Des milliers de réfugiés sahraouis étaient hier à l'accueil du Secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, à Smara (camps de réfugiés sahraouis) pour réaffirmer leur attachement à l'indépendance et l'exercice de leur droit à l'autodétermination, mettant les Nations unies devant leur responsabilité quant au règlement du conflit au Sahara occidental, opposant le Maroc et le Front Polisario. Des milliers de réfugiés sahraouis étaient hier à l'accueil du Secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, à Smara (camps de réfugiés sahraouis) pour réaffirmer leur attachement à l'indépendance et l'exercice de leur droit à l'autodétermination, mettant les Nations unies devant leur responsabilité quant au règlement du conflit au Sahara occidental, opposant le Maroc et le Front Polisario. Arrivée à bord d'un hélicoptère et accompagné d'une délégation onusienne parmi laquelle se trouve son Envoyé personnel au Sahara occidental, Christopher Ross, M. Ban a été accueilli par des Sahraoui brandissant des banderoles et scandant des slogans appelant à l'"organisation, sans attendre, du référendum d'autodétermination du peuple sahraoui" en lutte contre l'occupant marocain. C'était la revendication principale des réfugiés sahraouis, qui avaient, longtemps, attendu la visite de M. Ban dans la région pour insister sur la responsabilité de la communauté internationale et la nécessité d'un règlement urgent du conflit qui dure depuis plus de quarante ans, à travers, ontils scandé, "la relance des négociations sérieuses et responsables". Réitérant l'engagement du Front Polisario, leur représentant légitime, dans le processus du règlement onusien, les Sahraouis ont également brandi des portraits de Sahraouis victimes des pratiques inhumaines et de la transgression des droits de l'Homme dans les territoires occupés, par le régime marocain. "Les Sahraouis attendent que Ban Ki-moon constate de ses propres yeux les violations et les exactions marocaines pour réagir et assumer sa responsabilité", a déclaré à l'APS Mohamed, un réfugié sahraoui. Pour sa part, son compatriote, Hammad Ali, a lancé : "Nous voulons notre indépendance et retrouver définitivement notre terre... notre patrie". L'espoir d'Ali est, également, que cette visite du responsable de l'Onu soit "un tournant décisif dans le règlement du conflit du Sahara occidental". M. Ban a été également accueilli à son arrivée à Smara par les autorités locales, alors qu'un détachement de l'armée de libération sahraouie (ALS) lui rendait les honneurs. A la faveur de ce déplacement, le chef de l'ONU s'entretiendra avec le président sahraoui et secrétaire général du Front Polisario, Mohamed Abdelaziz, et se rendra à Bir Lahlou (territoires sahraouis libérés) pour rencontrer la Mission de l'ONU pour l'organisation du référendum au Sahara occidental (Minurso). Le Secrétaire général de l'ONU avait entamé sa tournée dans la région par Nouakchott où il a rencontré vendredi des hauts responsables mauritaniens, à leur tête le président, Mohamed Ould Abdel Aziz. Selon le programme établi, le SG de l'ONU se rendra ensuite en Algérie les 6 et le 7 mars, où il aura des discussions avec plusieurs hauts responsables, selon des sources onusiennes. L'ONU doit assumer ses responsabilités "Nous sommes un peuple pacifique, Nous avons accompagné les Nations Unies en acceptant notamment le cessez-le feu et nous nous sommes conformés avec la légalité internationale. Nous avons tenté toutes les voies possibles pour exercer notre droit légitime à l'autodétermination», a dit jeudi Mohammed Salem Bedda, enseignant d'espagnole au primaire Mahfoudh-Ali-Biba, regrettant l'"échec de l'Onu dans sa mission". Il s'est indigné, par ailleurs, des agissements de l'occupant marocain qui continue dans sa politique colonialiste en violant toutes les résolutions onusiennes. "A mon avis, ce qui est pris par la force, ne se récupère que par la force", a insisté M. Bedda, dans une déclaration à l'APS, citant le révolutionnaire sahraoui et martyr, Mustapha El-Ouali. "Par le fusil, on aura notre indépendance", a-t-il crié, en affichant tout son enthousiasme à "reprendre les armes contre l'occupant marocain, si la situation reste inchagée dans le conflit sahraoui". "Le grand perdant dans cette équation d'injustice sont les Sahraouis, les réfugiés comme ceux qui sont dans les territoires occupés", a-t-il encore dit. Concernant la visite du Secrétaire général de l'ONU, Ban ki-moon, attendu samedi dans les camps des réfugies, M. Salem Bedda, constatant que "ce déplacement intervient à quelques mois de le fin du mandat de M. Ban à la tête de l'ONU". Il a, dans le même ordre d'idées, rappelé que "tous les prédécesseurs du chef de l'Onu avaient fait la même chose (à cette étape de leur mandat)". Apropos de la Mission de l'ONU pour l'organisation d'un référendum au Sahara occidental (Minurso), l'enseignant a affirmé que cette institution doit s'élargir à la surveillance des droits de l'Homme au Sahara occidental. La lutte armée toujours à l'ordre du jour Plusieurs autres Sahraouis ont indiqué à l'APS que l'option militaire est toujours à l'ordre du jour, exprimant, toutefois leur souhait de voir Ban Ki-moon relancer d'une manière claire et concrète les négociations pour le règlement du conflit opposant le Maroc au Front Polisario. "La communauté internationale doit bouger pour soutenir notre cause, juste et légitime, et dénoncer les violations et agressions marocaines", a appelé M. Bedda, ajoutant que "l'élan de solidarité exprimé récemment envers notre cause nous encourage à aller de l'avant". Il n'a pas écarté, toutefois, l'option militaire, expliquant que "le roi du Maroc ne connaît pas le peuple sahraoui parce qu'il n'est pas rentré en conflit armé avec nous, contrairement à son père (Hassan II) qui a bien connu cette époque", a-t-il souligné. Il a, dans ce contexte rappelé que "Hassan II avait accepté le cessez-le-feu parce qu'il a constaté la volonté, l'engagement et la détermination des Sahraouis". Pour sa part, Mme Saadani Ambrick Al- Kharachi, a indiqué que "M. Ban doit dire la vérité au peuple sahraoui et vite trouver une solution à ce conflit qui n'a que trop duré". "Après plus de 40 ans de colonisation et plus de 25 ans du cessez-le-feu, la situation est presque immobile", s'est-elle indignée, brandissant la menace d'un "retour à l'option militaire". "Ban Ki-moon doit apporter ce message tant attendu, pour relancer les négociations et punir la partie qui entrave ce processus avec le soutien de quelques pays occidentaux, surtout la France". Elle s'est dite "prête à prendre les armes aux côtés des hommes pour aller combattre dans les champs de bataille pour l'indépendance de son pays". Pour sa part, Mme Makhouta Mohammed Cheikh, a insisté sur le rôle de la femme sahraouie dans la lutte de son peuple pour son droit à l'autodétermination, soulignant que "la femme sahraouie assume toutes les tâches, même celles relatives à la sécurité et la surveillance dans les camps de réfugiés". Concernant la visite de Ban ki-moon dans la région, elle a estimé que "l'heure est aux faits et actes, et ce n'est pas aux paroles et discours", affirmant que le peuple sahraoui ne pourra pas supporter cette situation de "violences et d'exactions marocaines au vu et au su de la communauté internationale sans qu'elle ne bouge le petit doigt". Même constat, Mme Lemate Slamate Lala, mère de trois enfants dont un bébé de quelques mois, a affiché sa "détermination de rester engagé aux côtés de l'homme sahraoui, n'excluant pas l'option militaire qui est la solution pour résoudre ce conflit qui a fait trop de mal aux Sahraouis". "On veut voir nos enfants grandir dans leur pays, et ne soient pas otages de l'occupant marocain et de ses alliés notamment la France", a-t-elle noté. Nadjem Ould Salem, a de son côté, affirmé que "la solution est seulement entre les mains des Sahraouis, c'est à eux de décider de leur avenir", appelant la communauté internationale à "faire plus de pression et profiter de l'isolement actuel du Maroc pour libérer la dernière colonie d'Afrique". L'Algérie rappelle sa position constante C'est aujourd'hui qu'effectuera le Secrétaire général des Nations Unis sa visite en Algérie, la première qu'il consacre à la question sahraouie, le ministre des Affaires maghrébines, de l'Union africaine et de la Ligue des Etats arabes, Abdelkader Messahel, a rappelé la position constante de l'Algérie sur ce sujet. En recevant l'envoyé personnel du secrétaire général de l'ONU pour le Sahara occidental, Christopher Ross, Messahel a rappelé la constance de la position algérienne sur le sujet. Alger reste en faveur d'un règlement politique "juste et durable" qui pourvoie à l'autodétermination du peuple du Sahara Occidental. M. Messahel a souligné "la position constante de l'Algérie pour un règlement politique juste et durable qui pourvoie à l'autodétermination du peuple sahraoui", indique un communiqué du ministère des Affaires étrangères. M. Messahel a réitéré également l'appui de l'Algérie aux efforts du secrétaire général de l'ONU et de son envoyé personnel pour relancer le processus de règlement politique de la question du Sahara Occidental. Il a situé la responsabilité "première et entière" des Nations Unies dans le règlement définitif de ce conflit sur la base du respect du droit international et de la doctrine des Nations unies en matière de décolonisation. Le ministre a tout particulièrement insisté sur "le droit du peuple du Sahara occidental à s'exprimer librement sur le devenir de son territoire à travers un référendum d'autodétermination, tel que prévu par les résolutions pertinentes des Nations unies". Il a également appelé les Nations unies à "prendre en considération la position de l'Union africaine ainsi que celle, désormais, adoptée par les institutions de l'UE sur la question". Le Sahara occidental, pour rappel, est une ex-colonie espagnole contrôlée par le Maroc. Rabat propose une large autonomie sous sa souveraineté pour ce vaste territoire de moins d'un million d'habitants tandis que le Polisario, réclame un référendum d'autodétermination. Arrivée à bord d'un hélicoptère et accompagné d'une délégation onusienne parmi laquelle se trouve son Envoyé personnel au Sahara occidental, Christopher Ross, M. Ban a été accueilli par des Sahraoui brandissant des banderoles et scandant des slogans appelant à l'"organisation, sans attendre, du référendum d'autodétermination du peuple sahraoui" en lutte contre l'occupant marocain. C'était la revendication principale des réfugiés sahraouis, qui avaient, longtemps, attendu la visite de M. Ban dans la région pour insister sur la responsabilité de la communauté internationale et la nécessité d'un règlement urgent du conflit qui dure depuis plus de quarante ans, à travers, ontils scandé, "la relance des négociations sérieuses et responsables". Réitérant l'engagement du Front Polisario, leur représentant légitime, dans le processus du règlement onusien, les Sahraouis ont également brandi des portraits de Sahraouis victimes des pratiques inhumaines et de la transgression des droits de l'Homme dans les territoires occupés, par le régime marocain. "Les Sahraouis attendent que Ban Ki-moon constate de ses propres yeux les violations et les exactions marocaines pour réagir et assumer sa responsabilité", a déclaré à l'APS Mohamed, un réfugié sahraoui. Pour sa part, son compatriote, Hammad Ali, a lancé : "Nous voulons notre indépendance et retrouver définitivement notre terre... notre patrie". L'espoir d'Ali est, également, que cette visite du responsable de l'Onu soit "un tournant décisif dans le règlement du conflit du Sahara occidental". M. Ban a été également accueilli à son arrivée à Smara par les autorités locales, alors qu'un détachement de l'armée de libération sahraouie (ALS) lui rendait les honneurs. A la faveur de ce déplacement, le chef de l'ONU s'entretiendra avec le président sahraoui et secrétaire général du Front Polisario, Mohamed Abdelaziz, et se rendra à Bir Lahlou (territoires sahraouis libérés) pour rencontrer la Mission de l'ONU pour l'organisation du référendum au Sahara occidental (Minurso). Le Secrétaire général de l'ONU avait entamé sa tournée dans la région par Nouakchott où il a rencontré vendredi des hauts responsables mauritaniens, à leur tête le président, Mohamed Ould Abdel Aziz. Selon le programme établi, le SG de l'ONU se rendra ensuite en Algérie les 6 et le 7 mars, où il aura des discussions avec plusieurs hauts responsables, selon des sources onusiennes. L'ONU doit assumer ses responsabilités "Nous sommes un peuple pacifique, Nous avons accompagné les Nations Unies en acceptant notamment le cessez-le feu et nous nous sommes conformés avec la légalité internationale. Nous avons tenté toutes les voies possibles pour exercer notre droit légitime à l'autodétermination», a dit jeudi Mohammed Salem Bedda, enseignant d'espagnole au primaire Mahfoudh-Ali-Biba, regrettant l'"échec de l'Onu dans sa mission". Il s'est indigné, par ailleurs, des agissements de l'occupant marocain qui continue dans sa politique colonialiste en violant toutes les résolutions onusiennes. "A mon avis, ce qui est pris par la force, ne se récupère que par la force", a insisté M. Bedda, dans une déclaration à l'APS, citant le révolutionnaire sahraoui et martyr, Mustapha El-Ouali. "Par le fusil, on aura notre indépendance", a-t-il crié, en affichant tout son enthousiasme à "reprendre les armes contre l'occupant marocain, si la situation reste inchagée dans le conflit sahraoui". "Le grand perdant dans cette équation d'injustice sont les Sahraouis, les réfugiés comme ceux qui sont dans les territoires occupés", a-t-il encore dit. Concernant la visite du Secrétaire général de l'ONU, Ban ki-moon, attendu samedi dans les camps des réfugies, M. Salem Bedda, constatant que "ce déplacement intervient à quelques mois de le fin du mandat de M. Ban à la tête de l'ONU". Il a, dans le même ordre d'idées, rappelé que "tous les prédécesseurs du chef de l'Onu avaient fait la même chose (à cette étape de leur mandat)". Apropos de la Mission de l'ONU pour l'organisation d'un référendum au Sahara occidental (Minurso), l'enseignant a affirmé que cette institution doit s'élargir à la surveillance des droits de l'Homme au Sahara occidental. La lutte armée toujours à l'ordre du jour Plusieurs autres Sahraouis ont indiqué à l'APS que l'option militaire est toujours à l'ordre du jour, exprimant, toutefois leur souhait de voir Ban Ki-moon relancer d'une manière claire et concrète les négociations pour le règlement du conflit opposant le Maroc au Front Polisario. "La communauté internationale doit bouger pour soutenir notre cause, juste et légitime, et dénoncer les violations et agressions marocaines", a appelé M. Bedda, ajoutant que "l'élan de solidarité exprimé récemment envers notre cause nous encourage à aller de l'avant". Il n'a pas écarté, toutefois, l'option militaire, expliquant que "le roi du Maroc ne connaît pas le peuple sahraoui parce qu'il n'est pas rentré en conflit armé avec nous, contrairement à son père (Hassan II) qui a bien connu cette époque", a-t-il souligné. Il a, dans ce contexte rappelé que "Hassan II avait accepté le cessez-le-feu parce qu'il a constaté la volonté, l'engagement et la détermination des Sahraouis". Pour sa part, Mme Saadani Ambrick Al- Kharachi, a indiqué que "M. Ban doit dire la vérité au peuple sahraoui et vite trouver une solution à ce conflit qui n'a que trop duré". "Après plus de 40 ans de colonisation et plus de 25 ans du cessez-le-feu, la situation est presque immobile", s'est-elle indignée, brandissant la menace d'un "retour à l'option militaire". "Ban Ki-moon doit apporter ce message tant attendu, pour relancer les négociations et punir la partie qui entrave ce processus avec le soutien de quelques pays occidentaux, surtout la France". Elle s'est dite "prête à prendre les armes aux côtés des hommes pour aller combattre dans les champs de bataille pour l'indépendance de son pays". Pour sa part, Mme Makhouta Mohammed Cheikh, a insisté sur le rôle de la femme sahraouie dans la lutte de son peuple pour son droit à l'autodétermination, soulignant que "la femme sahraouie assume toutes les tâches, même celles relatives à la sécurité et la surveillance dans les camps de réfugiés". Concernant la visite de Ban ki-moon dans la région, elle a estimé que "l'heure est aux faits et actes, et ce n'est pas aux paroles et discours", affirmant que le peuple sahraoui ne pourra pas supporter cette situation de "violences et d'exactions marocaines au vu et au su de la communauté internationale sans qu'elle ne bouge le petit doigt". Même constat, Mme Lemate Slamate Lala, mère de trois enfants dont un bébé de quelques mois, a affiché sa "détermination de rester engagé aux côtés de l'homme sahraoui, n'excluant pas l'option militaire qui est la solution pour résoudre ce conflit qui a fait trop de mal aux Sahraouis". "On veut voir nos enfants grandir dans leur pays, et ne soient pas otages de l'occupant marocain et de ses alliés notamment la France", a-t-elle noté. Nadjem Ould Salem, a de son côté, affirmé que "la solution est seulement entre les mains des Sahraouis, c'est à eux de décider de leur avenir", appelant la communauté internationale à "faire plus de pression et profiter de l'isolement actuel du Maroc pour libérer la dernière colonie d'Afrique". L'Algérie rappelle sa position constante C'est aujourd'hui qu'effectuera le Secrétaire général des Nations Unis sa visite en Algérie, la première qu'il consacre à la question sahraouie, le ministre des Affaires maghrébines, de l'Union africaine et de la Ligue des Etats arabes, Abdelkader Messahel, a rappelé la position constante de l'Algérie sur ce sujet. En recevant l'envoyé personnel du secrétaire général de l'ONU pour le Sahara occidental, Christopher Ross, Messahel a rappelé la constance de la position algérienne sur le sujet. Alger reste en faveur d'un règlement politique "juste et durable" qui pourvoie à l'autodétermination du peuple du Sahara Occidental. M. Messahel a souligné "la position constante de l'Algérie pour un règlement politique juste et durable qui pourvoie à l'autodétermination du peuple sahraoui", indique un communiqué du ministère des Affaires étrangères. M. Messahel a réitéré également l'appui de l'Algérie aux efforts du secrétaire général de l'ONU et de son envoyé personnel pour relancer le processus de règlement politique de la question du Sahara Occidental. Il a situé la responsabilité "première et entière" des Nations Unies dans le règlement définitif de ce conflit sur la base du respect du droit international et de la doctrine des Nations unies en matière de décolonisation. Le ministre a tout particulièrement insisté sur "le droit du peuple du Sahara occidental à s'exprimer librement sur le devenir de son territoire à travers un référendum d'autodétermination, tel que prévu par les résolutions pertinentes des Nations unies". Il a également appelé les Nations unies à "prendre en considération la position de l'Union africaine ainsi que celle, désormais, adoptée par les institutions de l'UE sur la question". Le Sahara occidental, pour rappel, est une ex-colonie espagnole contrôlée par le Maroc. Rabat propose une large autonomie sous sa souveraineté pour ce vaste territoire de moins d'un million d'habitants tandis que le Polisario, réclame un référendum d'autodétermination.