Sans surprise aucune Abdelkader Bensalah a été, de nouveau, réélu, à la présidence du Conseil de la nation Sans surprise aucune Abdelkader Bensalah a été, de nouveau, réélu, à la présidence du Conseil de la nation C'est devenu une tradition puisque Bensalah est réélu sans interruption à la tête de la chambre haute du Parlement par ses pairs sénateurs chaque trois années et ce depuis qu'il a succédé à Mohamed-Cherif Messadia au mois de juillet 2002. Hier c'était encore le cas à l'occasion de la cérémonie d'installation des nouveaux sénateurs intervenue après le renouvèlement partiel des membres du Conseil de la nation. En cette occasion la liste des membres du tiers présidentiel a été dévoilée. Elle ne comporte pas beaucoup de nouveautés puisque quatre nouveaux membres seulement ont fait leur entrée au Sénat. Il s'agit ainsi du général Nouredine Benkortbi, ex-directeur du protocole à la présidence de la République du temps de Chadli Bendjedid, de Ben Ali Benzaghou, ex-recteur de l'université de Bab Ezzouar, de Abdelhak Benboulaid, le fils cadet du martyr Mustapha Benboulaid, et de Achour Rachid ex-député de Blida. Pour la circonstance le président de la République n'a pas renouvellé sa confiance à cinq sénateurs qui ont, par voie de conséquence, quitté le sénat après cumulé deux mandats de sénateurs de six années chacun au moins. Il est question de Zohra Drif Bitat, dont le départ était donné pour quasi certain après, notamment, avoir rejoint le groupe des « 19-4 ». Le mandat de 4 autres sénateurs, à savoir Brahim Boulahya, Mohamed Boukhalfa, Yacef Saadi et Zahia Benarous, n'a pas été renouvelé par le chef de l'Etat. Contrairement à d'autres qui ont bénéficié de la confiance du président Bouteflika. L'on peut citer dans cette catégorie Tahar Zbiri, Mellah Mohamed Salah, Cheloufi Mustapha, Ferhat Hmida Tayeb, Ghouma Brahim Ramdane Omar , Malki Abdelkader, Louisa Chachoua et Rafika Kesri. En tout le président Bouteflika a nommé 17 sénateurs. Le président, qui a le droit de nommer 48 sénateurs du tiers présidentiel, dispose encore de nombreuses places (8 sièges exactement) vacantes qu'il peut pourvoir à tout moment. La cérémonie d'hier a été présidée par le doyen des sénateurs, Salah Goudjil en l'occurrence, assisté des deux plus jeunes membres du Conseil de la nation. Après la validation des mandats suite au rapport de la commission du même nom un sénateur a demandé la parole pour dire qu'après consultation avec les trois groupes parlementaires (RND, FLN et tiers présidentiel) il a été décidé de proposer la candidature d'Abdelkader Bensalah à la présidence du Conseil de la nation. Les applaudissements nourris, qui ont suivi cette proposition, indiquait clairement que le choix de Bensalah faisait l'unanimité et, de fait, personne ne s'y est opposé. Prenant la parole celui qui préside aux destinées de la chambre haute du Parlement depuis le mois de juillet 2002, a remercié ses pairs de leur confiance. Il s'est aussi félicité de la présence de l'opposition au sénat. IL faisait certainement allusion aux deux sénateurs du FFS. Bensalah s'attend, par ailleurs, à un grand travail, notamment après l'adoption du projet de loi relatif à la Constitution et les nouveaux projets de loi qui en découleront. De plus il a indiqué que les prérogatives du Conseil de la nation vont s'élargir, ce qui nécessite un surcroit de travail. Il faisait allusion à l'article 119 bis de l'avant- projet de révision de la Constitution qui stipule que les projets de loi relatifs à l'organisation locale, l'aménagement du territoire et le découpage territorial sont déposés sur le bureau du Conseil de la nation. C'est devenu une tradition puisque Bensalah est réélu sans interruption à la tête de la chambre haute du Parlement par ses pairs sénateurs chaque trois années et ce depuis qu'il a succédé à Mohamed-Cherif Messadia au mois de juillet 2002. Hier c'était encore le cas à l'occasion de la cérémonie d'installation des nouveaux sénateurs intervenue après le renouvèlement partiel des membres du Conseil de la nation. En cette occasion la liste des membres du tiers présidentiel a été dévoilée. Elle ne comporte pas beaucoup de nouveautés puisque quatre nouveaux membres seulement ont fait leur entrée au Sénat. Il s'agit ainsi du général Nouredine Benkortbi, ex-directeur du protocole à la présidence de la République du temps de Chadli Bendjedid, de Ben Ali Benzaghou, ex-recteur de l'université de Bab Ezzouar, de Abdelhak Benboulaid, le fils cadet du martyr Mustapha Benboulaid, et de Achour Rachid ex-député de Blida. Pour la circonstance le président de la République n'a pas renouvellé sa confiance à cinq sénateurs qui ont, par voie de conséquence, quitté le sénat après cumulé deux mandats de sénateurs de six années chacun au moins. Il est question de Zohra Drif Bitat, dont le départ était donné pour quasi certain après, notamment, avoir rejoint le groupe des « 19-4 ». Le mandat de 4 autres sénateurs, à savoir Brahim Boulahya, Mohamed Boukhalfa, Yacef Saadi et Zahia Benarous, n'a pas été renouvelé par le chef de l'Etat. Contrairement à d'autres qui ont bénéficié de la confiance du président Bouteflika. L'on peut citer dans cette catégorie Tahar Zbiri, Mellah Mohamed Salah, Cheloufi Mustapha, Ferhat Hmida Tayeb, Ghouma Brahim Ramdane Omar , Malki Abdelkader, Louisa Chachoua et Rafika Kesri. En tout le président Bouteflika a nommé 17 sénateurs. Le président, qui a le droit de nommer 48 sénateurs du tiers présidentiel, dispose encore de nombreuses places (8 sièges exactement) vacantes qu'il peut pourvoir à tout moment. La cérémonie d'hier a été présidée par le doyen des sénateurs, Salah Goudjil en l'occurrence, assisté des deux plus jeunes membres du Conseil de la nation. Après la validation des mandats suite au rapport de la commission du même nom un sénateur a demandé la parole pour dire qu'après consultation avec les trois groupes parlementaires (RND, FLN et tiers présidentiel) il a été décidé de proposer la candidature d'Abdelkader Bensalah à la présidence du Conseil de la nation. Les applaudissements nourris, qui ont suivi cette proposition, indiquait clairement que le choix de Bensalah faisait l'unanimité et, de fait, personne ne s'y est opposé. Prenant la parole celui qui préside aux destinées de la chambre haute du Parlement depuis le mois de juillet 2002, a remercié ses pairs de leur confiance. Il s'est aussi félicité de la présence de l'opposition au sénat. IL faisait certainement allusion aux deux sénateurs du FFS. Bensalah s'attend, par ailleurs, à un grand travail, notamment après l'adoption du projet de loi relatif à la Constitution et les nouveaux projets de loi qui en découleront. De plus il a indiqué que les prérogatives du Conseil de la nation vont s'élargir, ce qui nécessite un surcroit de travail. Il faisait allusion à l'article 119 bis de l'avant- projet de révision de la Constitution qui stipule que les projets de loi relatifs à l'organisation locale, l'aménagement du territoire et le découpage territorial sont déposés sur le bureau du Conseil de la nation.