La visite de la présidente de la République de Malte, Marie- Louise Coleiro Preca, aujourd'hui à Alger, sera une occasion de raffermir davantage les relations politiques entre les deux pays et de consolider les efforts en cours pour mettre sur pied des partenariats économiques mutuellement bénéfiques. La visite de la présidente de la République de Malte, Marie- Louise Coleiro Preca, aujourd'hui à Alger, sera une occasion de raffermir davantage les relations politiques entre les deux pays et de consolider les efforts en cours pour mettre sur pied des partenariats économiques mutuellement bénéfiques. La visite de la présidente de la République maltaise en Algérie, à l'invitation du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, permettra de "consolider les efforts en cours des deux pays pour mettre sur pied des partenariats économiques mutuellement bénéfiques, en prévision de la prochaine réunion de la commission mixte de coopération, qui se déroulera dans le courant de ce semestre". Les entretiens entre les deux chefs d'Etat permettront également à l'Algérie et à Malte de "partager leurs vues et analyses sur les questions internationales, notamment dans l'espace méditerranéen, ainsi que sur les relations entre notre pays et l'Union européenne". Le Premier ministre maltais, Joseph Muscat, avait exprimé lors de sa visite en novembre dernier à Alger, la volonté de son pays de développer sa coopération avec l'Algérie dans divers domaines, précisant partager l'approche algérienne, en matière de coopération bilatérale, consistant à arrêter un nombre de secteurs d'activités prioritaires et d'y encourager la mise en place de partenariats mutuellement bénéfiques. Il avait assuré vouloir créer les conditions nécessaires, politiques et économiques, pour aider les opérateurs des deux pays à investir, affirmant que les deux économies avaient des complémentarités à développer. Lui emboîtant le pas, le ministre maltais des Affaires étrangères, George William Vella avait affirmé que la relance en 2016 de la commission mixte renforcerait les liens politiques et optimiserait les échanges économiques entre les deux pays. "Avec la redynamisation entre janvier et février 2016 de la commission mixte algéro-maltaise, dont les activités ont été gelées depuis 1988, les deux pays vont se doter d'un cadre qui leur permettra de renforcer l'aspect politique de leurs relations", avait-il déclaré. Pour sa part, le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, avait exprimé la volonté politique de l'Algérie et de Malte de bâtir un partenariat de coopération "renforcé" basé sur l'amitié et des intérêts mutuellement avantageux. Le Premier ministre s'était félicité de la "progression" des échanges commerciaux enregistrée, ces dernières années, entre les deux pays, mais avait souligné, toutefois, que le niveau de ces échanges "reste en deçà des objectifs ambitieux que nous voulons assigner à notre coopération particulièrement au regard de l'importance des opportunités d'investissement et d'affaires qui existent entre nos deux pays". Il avait affirmé que l'Algérie et Malte possédaient des atouts et des potentialités à même de garantir l'impulsion d'une dynamique novatrice de coopération bilatérale dans plusieurs secteurs qui possèdent un avantage comparatif. M. Sellal avait appelé, par ailleurs, les entreprises maltaises à investir dans l'industrie du raffinage du pétrole en Algérie, et ne pas se limiter à l'importation du pétrole brut algérien. "Se contenter de commercialiser du pétrole n'est ni une solution pour l'économie nationale, ni pour l'avenir du pays", avait indiqué M. Sellal. Pour une résolution pacifique des conflits Au plan international, MM. Sellal et Muscat avaient exprimé les positions de l'Algérie et de Malte en faveur de la paix et de la stabilité dans le monde, appelant l'ensemble de la communauté internationale à recourir aux résolutions pacifiques des conflits. M. Sellal avait indiqué, que l'Algérie et Malte avaient des expériences à partager "bénéfiquement au service de la consolidation de la stabilité de l'espace méditerranéen, qui constitue l'ancrage civilisationnel et humain de notre appartenance commune". Il s'était félicité que les deux pays "soient activement impliqués dans les initiatives de médiation pour promouvoir la paix mais aussi pour relever le défi majeur du terrorisme qui menace le devenir de la communauté internationale". "L'efficacité de la riposte à cette menace requiert la concertation élargie dans la définition des objectifs et des moyens ainsi que la coordination synergique dans l'efficacité de sa mise en oeuvre", avait-il poursuivi. M. Sellal avait affirmé que l'Algérie avait mené avec succès la médiation internationale pour le Mali et poursuivait ses efforts inlassablement pour trouver une solution politique à la crise libyenne basée sur le dialogue et préservant l'intégrité de la Libye. De son côté, M. Muscat, avait salué le rôle de l'Algérie dans la quête d'une solution pacifique à la crise libyenne. "Nous saluons et remercions le rôle de l'Algérie dans la quête d'une solution pacifique au conflit dans un pays voisin et ami qui est la Libye", avait-il soutenu. Malte, tout comme l'Algérie, avait-t-il dit, était favorable à la préservation de l'intégrité territoriale de la Libye et au retour de la paix et de la sécurité dans le pays pour permettre au peuple libyen de retrouver une vie normale. La visite de la présidente de la République maltaise en Algérie, à l'invitation du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, permettra de "consolider les efforts en cours des deux pays pour mettre sur pied des partenariats économiques mutuellement bénéfiques, en prévision de la prochaine réunion de la commission mixte de coopération, qui se déroulera dans le courant de ce semestre". Les entretiens entre les deux chefs d'Etat permettront également à l'Algérie et à Malte de "partager leurs vues et analyses sur les questions internationales, notamment dans l'espace méditerranéen, ainsi que sur les relations entre notre pays et l'Union européenne". Le Premier ministre maltais, Joseph Muscat, avait exprimé lors de sa visite en novembre dernier à Alger, la volonté de son pays de développer sa coopération avec l'Algérie dans divers domaines, précisant partager l'approche algérienne, en matière de coopération bilatérale, consistant à arrêter un nombre de secteurs d'activités prioritaires et d'y encourager la mise en place de partenariats mutuellement bénéfiques. Il avait assuré vouloir créer les conditions nécessaires, politiques et économiques, pour aider les opérateurs des deux pays à investir, affirmant que les deux économies avaient des complémentarités à développer. Lui emboîtant le pas, le ministre maltais des Affaires étrangères, George William Vella avait affirmé que la relance en 2016 de la commission mixte renforcerait les liens politiques et optimiserait les échanges économiques entre les deux pays. "Avec la redynamisation entre janvier et février 2016 de la commission mixte algéro-maltaise, dont les activités ont été gelées depuis 1988, les deux pays vont se doter d'un cadre qui leur permettra de renforcer l'aspect politique de leurs relations", avait-il déclaré. Pour sa part, le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, avait exprimé la volonté politique de l'Algérie et de Malte de bâtir un partenariat de coopération "renforcé" basé sur l'amitié et des intérêts mutuellement avantageux. Le Premier ministre s'était félicité de la "progression" des échanges commerciaux enregistrée, ces dernières années, entre les deux pays, mais avait souligné, toutefois, que le niveau de ces échanges "reste en deçà des objectifs ambitieux que nous voulons assigner à notre coopération particulièrement au regard de l'importance des opportunités d'investissement et d'affaires qui existent entre nos deux pays". Il avait affirmé que l'Algérie et Malte possédaient des atouts et des potentialités à même de garantir l'impulsion d'une dynamique novatrice de coopération bilatérale dans plusieurs secteurs qui possèdent un avantage comparatif. M. Sellal avait appelé, par ailleurs, les entreprises maltaises à investir dans l'industrie du raffinage du pétrole en Algérie, et ne pas se limiter à l'importation du pétrole brut algérien. "Se contenter de commercialiser du pétrole n'est ni une solution pour l'économie nationale, ni pour l'avenir du pays", avait indiqué M. Sellal. Pour une résolution pacifique des conflits Au plan international, MM. Sellal et Muscat avaient exprimé les positions de l'Algérie et de Malte en faveur de la paix et de la stabilité dans le monde, appelant l'ensemble de la communauté internationale à recourir aux résolutions pacifiques des conflits. M. Sellal avait indiqué, que l'Algérie et Malte avaient des expériences à partager "bénéfiquement au service de la consolidation de la stabilité de l'espace méditerranéen, qui constitue l'ancrage civilisationnel et humain de notre appartenance commune". Il s'était félicité que les deux pays "soient activement impliqués dans les initiatives de médiation pour promouvoir la paix mais aussi pour relever le défi majeur du terrorisme qui menace le devenir de la communauté internationale". "L'efficacité de la riposte à cette menace requiert la concertation élargie dans la définition des objectifs et des moyens ainsi que la coordination synergique dans l'efficacité de sa mise en oeuvre", avait-il poursuivi. M. Sellal avait affirmé que l'Algérie avait mené avec succès la médiation internationale pour le Mali et poursuivait ses efforts inlassablement pour trouver une solution politique à la crise libyenne basée sur le dialogue et préservant l'intégrité de la Libye. De son côté, M. Muscat, avait salué le rôle de l'Algérie dans la quête d'une solution pacifique à la crise libyenne. "Nous saluons et remercions le rôle de l'Algérie dans la quête d'une solution pacifique au conflit dans un pays voisin et ami qui est la Libye", avait-il soutenu. Malte, tout comme l'Algérie, avait-t-il dit, était favorable à la préservation de l'intégrité territoriale de la Libye et au retour de la paix et de la sécurité dans le pays pour permettre au peuple libyen de retrouver une vie normale.