L'Algérie a, depuis son indépendance, investi des ressources importantes afin de garantir à toute la population un accès équitable à la scolarisation, aux soins, à la protection sociale et à la protection des enfants contre les situations à risque et la violence. L'Algérie a, depuis son indépendance, investi des ressources importantes afin de garantir à toute la population un accès équitable à la scolarisation, aux soins, à la protection sociale et à la protection des enfants contre les situations à risque et la violence. La situation des enfants en Algérie, a été passée au peigne fin par la Ligue algérienne pour la défense des droits de l'homme (LADDH), sur la base de la réalité actuelle et le respect des engagements pris par le pays, en tenant compte des dispositions de la Convention relative aux droits de l'enfant (CDE) et les Objectifs du millénaire pour le développement (OMD). Cette dernière, sous la coupe de son secrétaire général, Keddour El Houari, tire la sonnette d'alarme sur les multiples agressions, violences, kidnappings et meurtres contre les enfants en Algérie. L'Algérie a, depuis son indépendance, investi des ressources importantes afin de garantir à toute la population un accès équitable à la scolarisation, aux soins, à la protection sociale et à la protection des enfants contre les situations à risque et la violence. Entre autres, depuis 1999, des programmes de développement nationaux et régionaux pour améliorer la situation socio-économique de la population, sont engagés, mais tout cela est insuffisant, vu le rapport mis en lumière. Ce dernier révèle, entre autres, 256 cas d'enlèvements d'enfants, dont 15 cas suivis de meurtre. Cette situation, a poussé la Ligue à plaider pour la révision de la loi sur l'enfant adoptée en mai 2015 ainsi que pour l'association de tous les acteurs de la protection de l'enfance. La Ligue a présenté, à l'occasion du 26e anniversaire de la Convention internationale des droits de l'enfant, un rapport accablant sur la situation des enfants en Algérie, victimes de différentes formes de violation. Le document a fait état de la propagation de différents phénomènes privant les enfants de leurs droits les plus élémentaires. 1.800 cas d'abus sexuels recensés en 2015, 5.580 cas de violence et de mauvais traitement au cours de la même année. Le même rapport indique également que plus de 25.000 enfants sont exposés à la délinquance, à la drogue et à la mendicité, ajoutant que plus de 45.000 enfants en Algérie sont nés sous "X" en plus de 300 à 550.000 enfants travailleurs. En se référant aux chiffres avancés par le ministère de l'Education, la Ligue note que l'Algérie compte plus de 3 millions d'enfants pauvres lesquels bénéficient d'une prime scolaire de 3.000 DA, 1.300.000 d'entre eux bénéficient de vêtementsn et 4 millions bénéficient de livres scolaires gratuitement. Selon l'organisation, cette situation provoque la déperdition scolaire, dont des statistiques font état de plus de 550.000 enfants (6 à 16 ans) non scolarisés. Selon la Ligue, la pauvreté et la malnutrition engendrent la hausse de la mortalité chez les enfants, 174.000 enfants décédés en 2014 contre 168.000 en 2013, auxquels s'ajoutent plus de 470.000 enfants souffrant d'un retard de croissance. Les agressions, les violences et les mauvaises conditions de vie qui se répercutent sur l'état psychologique de l'enfant imposent, selon cette institution, de revoir la loi sur l'enfant adoptée en mai dernier en créant de mécanismes à même d'offrir une véritable protection contre les différents fléaux sociaux, du danger moral et physique, à commencer par les problèmes familiaux. Cette dernière, insiste également sur la nécessité d'impliquer des associations de la société civile et les associations de protection de l'enfance, surtout que cette couche reste la plus importante composante de la société avec plus de 1 million de naissances par an. La situation des enfants en Algérie, a été passée au peigne fin par la Ligue algérienne pour la défense des droits de l'homme (LADDH), sur la base de la réalité actuelle et le respect des engagements pris par le pays, en tenant compte des dispositions de la Convention relative aux droits de l'enfant (CDE) et les Objectifs du millénaire pour le développement (OMD). Cette dernière, sous la coupe de son secrétaire général, Keddour El Houari, tire la sonnette d'alarme sur les multiples agressions, violences, kidnappings et meurtres contre les enfants en Algérie. L'Algérie a, depuis son indépendance, investi des ressources importantes afin de garantir à toute la population un accès équitable à la scolarisation, aux soins, à la protection sociale et à la protection des enfants contre les situations à risque et la violence. Entre autres, depuis 1999, des programmes de développement nationaux et régionaux pour améliorer la situation socio-économique de la population, sont engagés, mais tout cela est insuffisant, vu le rapport mis en lumière. Ce dernier révèle, entre autres, 256 cas d'enlèvements d'enfants, dont 15 cas suivis de meurtre. Cette situation, a poussé la Ligue à plaider pour la révision de la loi sur l'enfant adoptée en mai 2015 ainsi que pour l'association de tous les acteurs de la protection de l'enfance. La Ligue a présenté, à l'occasion du 26e anniversaire de la Convention internationale des droits de l'enfant, un rapport accablant sur la situation des enfants en Algérie, victimes de différentes formes de violation. Le document a fait état de la propagation de différents phénomènes privant les enfants de leurs droits les plus élémentaires. 1.800 cas d'abus sexuels recensés en 2015, 5.580 cas de violence et de mauvais traitement au cours de la même année. Le même rapport indique également que plus de 25.000 enfants sont exposés à la délinquance, à la drogue et à la mendicité, ajoutant que plus de 45.000 enfants en Algérie sont nés sous "X" en plus de 300 à 550.000 enfants travailleurs. En se référant aux chiffres avancés par le ministère de l'Education, la Ligue note que l'Algérie compte plus de 3 millions d'enfants pauvres lesquels bénéficient d'une prime scolaire de 3.000 DA, 1.300.000 d'entre eux bénéficient de vêtementsn et 4 millions bénéficient de livres scolaires gratuitement. Selon l'organisation, cette situation provoque la déperdition scolaire, dont des statistiques font état de plus de 550.000 enfants (6 à 16 ans) non scolarisés. Selon la Ligue, la pauvreté et la malnutrition engendrent la hausse de la mortalité chez les enfants, 174.000 enfants décédés en 2014 contre 168.000 en 2013, auxquels s'ajoutent plus de 470.000 enfants souffrant d'un retard de croissance. Les agressions, les violences et les mauvaises conditions de vie qui se répercutent sur l'état psychologique de l'enfant imposent, selon cette institution, de revoir la loi sur l'enfant adoptée en mai dernier en créant de mécanismes à même d'offrir une véritable protection contre les différents fléaux sociaux, du danger moral et physique, à commencer par les problèmes familiaux. Cette dernière, insiste également sur la nécessité d'impliquer des associations de la société civile et les associations de protection de l'enfance, surtout que cette couche reste la plus importante composante de la société avec plus de 1 million de naissances par an.