La phase aller du Championnat national de Ligue 1 Mobilis a été perturbée par de moult trêves. En effet, depuis l'entame de cette nouvelle saison, l'élite a souffert le martyre pour gérer ces arrêts répétitifs. La phase aller du Championnat national de Ligue 1 Mobilis a été perturbée par de moult trêves. En effet, depuis l'entame de cette nouvelle saison, l'élite a souffert le martyre pour gérer ces arrêts répétitifs. Comme attendu, la phase aller du Championnat national de Ligue 1 ne cesse d'enregistrer des arrêts. Sans remettre en cause la programmation de la Ligue nationale de football (LFP), la phase aller a été marquée par plusieurs arrêts. Cela n'a fait que perturber le travail de certains clubs qui sont surtout sur une belle lancée. Même si pour d'autres clubs qui éprouvent des difficultés ces arrêts étaient bénéfiques pour améliorer les automatismes, le championnat n'a pas connu une stabilité. Certes, on n'est qu'à mi-parcours d'une saison qui s'annonce compliquée, mais cela chamboule le programme de travail de tous les staffs techniques, sans aucune exception. « Ces arrêts de championnat ne permettent pas de maintenir une certaine dynamique. Après un peu plus de dix jours d'arrêt de championnat, les clubs ne reviennent pas avec la dynamique. C'est vrai que les staffs techniques faisaient de leur mieux pour gérer une telle situation et éviter à leurs joueurs toute forme de relâchement, mais ça reste toujours difficile », a indiqué Chabane Merezkan sur les ondes de la Radio nationale Chaîne 3. Les avis des technicien en la matière sont les mêmes. Le championnat qui connaît un autre arrêt qui s'étalera sur une dizaine de jours ne fera pas forcément les affaires de tous les clubs de l'élite. « Ces trêves commencent à nous perturber dans notre travail. Nous n'avons jamais maintenu notre dynamique. C'est une cassure pour l'ensemble des clubs. C'est vrai qu'un arrêt ou deux n'influencent pas sur le rendement, mais ces arrêts répétitifs chamboulent tout le programme. Certaines trêves qui sont forcées tombent mal pour certaines formations », a indiqué le technicien français de la JS Kabylie, Dominique Bijotat. Une chose est sûre, les observateurs sont unanimes à dire que ce grand nombre d'arrêts de championnat ne jouent pas vraiment en faveur du football national qui est à sa cinquième année de professionnalisme. Des erreurs d'arbitrage au compteur Cette phase aller qui est à sa 13e journée s'est distinguée également par des erreurs d'arbitrage. Il ne se passe aucune journée sans que les spécialistes en la matière ne constatent des erreurs graves d'arbitrage. En tout cas, cette première manche a été caractérisée par des erreurs d'arbitrage flagrantes. Cela a même faussé le cours de certains matchs qui étaient à grand enjeu. Dans ce registre, la précédente journée seulement à connu une sérieusement montée au créneau de certains entraîneurs. A titre d'exemple, on peut citer le match entre le CS Constantine et le MC Alger disputé au stade Chahid Hamlaoui, celui du stade 20-Août entre le CR Belouizdad et la JS Saoura, ainsi que le derby algérois entre l'USM Harrach et l'USM Alger. Sans rentrer dans les détails de certains matchs, dont les erreurs étaient mêmes qualifiéés de celles de débutants, la Fédération algérienne de football est appelée à revoir sa copie avant que la situation ne se complique davantage. Le premier responsable de la maison de Dély Brahim est au courant de toutes erreurs et compte certainement prendre les mesures nécessaires. Cela confirme, une fois de plus, ce laisser-aller de la commission d'arbitrage malgré toutes les interpellations. Aucun match n'a été épargné par ces erreurs d'arbitrage. La FAF doit vite intervenir pour mettre un terme à toutes ces pratiques qui n'honorent pas la balle ronde algérienne. Hisser le niveau technique des clubs c'est hisser surtout le niveau des arbitres. Cela mènera les spécialistes en la matière à appeler l'instance nationale pour préparer d'ores et déjà la relève tout en rajeunissant le corps arbitral. Autre chose, la commission d'arbitrage va devoir revoir son système de désignation d'arbitre, notamment quand il s'agit d'un match à grand enjeu. Il y a lieu de signaler que l'instance nationale (LFP) avait pris la décision de ne plus annoncer sur son site internet les noms des arbitres avant les matchs pour éviter les spéculations de la presse. Une baisse en matière des matchs à huis-clos Le Championnat national de Ligue 1 Mobilis, qui a battu le record des matchs à huis-clos, a connu une nette baisse cette saison. Après 13 journées de compétition, la quasi-totalité des matchs de championnat de cette saison se sont déroulés en présence des supporters. La JS Kabylie, qui a enregistré le plus grand nombre de matchs à huis-clos après, bien évidemment, la mort tragique du joueur camerounais Albert Ebossé au stade 1er- Novembre de Tizi-Ouzou, a joué tous ses matchs cette saison en présence de ses inconditionnels. Donc, mis à part trois ou quatre matchs, la première manche de championnat s'est déroulée dans un fairplay. Cela confirme la conscience des supporters et la fiabilité des campagnes de sensibilisation lancées par toutes les parties prenantes. Maintenant, il faut continuer à travailler dans ce sens pour pousser la pratique footballistique en Algérie vers Comme attendu, la phase aller du Championnat national de Ligue 1 ne cesse d'enregistrer des arrêts. Sans remettre en cause la programmation de la Ligue nationale de football (LFP), la phase aller a été marquée par plusieurs arrêts. Cela n'a fait que perturber le travail de certains clubs qui sont surtout sur une belle lancée. Même si pour d'autres clubs qui éprouvent des difficultés ces arrêts étaient bénéfiques pour améliorer les automatismes, le championnat n'a pas connu une stabilité. Certes, on n'est qu'à mi-parcours d'une saison qui s'annonce compliquée, mais cela chamboule le programme de travail de tous les staffs techniques, sans aucune exception. « Ces arrêts de championnat ne permettent pas de maintenir une certaine dynamique. Après un peu plus de dix jours d'arrêt de championnat, les clubs ne reviennent pas avec la dynamique. C'est vrai que les staffs techniques faisaient de leur mieux pour gérer une telle situation et éviter à leurs joueurs toute forme de relâchement, mais ça reste toujours difficile », a indiqué Chabane Merezkan sur les ondes de la Radio nationale Chaîne 3. Les avis des technicien en la matière sont les mêmes. Le championnat qui connaît un autre arrêt qui s'étalera sur une dizaine de jours ne fera pas forcément les affaires de tous les clubs de l'élite. « Ces trêves commencent à nous perturber dans notre travail. Nous n'avons jamais maintenu notre dynamique. C'est une cassure pour l'ensemble des clubs. C'est vrai qu'un arrêt ou deux n'influencent pas sur le rendement, mais ces arrêts répétitifs chamboulent tout le programme. Certaines trêves qui sont forcées tombent mal pour certaines formations », a indiqué le technicien français de la JS Kabylie, Dominique Bijotat. Une chose est sûre, les observateurs sont unanimes à dire que ce grand nombre d'arrêts de championnat ne jouent pas vraiment en faveur du football national qui est à sa cinquième année de professionnalisme. Des erreurs d'arbitrage au compteur Cette phase aller qui est à sa 13e journée s'est distinguée également par des erreurs d'arbitrage. Il ne se passe aucune journée sans que les spécialistes en la matière ne constatent des erreurs graves d'arbitrage. En tout cas, cette première manche a été caractérisée par des erreurs d'arbitrage flagrantes. Cela a même faussé le cours de certains matchs qui étaient à grand enjeu. Dans ce registre, la précédente journée seulement à connu une sérieusement montée au créneau de certains entraîneurs. A titre d'exemple, on peut citer le match entre le CS Constantine et le MC Alger disputé au stade Chahid Hamlaoui, celui du stade 20-Août entre le CR Belouizdad et la JS Saoura, ainsi que le derby algérois entre l'USM Harrach et l'USM Alger. Sans rentrer dans les détails de certains matchs, dont les erreurs étaient mêmes qualifiéés de celles de débutants, la Fédération algérienne de football est appelée à revoir sa copie avant que la situation ne se complique davantage. Le premier responsable de la maison de Dély Brahim est au courant de toutes erreurs et compte certainement prendre les mesures nécessaires. Cela confirme, une fois de plus, ce laisser-aller de la commission d'arbitrage malgré toutes les interpellations. Aucun match n'a été épargné par ces erreurs d'arbitrage. La FAF doit vite intervenir pour mettre un terme à toutes ces pratiques qui n'honorent pas la balle ronde algérienne. Hisser le niveau technique des clubs c'est hisser surtout le niveau des arbitres. Cela mènera les spécialistes en la matière à appeler l'instance nationale pour préparer d'ores et déjà la relève tout en rajeunissant le corps arbitral. Autre chose, la commission d'arbitrage va devoir revoir son système de désignation d'arbitre, notamment quand il s'agit d'un match à grand enjeu. Il y a lieu de signaler que l'instance nationale (LFP) avait pris la décision de ne plus annoncer sur son site internet les noms des arbitres avant les matchs pour éviter les spéculations de la presse. Une baisse en matière des matchs à huis-clos Le Championnat national de Ligue 1 Mobilis, qui a battu le record des matchs à huis-clos, a connu une nette baisse cette saison. Après 13 journées de compétition, la quasi-totalité des matchs de championnat de cette saison se sont déroulés en présence des supporters. La JS Kabylie, qui a enregistré le plus grand nombre de matchs à huis-clos après, bien évidemment, la mort tragique du joueur camerounais Albert Ebossé au stade 1er- Novembre de Tizi-Ouzou, a joué tous ses matchs cette saison en présence de ses inconditionnels. Donc, mis à part trois ou quatre matchs, la première manche de championnat s'est déroulée dans un fairplay. Cela confirme la conscience des supporters et la fiabilité des campagnes de sensibilisation lancées par toutes les parties prenantes. Maintenant, il faut continuer à travailler dans ce sens pour pousser la pratique footballistique en Algérie vers