Les détails de conclusion de trois marchés publics douteux entre Sonatrach et des compagnies étrangères ont été révélés dans l'arrêt de renvoi relatif à l'affaire Sontrach 1, lu au niveau du tribunal criminel d'Alger. Les détails de conclusion de trois marchés publics douteux entre Sonatrach et des compagnies étrangères ont été révélés dans l'arrêt de renvoi relatif à l'affaire Sontrach 1, lu au niveau du tribunal criminel d'Alger. Il s'agit en l'occurrence du marché conclu dans le cadre d'un projet d'acquisition d'équipements de télésurveillance et de protection électronique du complexe industriel du Sud entre Sonatrach et le groupe allemand Contel Algérie Funkwerk Pletarc. Selon l'arrêt de renvoi, l'enquête a révélé que le marché a été conclu de gré à gré entre le directeur du département production de Sonatrach et le groupe Contel Funkwerk sans respecter les dispositions législatives et réglementaires en vigueur tel que l'appel d'offre international. Le deuxième marché porte sur la réalisation d'un gazoduc devant relier l'Algérie à l'Italie (Sardaigne). Selon l'arrêt de renvoi, "le groupe italien Saipem Contracting Algeria a obtenu ce marché en bénéficiant d'une offre financière moins élevée, contrairement à ce qui est stipulé par la loi algérienne sur les marchés". Pour ce qui est du troisième marché relatif à la réhabilitation du siège de Sonatrach à Ghermoul (Alger), l'arrêt de renvoi révèle une surfacturation. L'étude a été confiée au bureau d'études "CAD". La société allemande "Imtech" a été chargée de la réhabilitation du siège de Sonatrach à Ghermoul, cependant 50 % seulement des travaux ont été réalisés. Après avoir levé l'audience à 17h, le président du tribunal criminel d'Alger, Mohamed Reggad, a décidé de saisir la défense des procédures à suivre mardi lors de l'interrogatoire des accusés. Il a ajouté que "les mis en cause seront scindés lors de l'interrogatoire en quatre groupes, selon les faits qui leur sont reprochés et les contrats et marchés dans lesquels ils sont impliqués". Selon le juge, le premier et deuxième groupes concernent les personnes impliquées respectivement dans la conclusion d'un marché sur l'acquisition d'équipements de télésurveillance et de protection électronique, et d'un marché douteux avec Saipem Algeria (Italie) pour la réalisation du gazoduc devant relier l'Algérie à l'Italie (Sardaigne). Le troisième groupe concerne les accusés impliqués dans le marché douteux de réhabilitation du siège de Sonatrach sis à Ghermoul (Alger). Quant au quatrième groupe, il englobe les compagnies et groupes étrangers impliqués dans cette affaire, a indiqué le magistrat, précisant qu'il s'agit du groupe Contel Funkwerk, Contel Algérie à responsabilité limitée, la société allemande Funkwerk Plettac, Saipem contracting Algeria (Italie). Il s'agit en l'occurrence du marché conclu dans le cadre d'un projet d'acquisition d'équipements de télésurveillance et de protection électronique du complexe industriel du Sud entre Sonatrach et le groupe allemand Contel Algérie Funkwerk Pletarc. Selon l'arrêt de renvoi, l'enquête a révélé que le marché a été conclu de gré à gré entre le directeur du département production de Sonatrach et le groupe Contel Funkwerk sans respecter les dispositions législatives et réglementaires en vigueur tel que l'appel d'offre international. Le deuxième marché porte sur la réalisation d'un gazoduc devant relier l'Algérie à l'Italie (Sardaigne). Selon l'arrêt de renvoi, "le groupe italien Saipem Contracting Algeria a obtenu ce marché en bénéficiant d'une offre financière moins élevée, contrairement à ce qui est stipulé par la loi algérienne sur les marchés". Pour ce qui est du troisième marché relatif à la réhabilitation du siège de Sonatrach à Ghermoul (Alger), l'arrêt de renvoi révèle une surfacturation. L'étude a été confiée au bureau d'études "CAD". La société allemande "Imtech" a été chargée de la réhabilitation du siège de Sonatrach à Ghermoul, cependant 50 % seulement des travaux ont été réalisés. Après avoir levé l'audience à 17h, le président du tribunal criminel d'Alger, Mohamed Reggad, a décidé de saisir la défense des procédures à suivre mardi lors de l'interrogatoire des accusés. Il a ajouté que "les mis en cause seront scindés lors de l'interrogatoire en quatre groupes, selon les faits qui leur sont reprochés et les contrats et marchés dans lesquels ils sont impliqués". Selon le juge, le premier et deuxième groupes concernent les personnes impliquées respectivement dans la conclusion d'un marché sur l'acquisition d'équipements de télésurveillance et de protection électronique, et d'un marché douteux avec Saipem Algeria (Italie) pour la réalisation du gazoduc devant relier l'Algérie à l'Italie (Sardaigne). Le troisième groupe concerne les accusés impliqués dans le marché douteux de réhabilitation du siège de Sonatrach sis à Ghermoul (Alger). Quant au quatrième groupe, il englobe les compagnies et groupes étrangers impliqués dans cette affaire, a indiqué le magistrat, précisant qu'il s'agit du groupe Contel Funkwerk, Contel Algérie à responsabilité limitée, la société allemande Funkwerk Plettac, Saipem contracting Algeria (Italie).