L'Agence nationale de gestion du microcrédit (Angem) et l'Agence de développement social (ADS) ont pour vocation de combattre la pauvreté et la marginalisation, notamment en zones rurales et enclavées... L'Agence nationale de gestion du microcrédit (Angem) et l'Agence de développement social (ADS) ont pour vocation de combattre la pauvreté et la marginalisation, notamment en zones rurales et enclavées... C'est ce qu'a affirmé à M'sila la ministre de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Condition de la femme, Mounia Meslem. La finalité des actions de ces deux organismes est d'élargir la couche moyenne qui constitue l'assise du développement pour tous les pays du monde, a considéré la ministre lors de sa tournée à travers des stands de l'exposition de la femme rurale organisée dans la daïra de Chellal. Elle a, en outre, estimé "insuffisante" l'activité de l'Angem dans la wilaya de M'sila qui compte 1,2 million habitants pour la période 2014-2015 ayant connu l'octroi de 1.400 crédits. En s'enquérant des actions de l'association Wali-Tahar pour la protection de l'enfance à Boussaâda, Mme Meslem a affirmé que les associations qui contribuent à la solidarité méritent l'encouragement de son département, qui a prévu des aides matérielles et financières "conséquentes" , a-t-elle dit. Au centre psychopédagogique pour enfants déficients mentaux de Boussaâda qui accueille actuellement 87 petits, la ministre s'est dite favorable à son extension pour porter sa capacité d'accueil à 120 enfants. Mme Meslem a exprimé en outre son insatisfaction quant au "fonctionnement du secteur des affaires sociales dans la wilaya alors que d'autres wilayas ont pu réaliser un bond qualitatif, notamment en matière de mise en oeuvre des programmes en direction des femmes rurales". "Je veux du concret", a-t-elle lancé assurant que son secteur "n'a pas été touché par l'austérité et tous ses programmes sont restés maintenus". La ministre devait également visiter le siège de la direction de wilaya de l'action sociale, le centre psychopédagogique de la ville de M'sila ainsi que le centre pour malvoyants et les classes préparatoires pour enfants autistes. Elle présidera au terme de sa visite une rencontre avec les représentants de la société civile et les associations actives. C'est ce qu'a affirmé à M'sila la ministre de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Condition de la femme, Mounia Meslem. La finalité des actions de ces deux organismes est d'élargir la couche moyenne qui constitue l'assise du développement pour tous les pays du monde, a considéré la ministre lors de sa tournée à travers des stands de l'exposition de la femme rurale organisée dans la daïra de Chellal. Elle a, en outre, estimé "insuffisante" l'activité de l'Angem dans la wilaya de M'sila qui compte 1,2 million habitants pour la période 2014-2015 ayant connu l'octroi de 1.400 crédits. En s'enquérant des actions de l'association Wali-Tahar pour la protection de l'enfance à Boussaâda, Mme Meslem a affirmé que les associations qui contribuent à la solidarité méritent l'encouragement de son département, qui a prévu des aides matérielles et financières "conséquentes" , a-t-elle dit. Au centre psychopédagogique pour enfants déficients mentaux de Boussaâda qui accueille actuellement 87 petits, la ministre s'est dite favorable à son extension pour porter sa capacité d'accueil à 120 enfants. Mme Meslem a exprimé en outre son insatisfaction quant au "fonctionnement du secteur des affaires sociales dans la wilaya alors que d'autres wilayas ont pu réaliser un bond qualitatif, notamment en matière de mise en oeuvre des programmes en direction des femmes rurales". "Je veux du concret", a-t-elle lancé assurant que son secteur "n'a pas été touché par l'austérité et tous ses programmes sont restés maintenus". La ministre devait également visiter le siège de la direction de wilaya de l'action sociale, le centre psychopédagogique de la ville de M'sila ainsi que le centre pour malvoyants et les classes préparatoires pour enfants autistes. Elle présidera au terme de sa visite une rencontre avec les représentants de la société civile et les associations actives.