Il n' y a pas eu de surprise, hier, lors de l'élection du nouveau président du Conseil de la nation. Comme prévu ,les sénateurs ont, à une écrasante majorité, réélu Abdelkader Bensalah à la tête de la chambre haute du Parlement. Bensalah, seul candidat et qui a entamé hier son troisième mandat successif, a eu les faveurs de 132 voix alors que deux sénateurs, appartenant au FFS, se sont abstenus lors de l'opération de vote. C'est une sénatrice du tiers présidentiel, qui a demandé un point d'ordre, qui a proposé à la plénière de réélire Abdelkader Bensalah. Dans sa brève intervention, cette parlementaire a mis en exergue les qualités et les compétences de Bensalah qui est, a-t-elle estimé, un homme de dialogue jouissant d'une bonne réputation. Elle a cité, à ce propos, sa présidence de la commission nationale de consultations politiques qui a recueilli les avis des uns et des autres sur les réformes politiques. Elle a de même indiqué que sa candidature est le fruit d'un consensus des trois groupes parlementaires au sein du Sénat, à savoir ceux du FLN, du RND et du tiers présidentiel. Après son élection par ses pairs, à main levée, Bensalah est monté sur le perchoir et dans une brève allocution il a remercié ses collègues pour la confiance placée en sa personne. Il n'a pas manqué aussi de remercier le président de la République qui lui a réitéré sa confiance en le désignant, de nouveau, au titre du tiers présidentiel. « Nous sommes convaincus que notre institution est appelée, au même titre que les autres institutions constitutionnelles de l'Etat, à jouer un rôle plus dynamique à l'avenir dans le cadre des réformes politiques initiées par le président de la République », a indiqué Bensalah ajoutant que « ce rôle est à même de permettre à cette institution d'avoir la place qu'elle mérite ». D'aucuns ont vite interprété ces propos comme un appel du pied de Bensalah en vue de pourvoir la chambre haute du Parlement de réelles prérogatives lui permettant de légiférer. Ce qui n'est pas le cas actuellement puisque le Sénat accepte ou rejette les lois uniquement. Bien avant l'innovation de Bensalah, Tayeb Ferhane, qui a présidé la séance de par le fait qu'il est le plus âgé, a formellement critiqué tous ceux qui ne portent pas dans leur cœur le Conseil de la nation en les qualifiant de « mauvaises langues ». « Certes le conseil ne légifère pas, mais il a un rôle important puisqu'il contrôle les lois » a-t-il notamment déclaré. Notons que 78 nouveaux membres ont été installés hier. En effet 48 membres ont été élus le 29 décembre dernier par les grands électeurs, c'est-à-dire les élus des assemblées locales, alors que 30 membres ont été désignés par le président de la République. Ce dernier, pour rappel, a renouvelé sa confiance à plusieurs, dont Abdelkader Bensalah. Il a cependant désigné de nouveaux sénateurs à l'image de six anciens ministres. On peut ainsi citer notamment El Hadi Khaldi, ex-ministre de la Formation professionnelle, Saïd Barkat, ex-ministre de la Santé et de la Solidarité nationale, Boubekeur Benbouzid, ex-ministre de l'Education nationale, et Djamel Ould Abbès, ex-ministre de la Santé. Il n' y a pas eu de surprise, hier, lors de l'élection du nouveau président du Conseil de la nation. Comme prévu ,les sénateurs ont, à une écrasante majorité, réélu Abdelkader Bensalah à la tête de la chambre haute du Parlement. Bensalah, seul candidat et qui a entamé hier son troisième mandat successif, a eu les faveurs de 132 voix alors que deux sénateurs, appartenant au FFS, se sont abstenus lors de l'opération de vote. C'est une sénatrice du tiers présidentiel, qui a demandé un point d'ordre, qui a proposé à la plénière de réélire Abdelkader Bensalah. Dans sa brève intervention, cette parlementaire a mis en exergue les qualités et les compétences de Bensalah qui est, a-t-elle estimé, un homme de dialogue jouissant d'une bonne réputation. Elle a cité, à ce propos, sa présidence de la commission nationale de consultations politiques qui a recueilli les avis des uns et des autres sur les réformes politiques. Elle a de même indiqué que sa candidature est le fruit d'un consensus des trois groupes parlementaires au sein du Sénat, à savoir ceux du FLN, du RND et du tiers présidentiel. Après son élection par ses pairs, à main levée, Bensalah est monté sur le perchoir et dans une brève allocution il a remercié ses collègues pour la confiance placée en sa personne. Il n'a pas manqué aussi de remercier le président de la République qui lui a réitéré sa confiance en le désignant, de nouveau, au titre du tiers présidentiel. « Nous sommes convaincus que notre institution est appelée, au même titre que les autres institutions constitutionnelles de l'Etat, à jouer un rôle plus dynamique à l'avenir dans le cadre des réformes politiques initiées par le président de la République », a indiqué Bensalah ajoutant que « ce rôle est à même de permettre à cette institution d'avoir la place qu'elle mérite ». D'aucuns ont vite interprété ces propos comme un appel du pied de Bensalah en vue de pourvoir la chambre haute du Parlement de réelles prérogatives lui permettant de légiférer. Ce qui n'est pas le cas actuellement puisque le Sénat accepte ou rejette les lois uniquement. Bien avant l'innovation de Bensalah, Tayeb Ferhane, qui a présidé la séance de par le fait qu'il est le plus âgé, a formellement critiqué tous ceux qui ne portent pas dans leur cœur le Conseil de la nation en les qualifiant de « mauvaises langues ». « Certes le conseil ne légifère pas, mais il a un rôle important puisqu'il contrôle les lois » a-t-il notamment déclaré. Notons que 78 nouveaux membres ont été installés hier. En effet 48 membres ont été élus le 29 décembre dernier par les grands électeurs, c'est-à-dire les élus des assemblées locales, alors que 30 membres ont été désignés par le président de la République. Ce dernier, pour rappel, a renouvelé sa confiance à plusieurs, dont Abdelkader Bensalah. Il a cependant désigné de nouveaux sénateurs à l'image de six anciens ministres. On peut ainsi citer notamment El Hadi Khaldi, ex-ministre de la Formation professionnelle, Saïd Barkat, ex-ministre de la Santé et de la Solidarité nationale, Boubekeur Benbouzid, ex-ministre de l'Education nationale, et Djamel Ould Abbès, ex-ministre de la Santé.