Le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, ne va finalement pas présenter au président de la République, Abdelaziz Bouteflika, la démission du gouvernement. Le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, ne va finalement pas présenter au président de la République, Abdelaziz Bouteflika, la démission du gouvernement. IL n'y aura donc plus de spéculations sur la question et c'est la présidence de la République qui y a mis fin avanthier jeudi. En effet, c'est par le biais d'une dépêche de l'agence gouvernementale d'information, l'APS en l'occurrence, qui a cité « une source autorisée » au niveau de la présidence de la République, que la plus haute autorité politique du pays, a mis fin aux spéculations en indiquant que la démission du gouvernement « n'est pas à l'ordre du jour ». Et à cette « source autorisée » qui s'est confiée à l'APS d'ajouter que « rien dans la Constitution révisée ne nécessite une démission du gouverrnement, qui n'est doc pas à l'ordre du jour ». Voila une précision de taille qui devrait mettre fin au débat né suite à la révision de la Constitution le 7 février dernier. A L'issue de la validation par les deux Chambres du Parlement réunies en session extraordinaire du projet de loi portant révision de la Constitution , des observateurs, se basant notamment sur une nouvelle disposition constitutionnelle, ont vite indiqué que le gouvernement devrait déposer sa démission. C'est en effet l'article 77 de la Constitution qui a été avancé par ceux qui soutenaient l'option de la démission du gouvernement et, par voie de conséquence, la formation d'un nouvel exécutif. L'alinéa 5 de cet article 77 est on ne peut pus clair s'agissant des prérogatives du président de la République. « Il nomme le Premier ministre la majorité parlementaire consultée et met fin à ses fonctions » stipule, en effet, cette disposition de la Constitution révisée. Le débat battait son plein et d'aucuns s'attendaient à ce que le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, présente la démission du gouvernement. Partira, partira pas ? est ainsi devenue la question dominante de l'actualité nationale. Le remaniement gouvernemental est ainsi devenu une option sérieuse au moment même ou d'autres voix parlaient juste d'un remaniement ministériel. Des noms ont même commencé à filtrer dans les medias pour succéder à Abdelmalek Sellal, qui est en poste depuis le début du mois de septembre 2012.Ahmed Ouyahia, directeur de cabinet à la présidence de la République et secrétaire général par intérim du RND, en faisait partie. Une éventualité balayée d'un revers de la main par le FLN, son secrétaire général Amar Saadani en tète. Saadani considérait en effet que ce poste revenait à son parti qui est majoritaire dans les assemblées élues et l'APN en particulier. Dans ce débat qui battait son plein certains ont toutefois indiqué que rien n'oblige le Président à former un nouveau gouvernement dés lors qu'il s'agit non d'une novelle constitution, mais d'une constitution révisée. Une donné fondamentale qui a d'ailleurs été reprise par la « source autorisée » qui s'est confiée à l'APS. Cette source à certes indiqué que la démission du gouvernement n'est pas à l'ordre du jour, mais elle n'a soufflé mot sur la perspective d'un remaniement ministériel. Une hypothèse avancée avec force par les analystes qui estiment que le gouvernement souffre d'un manque flagrant de cohésion. Dans un contexte de crise, cette absence de cohésion est très préjudiciable au pays. Sellal, qui semble ainsi avoir garanti son maintien à la tète du Premier ministère, va-t-il proposer au président de la République un remaniement ministériel ? Et le président Bouteflika va-t-il accéder à cette demande pour donner une nouvelle dynamique à l'action du gouvernement ? Auquel cas qui sont les ministres qui seront sacrifiés sur l'autel du changement? IL n'y aura donc plus de spéculations sur la question et c'est la présidence de la République qui y a mis fin avanthier jeudi. En effet, c'est par le biais d'une dépêche de l'agence gouvernementale d'information, l'APS en l'occurrence, qui a cité « une source autorisée » au niveau de la présidence de la République, que la plus haute autorité politique du pays, a mis fin aux spéculations en indiquant que la démission du gouvernement « n'est pas à l'ordre du jour ». Et à cette « source autorisée » qui s'est confiée à l'APS d'ajouter que « rien dans la Constitution révisée ne nécessite une démission du gouverrnement, qui n'est doc pas à l'ordre du jour ». Voila une précision de taille qui devrait mettre fin au débat né suite à la révision de la Constitution le 7 février dernier. A L'issue de la validation par les deux Chambres du Parlement réunies en session extraordinaire du projet de loi portant révision de la Constitution , des observateurs, se basant notamment sur une nouvelle disposition constitutionnelle, ont vite indiqué que le gouvernement devrait déposer sa démission. C'est en effet l'article 77 de la Constitution qui a été avancé par ceux qui soutenaient l'option de la démission du gouvernement et, par voie de conséquence, la formation d'un nouvel exécutif. L'alinéa 5 de cet article 77 est on ne peut pus clair s'agissant des prérogatives du président de la République. « Il nomme le Premier ministre la majorité parlementaire consultée et met fin à ses fonctions » stipule, en effet, cette disposition de la Constitution révisée. Le débat battait son plein et d'aucuns s'attendaient à ce que le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, présente la démission du gouvernement. Partira, partira pas ? est ainsi devenue la question dominante de l'actualité nationale. Le remaniement gouvernemental est ainsi devenu une option sérieuse au moment même ou d'autres voix parlaient juste d'un remaniement ministériel. Des noms ont même commencé à filtrer dans les medias pour succéder à Abdelmalek Sellal, qui est en poste depuis le début du mois de septembre 2012.Ahmed Ouyahia, directeur de cabinet à la présidence de la République et secrétaire général par intérim du RND, en faisait partie. Une éventualité balayée d'un revers de la main par le FLN, son secrétaire général Amar Saadani en tète. Saadani considérait en effet que ce poste revenait à son parti qui est majoritaire dans les assemblées élues et l'APN en particulier. Dans ce débat qui battait son plein certains ont toutefois indiqué que rien n'oblige le Président à former un nouveau gouvernement dés lors qu'il s'agit non d'une novelle constitution, mais d'une constitution révisée. Une donné fondamentale qui a d'ailleurs été reprise par la « source autorisée » qui s'est confiée à l'APS. Cette source à certes indiqué que la démission du gouvernement n'est pas à l'ordre du jour, mais elle n'a soufflé mot sur la perspective d'un remaniement ministériel. Une hypothèse avancée avec force par les analystes qui estiment que le gouvernement souffre d'un manque flagrant de cohésion. Dans un contexte de crise, cette absence de cohésion est très préjudiciable au pays. Sellal, qui semble ainsi avoir garanti son maintien à la tète du Premier ministère, va-t-il proposer au président de la République un remaniement ministériel ? Et le président Bouteflika va-t-il accéder à cette demande pour donner une nouvelle dynamique à l'action du gouvernement ? Auquel cas qui sont les ministres qui seront sacrifiés sur l'autel du changement?