Le président de la République a affirmé que la société algérienne "est parvenue, grâce à son référent et à la sagesse de ses enfants, à éteindre le feu de la fitna et à mettre fin à l'extrémisme et à la violence". Le président de la République a affirmé que la société algérienne "est parvenue, grâce à son référent et à la sagesse de ses enfants, à éteindre le feu de la fitna et à mettre fin à l'extrémisme et à la violence". Grâce à "son référent et à la sagesse de ses enfants, notre société est parvenue à éteindre le feu de la Fitna et à mettre fin à l'extrémisme et à la violence. Vigilante et aguerrie, elle saura faire face au moindre danger qui pourrait guetter ses enfants et à la première des tentatives d'endoctrinement de ses jeunes", a affirmé le président Bouteflika dans un message lu en son nom hier à Constantine par Mohamed Ali Boughazi, conseiller à la présidence de la République à l'occasion de l'ouverture des travaux de la 17e Semaine nationale du Coran. "Il est de notre devoir, nous Algériens, de défendre l'image de notre religion, car nous avons su comment faire de notre référent un rempart contre l'extrémisme et une voie de modération, et de notre patrie une Ecole universelle de paix et de réconciliation, forte de la maturité de notre peuple et de son attachement aux hautes valeurs d'unité, d'altruisme et de cohésion sociale", a ajouté le chef de l'Etat. "Le terrorisme a terni l'image de l'Islam, jeté les musulmans dans l'égarement et permis aux non-musulmans d'attenter au Coran et de discréditer le Prophète dont la véracité des paroles, la douceur de caractère et l'honneur de la prophétie ne sauraient faire l'objet d'un quelconque doute", a déploré le président de la République. Il a appelé, dans ce contexte, les "valeureux imams et chouyoukh à poursuivre leurs efforts à même de prémunir nos enfants contre les idées destructrices et l'extrémisme religieux et battre en brèche les thèses et références douteuses du terrorisme qui tente de justifier sa barbarie par une interprétation fallacieuse des textes du Coran et de la Sunna". Par ailleurs, le président de la République a affirmé que "l'élévation spirituelle de l'âme n'épouse sa plus belle conception que dans une assemblée où le nom d'Allah est évoqué, Sa gloire exaltée et Sa parole récitée par les croyants en quête de purification de leur âme et de rassérènement de leur coeur". "Votre rencontre bénie à l'occasion de la 17e édition de la Semaine nationale du Coran, se présente telle une précieuse occasion pour glorifier le Coran, cette Constitution qui sert de guide aux pieux de par le monde... une halte pour se pencher sur la sagesse supérieure que renferme ce texte et l'ordre et l'harmonie de ses mots qui édictent les enseignements dont nous nous imprégnons aujourd'hui", a souligné le chef de l'Etat à l'adresse des participants. "Je souhaite à votre rencontre le plus grand succès et que vos débats, recherches et conclusions soient aussi riches, fondés que fructueux au mieux des intérêts de votre nation, à laquelle vous êtes appelés - en puisant dans le Coran et la tradition du Prophète - à offrir une source intarissable où elle pourra s'abreuver pour mieux appréhender les multiples et complexes questions auxquelles elle est confrontée", a-t-il ajouté. "Je me réjouis de voir réunis, à la faveur de cette rencontre bénie, savants, imams, prédicateurs, chouyoukh de zaouias et enseignants du Coran... enfants de l'Algérie qui rivalisent dans l'apprentissage et la récitation du Coran et se concurrencent dans son exégèse... nos enfants, source de fierté, qui ont hissé haut le drapeau de l'Algérie à chacune de leurs participations aux concours internationaux de récitation du Coran, organisés dans plusieurs capitales arabes", a affirmé le président de la République. L'occasion était également pour le chef de l'Etat de "rendre hommage aux ulémas qui ne sont plus de ce monde et qui, de leur vivant, avaient renoncé aux plaisirs de la vie pour se vouer à Dieu, servir l'Islam et éclairer les fidèles. Leur souvenir est vivace dans nos coeurs et leur legs perpétué à ce jour par leurs disciples". "Durant le mois rabie al-awal qui tire à sa fin, notre peuple a témoigné son amour au Prophète (QSSSL) dont il a exalté les valeurs, actes et paroles", a rappelé le président Bouteflika ajoutant que "le courant musulman dominant en Algérie est le sunnisme, la société algérienne suivant à la lettre les enseignements et la tradition du Prophète Mohamed (QSSSL) qui prône la modération". "C'est la raison pour laquelle les relations de notre société avec autrui ont de tout temps été basées sur le respect et la considération. Agissant de façon logique et raisonnable et avec déférence et bienséance, notre société demeure unie autour d'un référent religieux solide dont les hommes sont d'éminents ulémas qui n'ont eu de cesse de défendre l'Islam contre les tentatives de falsification et de mauvaise interprétation, un référent qui a pour uniques sources le Coran et la Sunna ainsi qu'un legs riche d'exégèses et d'interprétations, oeuvre de vaillants ulémas algériens", a tenu à souligner le président de la République. Grâce à "son référent et à la sagesse de ses enfants, notre société est parvenue à éteindre le feu de la Fitna et à mettre fin à l'extrémisme et à la violence. Vigilante et aguerrie, elle saura faire face au moindre danger qui pourrait guetter ses enfants et à la première des tentatives d'endoctrinement de ses jeunes", a affirmé le président Bouteflika dans un message lu en son nom hier à Constantine par Mohamed Ali Boughazi, conseiller à la présidence de la République à l'occasion de l'ouverture des travaux de la 17e Semaine nationale du Coran. "Il est de notre devoir, nous Algériens, de défendre l'image de notre religion, car nous avons su comment faire de notre référent un rempart contre l'extrémisme et une voie de modération, et de notre patrie une Ecole universelle de paix et de réconciliation, forte de la maturité de notre peuple et de son attachement aux hautes valeurs d'unité, d'altruisme et de cohésion sociale", a ajouté le chef de l'Etat. "Le terrorisme a terni l'image de l'Islam, jeté les musulmans dans l'égarement et permis aux non-musulmans d'attenter au Coran et de discréditer le Prophète dont la véracité des paroles, la douceur de caractère et l'honneur de la prophétie ne sauraient faire l'objet d'un quelconque doute", a déploré le président de la République. Il a appelé, dans ce contexte, les "valeureux imams et chouyoukh à poursuivre leurs efforts à même de prémunir nos enfants contre les idées destructrices et l'extrémisme religieux et battre en brèche les thèses et références douteuses du terrorisme qui tente de justifier sa barbarie par une interprétation fallacieuse des textes du Coran et de la Sunna". Par ailleurs, le président de la République a affirmé que "l'élévation spirituelle de l'âme n'épouse sa plus belle conception que dans une assemblée où le nom d'Allah est évoqué, Sa gloire exaltée et Sa parole récitée par les croyants en quête de purification de leur âme et de rassérènement de leur coeur". "Votre rencontre bénie à l'occasion de la 17e édition de la Semaine nationale du Coran, se présente telle une précieuse occasion pour glorifier le Coran, cette Constitution qui sert de guide aux pieux de par le monde... une halte pour se pencher sur la sagesse supérieure que renferme ce texte et l'ordre et l'harmonie de ses mots qui édictent les enseignements dont nous nous imprégnons aujourd'hui", a souligné le chef de l'Etat à l'adresse des participants. "Je souhaite à votre rencontre le plus grand succès et que vos débats, recherches et conclusions soient aussi riches, fondés que fructueux au mieux des intérêts de votre nation, à laquelle vous êtes appelés - en puisant dans le Coran et la tradition du Prophète - à offrir une source intarissable où elle pourra s'abreuver pour mieux appréhender les multiples et complexes questions auxquelles elle est confrontée", a-t-il ajouté. "Je me réjouis de voir réunis, à la faveur de cette rencontre bénie, savants, imams, prédicateurs, chouyoukh de zaouias et enseignants du Coran... enfants de l'Algérie qui rivalisent dans l'apprentissage et la récitation du Coran et se concurrencent dans son exégèse... nos enfants, source de fierté, qui ont hissé haut le drapeau de l'Algérie à chacune de leurs participations aux concours internationaux de récitation du Coran, organisés dans plusieurs capitales arabes", a affirmé le président de la République. L'occasion était également pour le chef de l'Etat de "rendre hommage aux ulémas qui ne sont plus de ce monde et qui, de leur vivant, avaient renoncé aux plaisirs de la vie pour se vouer à Dieu, servir l'Islam et éclairer les fidèles. Leur souvenir est vivace dans nos coeurs et leur legs perpétué à ce jour par leurs disciples". "Durant le mois rabie al-awal qui tire à sa fin, notre peuple a témoigné son amour au Prophète (QSSSL) dont il a exalté les valeurs, actes et paroles", a rappelé le président Bouteflika ajoutant que "le courant musulman dominant en Algérie est le sunnisme, la société algérienne suivant à la lettre les enseignements et la tradition du Prophète Mohamed (QSSSL) qui prône la modération". "C'est la raison pour laquelle les relations de notre société avec autrui ont de tout temps été basées sur le respect et la considération. Agissant de façon logique et raisonnable et avec déférence et bienséance, notre société demeure unie autour d'un référent religieux solide dont les hommes sont d'éminents ulémas qui n'ont eu de cesse de défendre l'Islam contre les tentatives de falsification et de mauvaise interprétation, un référent qui a pour uniques sources le Coran et la Sunna ainsi qu'un legs riche d'exégèses et d'interprétations, oeuvre de vaillants ulémas algériens", a tenu à souligner le président de la République.