Comme d'habitude et cela devient une véritable chanson annuelle, à l'approche du Mawlid Ennabaoui les pétards reviennent encore une fois de plus envahir la capitale Comme d'habitude et cela devient une véritable chanson annuelle, à l'approche du Mawlid Ennabaoui les pétards reviennent encore une fois de plus envahir la capitale Une situation qui perdure malgré les récentes déclarations des pouvoirs publics annonçant la saisie de plusieurs tonnes de pétards et l'interdiction de l'informel. A une semaine de cette fête tant aimée des enfants, nous remarquons plusieurs étals à l'entrée des marchés ou dans des quartiers populaires offrant un grand choix de ces produits pyrotechniques. D'ailleurs nous assistons depuis plusieurs années à cette prolifération inquiétante de ces produits à travers tout le territoire national sans que cela n'inquiète pour autant les autorités. Faudra-t-il d'ailleurs souligner que les vendeurs à la sauvette ne sembleraient pas être inquiétés vu qu'ils exposent leur produits au vu et au su de tout le monde. Des produits qui deviennent de plus en plus dangereux d'autant plus que ces dernières années nous enregistrons de nouveaux produits à l'instar des «double-bombes» appelées ainsi pour leur grande détonation ou encore « chitana », ou en référence au grand joueur de football «Zidane» ce qui ne serait certainement pas pour lui une grande fierté. Néanmoins la faute n'est pas seulement à incomber à ces vendeurs mais également à ces parents qui achètent ces produits malgré leur danger et leur prix qui peuvent atteindre jusqu'à 2.000 DA. Ainsi comme à l'accoutumée, l'approche du Mawlid Ennabaoui célébrant la naissance du Prophète, Mohamed (QSSSL), suscite l'engouement des plus jeunes franges de la société pour se défouler et acheter toutes sortes de pétards, spécialement dédiés à cette fête. Désormais cette pratique fait partie des moeurs algériennes. En effet, depuis les années 90 elle s'est ancrée dans la société. Véritable aubaine pour les importateurs et revendeurs des produits pyrotechniques, cette pratique devient de plus en plus dangereuse, devant l'incapacité des autorités à mettre un terme au fléau. Or, la loi algérienne interdit l'importation de ces produits jugés très dangereux. À quelques jours déjà, de la fête du Mawlid Ennabaoui Echarif, rues et marchés des différentes villes du territoire national sont déjà squattés par les revendeurs de pétards et autres produits pyrotechniques. Dans les différents quartiers de la capitale, et ceux de la ville des Genêts, dans lesquelles, on a pu effectuer le déplacement sur les lieux pour s'enquérir de la situation. À la surprise générale, plusieurs rues des deux villes précitées sont inondées d'innombrables produits pyrotechniques. Après une lueur d'espoir, constatée ces toutes dernières années, de voir les produits pyrotechniques disparaître du marché informel, voilà qu'à la surprise de tous, les pétards refont surface avec d'importantes quantités. Partout où l'on va, le spectacle est le même. Les vendeurs des pétards ont la mainmise sur les rues et artères. Hélas, on a toujours annoncé que l'Etat a pris des dispositions à l'approche du Mawlid Ennabaoui. Dans les marchés informels et les ruelles à l'intérieur des quartiers, les pétards, plutôt de véritables petites bombes, se vendent comme des petits pains au su et au vu de tout le monde. Les enfants inconscients du danger sont livrés à eux-mêmes. Malgré les appels à la vigilance, beaucoup de parents continuent de faire preuve d'irresponsabilité en achetant des pétards, des feux d'artifices et toutes sortes de produits pyrotechniques dangereux à leurs enfants. Ce constat dramatique revient, d'ailleurs, à chaque fête du Mawlid Ennabaoui Echarif, anniversaire de la naissance du prophète Mohamed (QSSSL). A la veille de la célébration de cet événement religieux, on appréhende déjà les accidents provoqués par l'usage de ces produits risqués. Le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière met en garde chaque année les citoyens contre le danger que présente l'utilisation des produits pyrotechniques tels que les pétards et les feux d'artifices et leur manipulation sans précautions. Il faut dire que, chaque année, cette fête religieuse se transforme en drame, à cause d'incidents tragiques causés par l'utilisation de produits pyrotechniques. Et malgré tous ces aléas, la fameuse marchandise est très demandée. D'ailleurs, contrairement aux précédentes années, les calibres des pétards mis sur le marché informel sont impressionnants. Des produits très puissants, peuvent engendrer des dégâts très importants, allant jusqu'à des amputations et de graves brûlures. Différentes appellations propres aux Algériens ont été données à ces pétards. De la "chitana", à la "mergaza" en passant par "zenda". Les services de police semblent laisser le champ libre aux jeunes revendeurs illégaux. Les trafiquants de ces produits dangereux ont bien compris qu'il y a un relâchement dans le contrôle, alors c'est l'occasion ou jamais pour se remplir les poches. Ainsi, des mesures plus vigoureuses doivent être prises par les services concernés afin d'éradiquer définitivement la vente de ce genre de produits qui peut s'avérer fatal pour les enfants. Enfin, la question qui mérite d'être posée est par quelle voie ces produits dangereux sont entrés dans le marché ? Une situation qui perdure malgré les récentes déclarations des pouvoirs publics annonçant la saisie de plusieurs tonnes de pétards et l'interdiction de l'informel. A une semaine de cette fête tant aimée des enfants, nous remarquons plusieurs étals à l'entrée des marchés ou dans des quartiers populaires offrant un grand choix de ces produits pyrotechniques. D'ailleurs nous assistons depuis plusieurs années à cette prolifération inquiétante de ces produits à travers tout le territoire national sans que cela n'inquiète pour autant les autorités. Faudra-t-il d'ailleurs souligner que les vendeurs à la sauvette ne sembleraient pas être inquiétés vu qu'ils exposent leur produits au vu et au su de tout le monde. Des produits qui deviennent de plus en plus dangereux d'autant plus que ces dernières années nous enregistrons de nouveaux produits à l'instar des «double-bombes» appelées ainsi pour leur grande détonation ou encore « chitana », ou en référence au grand joueur de football «Zidane» ce qui ne serait certainement pas pour lui une grande fierté. Néanmoins la faute n'est pas seulement à incomber à ces vendeurs mais également à ces parents qui achètent ces produits malgré leur danger et leur prix qui peuvent atteindre jusqu'à 2.000 DA. Ainsi comme à l'accoutumée, l'approche du Mawlid Ennabaoui célébrant la naissance du Prophète, Mohamed (QSSSL), suscite l'engouement des plus jeunes franges de la société pour se défouler et acheter toutes sortes de pétards, spécialement dédiés à cette fête. Désormais cette pratique fait partie des moeurs algériennes. En effet, depuis les années 90 elle s'est ancrée dans la société. Véritable aubaine pour les importateurs et revendeurs des produits pyrotechniques, cette pratique devient de plus en plus dangereuse, devant l'incapacité des autorités à mettre un terme au fléau. Or, la loi algérienne interdit l'importation de ces produits jugés très dangereux. À quelques jours déjà, de la fête du Mawlid Ennabaoui Echarif, rues et marchés des différentes villes du territoire national sont déjà squattés par les revendeurs de pétards et autres produits pyrotechniques. Dans les différents quartiers de la capitale, et ceux de la ville des Genêts, dans lesquelles, on a pu effectuer le déplacement sur les lieux pour s'enquérir de la situation. À la surprise générale, plusieurs rues des deux villes précitées sont inondées d'innombrables produits pyrotechniques. Après une lueur d'espoir, constatée ces toutes dernières années, de voir les produits pyrotechniques disparaître du marché informel, voilà qu'à la surprise de tous, les pétards refont surface avec d'importantes quantités. Partout où l'on va, le spectacle est le même. Les vendeurs des pétards ont la mainmise sur les rues et artères. Hélas, on a toujours annoncé que l'Etat a pris des dispositions à l'approche du Mawlid Ennabaoui. Dans les marchés informels et les ruelles à l'intérieur des quartiers, les pétards, plutôt de véritables petites bombes, se vendent comme des petits pains au su et au vu de tout le monde. Les enfants inconscients du danger sont livrés à eux-mêmes. Malgré les appels à la vigilance, beaucoup de parents continuent de faire preuve d'irresponsabilité en achetant des pétards, des feux d'artifices et toutes sortes de produits pyrotechniques dangereux à leurs enfants. Ce constat dramatique revient, d'ailleurs, à chaque fête du Mawlid Ennabaoui Echarif, anniversaire de la naissance du prophète Mohamed (QSSSL). A la veille de la célébration de cet événement religieux, on appréhende déjà les accidents provoqués par l'usage de ces produits risqués. Le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière met en garde chaque année les citoyens contre le danger que présente l'utilisation des produits pyrotechniques tels que les pétards et les feux d'artifices et leur manipulation sans précautions. Il faut dire que, chaque année, cette fête religieuse se transforme en drame, à cause d'incidents tragiques causés par l'utilisation de produits pyrotechniques. Et malgré tous ces aléas, la fameuse marchandise est très demandée. D'ailleurs, contrairement aux précédentes années, les calibres des pétards mis sur le marché informel sont impressionnants. Des produits très puissants, peuvent engendrer des dégâts très importants, allant jusqu'à des amputations et de graves brûlures. Différentes appellations propres aux Algériens ont été données à ces pétards. De la "chitana", à la "mergaza" en passant par "zenda". Les services de police semblent laisser le champ libre aux jeunes revendeurs illégaux. Les trafiquants de ces produits dangereux ont bien compris qu'il y a un relâchement dans le contrôle, alors c'est l'occasion ou jamais pour se remplir les poches. Ainsi, des mesures plus vigoureuses doivent être prises par les services concernés afin d'éradiquer définitivement la vente de ce genre de produits qui peut s'avérer fatal pour les enfants. Enfin, la question qui mérite d'être posée est par quelle voie ces produits dangereux sont entrés dans le marché ?