Le jeune cinéaste algérien, Hassan Ferhani, a reçu avant-hier soir à Tunis le Tanit d'Or du meilleur documentaire ainsi que le Tanit d'Or Tahar- Chriâa de la première oeuvre des 26es Journées cinématographiques de Carthage (JCC), qui prendront fin aujourd'hui, pour son film "Fi rassi rondpoint" (Dans ma tête un rond-point), annoncent les organisateurs. Le jeune cinéaste algérien, Hassan Ferhani, a reçu avant-hier soir à Tunis le Tanit d'Or du meilleur documentaire ainsi que le Tanit d'Or Tahar- Chriâa de la première oeuvre des 26es Journées cinématographiques de Carthage (JCC), qui prendront fin aujourd'hui, pour son film "Fi rassi rondpoint" (Dans ma tête un rond-point), annoncent les organisateurs. Ce premier long métrage de Hassen Ferhani se déroule dans des lieux que les Algérois croient connaître et que le réalisateur invite à redécouvrir tout en s'intéressant aux différents parcours et aspirations d'ouvriers qui vivent sur place. D'une durée de 100 minutes, Dans ma tête un rond-point, produit par la cinéaste algérienne Narimane Mari a été présenté en avant-première mondiale lors du 26e Festival international du Cinéma de Marseille, en juillet dernier où il avait également reçu le premier prix. Lors de la cérémonie de remise des prix, qui s'est déroulée samedi à Tunis, le Prix du meilleur acteur est également revenu à l'algérien Adlane Djemil pour son rôle dans Madame courage dernier film du réalisateur Merzak Allouache en compétition dans la catégorie long métrage. Dans la catégorie court métrage le réalisateur algérien Omar Belkacemi s'est vu attribuer le Tanit de bronze pour sonoeuvre Lmuja alors que le réalisateur Lotfi Bouchouchi en compétition avec son film Le puits a, quant à lui, reçu une mention spécial du jury dans la catégorie Première oeuvre. Cette 26e édition des JCC, inaugurée le 21 novembre, a vu les trois Tanit (or, argent et bronze) de la catégorie long métrage de fiction décernés respectivement à L'orchestre des aveugles du Marocain Mohamed Mouftakir, The endless river du Sud-Africain Oliver Hermanus et à A peine j'ouvre les yeux de la réalisatrice tunisienne Leyla Bouzid, alors que le réalisateur marocain Nabil Ayouch a reçu une mention spéciale du jury pour Much loved. En plus de la consécration de Omar Belkacemi, la catégorie du court métrage a vu le Tanit d'or revenir au Tunisien Alaeddin Abou Talen pour Diaspora et le Tanit d'argent au Sénégalais Aliou Sow pour son oeuvre Terremer. Les documentaires Homeland (Irak année zéro) de l'Irakien Abbas Fadhel et Queens of Syria de la cinéaste syrienne Yasmin Fedda ont respectivement reçu les Tanit d'argent et de bronze de leur cat Ces 26es JCC se sont déroulées dans un contexte sécuritaire particulier suite à l'attentat terroriste perpétré mardi dernier contre un bus de la sécurité présidentielle à Tunis coûtant la vie à 12 personnes, mais ont quand même connu une affluence du public encore plus grande, rapportent les médias, malgré un couvre-feu nocturne et des mesures sécuritaire strictes. Fondées en 1966 par le cinéaste tunisien Tahar Chriâa, les Journées cinématographiques de Carthage ont pour objectif de mettre en avant le cinéma d'Afrique subsaharienne et du monde arabe, créer des ponts de dialogues entre le Nord et le Sud et proposer une rencontre entre cinéastes et amoureux du cinéma. Cette 26e édition a vu la participation de six films algériens à la compétition officielle dont Babor Casanova de Karim Sayad et Contre-pouvoir de Malek Bensmaïl en plus des oeuvres primées. Ce premier long métrage de Hassen Ferhani se déroule dans des lieux que les Algérois croient connaître et que le réalisateur invite à redécouvrir tout en s'intéressant aux différents parcours et aspirations d'ouvriers qui vivent sur place. D'une durée de 100 minutes, Dans ma tête un rond-point, produit par la cinéaste algérienne Narimane Mari a été présenté en avant-première mondiale lors du 26e Festival international du Cinéma de Marseille, en juillet dernier où il avait également reçu le premier prix. Lors de la cérémonie de remise des prix, qui s'est déroulée samedi à Tunis, le Prix du meilleur acteur est également revenu à l'algérien Adlane Djemil pour son rôle dans Madame courage dernier film du réalisateur Merzak Allouache en compétition dans la catégorie long métrage. Dans la catégorie court métrage le réalisateur algérien Omar Belkacemi s'est vu attribuer le Tanit de bronze pour sonoeuvre Lmuja alors que le réalisateur Lotfi Bouchouchi en compétition avec son film Le puits a, quant à lui, reçu une mention spécial du jury dans la catégorie Première oeuvre. Cette 26e édition des JCC, inaugurée le 21 novembre, a vu les trois Tanit (or, argent et bronze) de la catégorie long métrage de fiction décernés respectivement à L'orchestre des aveugles du Marocain Mohamed Mouftakir, The endless river du Sud-Africain Oliver Hermanus et à A peine j'ouvre les yeux de la réalisatrice tunisienne Leyla Bouzid, alors que le réalisateur marocain Nabil Ayouch a reçu une mention spéciale du jury pour Much loved. En plus de la consécration de Omar Belkacemi, la catégorie du court métrage a vu le Tanit d'or revenir au Tunisien Alaeddin Abou Talen pour Diaspora et le Tanit d'argent au Sénégalais Aliou Sow pour son oeuvre Terremer. Les documentaires Homeland (Irak année zéro) de l'Irakien Abbas Fadhel et Queens of Syria de la cinéaste syrienne Yasmin Fedda ont respectivement reçu les Tanit d'argent et de bronze de leur cat Ces 26es JCC se sont déroulées dans un contexte sécuritaire particulier suite à l'attentat terroriste perpétré mardi dernier contre un bus de la sécurité présidentielle à Tunis coûtant la vie à 12 personnes, mais ont quand même connu une affluence du public encore plus grande, rapportent les médias, malgré un couvre-feu nocturne et des mesures sécuritaire strictes. Fondées en 1966 par le cinéaste tunisien Tahar Chriâa, les Journées cinématographiques de Carthage ont pour objectif de mettre en avant le cinéma d'Afrique subsaharienne et du monde arabe, créer des ponts de dialogues entre le Nord et le Sud et proposer une rencontre entre cinéastes et amoureux du cinéma. Cette 26e édition a vu la participation de six films algériens à la compétition officielle dont Babor Casanova de Karim Sayad et Contre-pouvoir de Malek Bensmaïl en plus des oeuvres primées.