ''Erremlli'', dans la commune de Gué de Constantine et ''Bateau cassé'' à Bordj El Kiffan, dans la wilaya d'Alger, a permis de reloger presque un millier de familles, qui vivaient dans des conditions difficiles. Selon la Ligue algérienne pour la défense des droits de l'homme ( LADDH ), au moins 14 millions d'Algériens vivent sous le seuil de la pauvreté à se conformer aux standards internationaux en la matière. Les Algériens pauvres semblent de plus en plus nombreux, conséquence de la détérioration des conditions socioéconomiques du pays enregistrée ces dernières années. Selon une enquête menée par la LADDH, les Algériens pauvres représentent 35 % de la population en se conformant aux critères définissant la pauvreté dans le monde. Et à en croire les conclusions de l'enquête de la LADDH ayant touché 4.500 ménages, 80 % des richesses de l'Algérie sont aux mains de seulement de 10% d'Algériens. La même organisation de défense des droits de l'homme en Algérie avait estimé, en 2014, à plus de 9 millions d'Algériens vivant en dessous du seuil de pauvreté soit près de 1.932.000 familles algériennes déclarées démunies en 2014, en augmentation de 304.000 familles par rapport à 2013. L'extrême pauvreté devrait frapper cette année moins de 10% de la population mondiale tout en restant "très inquiétante" en Afrique subsaharienne, selon un rapport de la Banque mondiale (BM) publié dimanche. Quelque 702 millions de personnes, soit 9,6% de la population mondiale, devraient vivre sur le globe sous le seuil de pauvreté, que l'institution a porté de 1,25 à 1,90 dollar par jour pour tenir notamment compte de l'inflation, selon ces prévisions publiées en prélude à l'assemblée générale FMI-BM la semaine prochaine à Lima (Pérou). En 2012, date des données disponibles les plus récentes, les plus défavorisés de la planète étaient 902 millions, soit près de 13% de la population mondiale. Cette proportion atteignait 29% en 1999. "Ces projections nous montrent que nous pourrions être la première génération dans l'histoire qui pourrait mettre un terme à l'extrême pauvreté", s'est félicité Jim Yong Kim, le président de la Banque mondiale. Selon le dirigeant, ces nouveaux chiffres devraient donner un "nouvel élan" après l'adoption la semaine dernière par les Nations unies de nouveaux objectifs de développement durable, dont l'éradication de l'extrême pauvreté. La Banque mondiale note toutefois que "de nombreux obstacles" demeurent, notamment en raison de fortes disparités géographiques. Selon la Ligue algérienne pour la défense des droits de l'homme ( LADDH ), au moins 14 millions d'Algériens vivent sous le seuil de la pauvreté à se conformer aux standards internationaux en la matière. Les Algériens pauvres semblent de plus en plus nombreux, conséquence de la détérioration des conditions socioéconomiques du pays enregistrée ces dernières années. Selon une enquête menée par la LADDH, les Algériens pauvres représentent 35 % de la population en se conformant aux critères définissant la pauvreté dans le monde. Et à en croire les conclusions de l'enquête de la LADDH ayant touché 4.500 ménages, 80 % des richesses de l'Algérie sont aux mains de seulement de 10% d'Algériens. La même organisation de défense des droits de l'homme en Algérie avait estimé, en 2014, à plus de 9 millions d'Algériens vivant en dessous du seuil de pauvreté soit près de 1.932.000 familles algériennes déclarées démunies en 2014, en augmentation de 304.000 familles par rapport à 2013. L'extrême pauvreté devrait frapper cette année moins de 10% de la population mondiale tout en restant "très inquiétante" en Afrique subsaharienne, selon un rapport de la Banque mondiale (BM) publié dimanche. Quelque 702 millions de personnes, soit 9,6% de la population mondiale, devraient vivre sur le globe sous le seuil de pauvreté, que l'institution a porté de 1,25 à 1,90 dollar par jour pour tenir notamment compte de l'inflation, selon ces prévisions publiées en prélude à l'assemblée générale FMI-BM la semaine prochaine à Lima (Pérou). En 2012, date des données disponibles les plus récentes, les plus défavorisés de la planète étaient 902 millions, soit près de 13% de la population mondiale. Cette proportion atteignait 29% en 1999. "Ces projections nous montrent que nous pourrions être la première génération dans l'histoire qui pourrait mettre un terme à l'extrême pauvreté", s'est félicité Jim Yong Kim, le président de la Banque mondiale. Selon le dirigeant, ces nouveaux chiffres devraient donner un "nouvel élan" après l'adoption la semaine dernière par les Nations unies de nouveaux objectifs de développement durable, dont l'éradication de l'extrême pauvreté. La Banque mondiale note toutefois que "de nombreux obstacles" demeurent, notamment en raison de fortes disparités géographiques.