La ministre de l'Education nationale, Nouria Benghebrit, a affirmé avant-hier à Alger que le "ministère prendra des mesures rigoureuses contre toute tentative de triche à l'examen du baccalauréat allant jusqu'à une exclusion du candidat pour une durée de cinq ans". La ministre de l'Education nationale, Nouria Benghebrit, a affirmé avant-hier à Alger que le "ministère prendra des mesures rigoureuses contre toute tentative de triche à l'examen du baccalauréat allant jusqu'à une exclusion du candidat pour une durée de cinq ans". Le ministère de l'Education nationale a décidé de "prendre des mesures rigoureuses contre toute tentative de triche lors des examens officiels allant jusqu'à l'exclusion de l'examen du baccalauréat pour une durée de cinq ans au lieu de trois comme en vigueur notamment si le tricheur a eu recours aux nouvelles technologies", a indiqué Mme Benghebrit lors de la Conférence régionale des cadres de l'éducation des wilayas du Centre. Pour éviter les cas de triche, elle a souligné que ses services "préparaient le lancement d'une campagne de sensibilisation au profit des élèves et parents d'élèves pour les sensibiliser à la gravité de la triche lors des examens". Afin d'assurer le bon déroulement des examens, elle a insisté sur la nécessité de "réunir toutes les conditions au double plan pédagogique et logistique", rassurant que l'"élève bénéficiera d'un accompagnement en réactivant le dispositif de soutien pédagogique destiné aux élèves en classe d'examens notamment ceux de terminale à travers notamment l'exploitation de la plateforme numérique de l'Office national de l'enseignement et de la formation à distance". Mme Benghebrit a insisté sur l'importance de la coordination entre l'ensemble des parties concernées afin d'arrêter "toutes les dispositions garantissant le bon déroulement des examens tout en veillant au strict respect des règles de sécurité à même de préserver la crédibilité des examens". Elle a appelé en outre, les acteurs concernés à "assurer le suivi et le succès de l'opération d'octroi des cartes d'identité biométriques aux candidats au baccalauréat en collaboration avec les services du ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales". Par ailleurs, la ministre de l'Education nationale a estimé que la Constitution amendée récemment adoptée, constituait un "document stratégique pour l'avenir de la société", appelant à "plus de mobilisation et d'engagement pour garantir à tous les élèves un accès égal et équitable à l'Education". Le droit à l'enseignement "est consacré par la Constitution et les parents ont désormais et en vertu de l'article 65, l'obligation d'assurer l'éducation de leurs enfants", soulignant que cet article était venu "renforcer l'article 12 de la loi d'orientation sur l'Education". Elle a rappelé également, que l'application de l'instruction interministérielle numéro 03 a permis "la promotion des enseignants appartenant aux grades en voie de disparition à des grades de base et nouvellement créés (enseignant principal et enseignant formateur) pour ceux ayant achevé leur formation avant le 3 juin 2012". Elle a aussi ouvert la voie à la promotion des enseignants qui s'apprêtent à achever leur formation durant l'année en cours outre le versement des rappels des enseignants intégrés du 3 juin 2012 au 30 novembre 2014. Mme Benghebrit a ajouté enfin que "l'instruction a permis la régularisation de la situation de tous les professeurs techniques des lycées, des adjoints de l'éducation et de certains fonctionnaires appartenant aux corps de l'Education ainsi que la situation de certains intendants et sous-intendants des wilayas de Tizi-Ouzou, Aïn-Defla et Bouira qui avaient passé leurs examens et étaient suspendus". L'engagement du ministère "contribuera à conforter la confiance parmi les partenaires sociaux et à consolider la stabilité du secteur", at- elle encore dit. Examens de rattrapage : fin juin prochain Benghebrit a annoncé également que les examens de rattrapage pour les trois cycles d'enseignement se dérouleront fin juin prochain. Elle a précisé en marge de la conférence régionale des cadres de l'Education des wilayas du Centre que ces examens de rattrapage "concerneront les élèves des trois cycles qui auront obtenu une moyenne entre 4 et 4,99 pour les élèves du cycle primaire notés sur 10 et entre 9 et 9,99 pour les élèves notés sur 20". Cette mesure, a encore précisé la ministre, ne "concerne pas les candidats au Baccalauréat, au Brevet d'enseignement moyen (BEM) et à l'examen de fin de cycle primaire. Les examens de rattrapage sont une seconde chance offerte aux élèves pour être admis en classe supérieure et éviter le redoublement", a-telle rappelé soulignant que près de "30 % des élèves de première année secondaire dont la moyenne se rapproche de la moyenne pédagogique de passage (10/20) redoublent leur classe". La ministre a instruit les inspecteurs de suivre l'application de cette mesure. Le concours de recrutement des enseignants, tant attendu, sera organisé à la fin du mois de mars prochain a précisé Nouria Benghebrit. La ministre a précisé, à l'ouverture de la conférence régionale des cadres de l'Education des wilayas du centre du pays, que le concours de recrutement des enseignants sera "organisé fin mars prochain", soulignant que son "département attend toujours la réponse de la direction de la Fonction publique concernant le nombre de postes à pourvoir et les nouvelles spécialités". Mme Benghebrit a rappelé que la nouveauté cette année est que "le candidat disposera d'une durée d'un mois pour se préparer au concours qui comportera deux épreuves, l'une écrite et l'autre orale, sous la supervision de l'Office national des examens et concours". La ministre de l'Education nationale avait annoncé la semaine dernière que le nombre de postes ouvert au concours de recrutement "n'est pas loin de celui de l'année dernière", soit 19.000 postes. Le ministère de l'Education nationale a décidé de "prendre des mesures rigoureuses contre toute tentative de triche lors des examens officiels allant jusqu'à l'exclusion de l'examen du baccalauréat pour une durée de cinq ans au lieu de trois comme en vigueur notamment si le tricheur a eu recours aux nouvelles technologies", a indiqué Mme Benghebrit lors de la Conférence régionale des cadres de l'éducation des wilayas du Centre. Pour éviter les cas de triche, elle a souligné que ses services "préparaient le lancement d'une campagne de sensibilisation au profit des élèves et parents d'élèves pour les sensibiliser à la gravité de la triche lors des examens". Afin d'assurer le bon déroulement des examens, elle a insisté sur la nécessité de "réunir toutes les conditions au double plan pédagogique et logistique", rassurant que l'"élève bénéficiera d'un accompagnement en réactivant le dispositif de soutien pédagogique destiné aux élèves en classe d'examens notamment ceux de terminale à travers notamment l'exploitation de la plateforme numérique de l'Office national de l'enseignement et de la formation à distance". Mme Benghebrit a insisté sur l'importance de la coordination entre l'ensemble des parties concernées afin d'arrêter "toutes les dispositions garantissant le bon déroulement des examens tout en veillant au strict respect des règles de sécurité à même de préserver la crédibilité des examens". Elle a appelé en outre, les acteurs concernés à "assurer le suivi et le succès de l'opération d'octroi des cartes d'identité biométriques aux candidats au baccalauréat en collaboration avec les services du ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales". Par ailleurs, la ministre de l'Education nationale a estimé que la Constitution amendée récemment adoptée, constituait un "document stratégique pour l'avenir de la société", appelant à "plus de mobilisation et d'engagement pour garantir à tous les élèves un accès égal et équitable à l'Education". Le droit à l'enseignement "est consacré par la Constitution et les parents ont désormais et en vertu de l'article 65, l'obligation d'assurer l'éducation de leurs enfants", soulignant que cet article était venu "renforcer l'article 12 de la loi d'orientation sur l'Education". Elle a rappelé également, que l'application de l'instruction interministérielle numéro 03 a permis "la promotion des enseignants appartenant aux grades en voie de disparition à des grades de base et nouvellement créés (enseignant principal et enseignant formateur) pour ceux ayant achevé leur formation avant le 3 juin 2012". Elle a aussi ouvert la voie à la promotion des enseignants qui s'apprêtent à achever leur formation durant l'année en cours outre le versement des rappels des enseignants intégrés du 3 juin 2012 au 30 novembre 2014. Mme Benghebrit a ajouté enfin que "l'instruction a permis la régularisation de la situation de tous les professeurs techniques des lycées, des adjoints de l'éducation et de certains fonctionnaires appartenant aux corps de l'Education ainsi que la situation de certains intendants et sous-intendants des wilayas de Tizi-Ouzou, Aïn-Defla et Bouira qui avaient passé leurs examens et étaient suspendus". L'engagement du ministère "contribuera à conforter la confiance parmi les partenaires sociaux et à consolider la stabilité du secteur", at- elle encore dit. Examens de rattrapage : fin juin prochain Benghebrit a annoncé également que les examens de rattrapage pour les trois cycles d'enseignement se dérouleront fin juin prochain. Elle a précisé en marge de la conférence régionale des cadres de l'Education des wilayas du Centre que ces examens de rattrapage "concerneront les élèves des trois cycles qui auront obtenu une moyenne entre 4 et 4,99 pour les élèves du cycle primaire notés sur 10 et entre 9 et 9,99 pour les élèves notés sur 20". Cette mesure, a encore précisé la ministre, ne "concerne pas les candidats au Baccalauréat, au Brevet d'enseignement moyen (BEM) et à l'examen de fin de cycle primaire. Les examens de rattrapage sont une seconde chance offerte aux élèves pour être admis en classe supérieure et éviter le redoublement", a-telle rappelé soulignant que près de "30 % des élèves de première année secondaire dont la moyenne se rapproche de la moyenne pédagogique de passage (10/20) redoublent leur classe". La ministre a instruit les inspecteurs de suivre l'application de cette mesure. Le concours de recrutement des enseignants, tant attendu, sera organisé à la fin du mois de mars prochain a précisé Nouria Benghebrit. La ministre a précisé, à l'ouverture de la conférence régionale des cadres de l'Education des wilayas du centre du pays, que le concours de recrutement des enseignants sera "organisé fin mars prochain", soulignant que son "département attend toujours la réponse de la direction de la Fonction publique concernant le nombre de postes à pourvoir et les nouvelles spécialités". Mme Benghebrit a rappelé que la nouveauté cette année est que "le candidat disposera d'une durée d'un mois pour se préparer au concours qui comportera deux épreuves, l'une écrite et l'autre orale, sous la supervision de l'Office national des examens et concours". La ministre de l'Education nationale avait annoncé la semaine dernière que le nombre de postes ouvert au concours de recrutement "n'est pas loin de celui de l'année dernière", soit 19.000 postes.