"Le FFS considère que le projet soumis à l'adoption ne "sert pas l'intérêt du peuple algérien et représente une menace pour la stabilité du pays et sa cohésion" dans un communiqué publié hier. Pour ces raisons, il a décidé de boycotter cette session extraordinaire du Parlement. "Le FFS considère que le projet soumis à l'adoption ne "sert pas l'intérêt du peuple algérien et représente une menace pour la stabilité du pays et sa cohésion" dans un communiqué publié hier. Pour ces raisons, il a décidé de boycotter cette session extraordinaire du Parlement. Pour le FFS, ce projet "n'est qu'une continuité du feuilleton de la violence constitutionnelle exercée contre le peuple algérien, depuis la constitution de 1963". "Ce n'est pas un texte qui est à l'origine de la crise politique, économique, sociale et morale que vit le pays, ce n'est donc pas un texte qui sortira le pays de cette crise qui s'aggrave de jour en jour", soutient le FFS. Ce dernier estime que "tout projet constitutionnel doit rencontrer le plus large consensus possible sinon il est voué à l'échec". Il affirme qu'il "s'inscrit en dehors de l'agenda du régime qui ne s'intéresse qu'à sa pérennité". Pour le FFS, ce projet "n'est qu'une continuité du feuilleton de la violence constitutionnelle exercée contre le peuple algérien, depuis la constitution de 1963". "Ce n'est pas un texte qui est à l'origine de la crise politique, économique, sociale et morale que vit le pays, ce n'est donc pas un texte qui sortira le pays de cette crise qui s'aggrave de jour en jour", soutient le FFS. Ce dernier estime que "tout projet constitutionnel doit rencontrer le plus large consensus possible sinon il est voué à l'échec". Il affirme qu'il "s'inscrit en dehors de l'agenda du régime qui ne s'intéresse qu'à sa pérennité".