L'Institut Cervantès compte ouvrir une annexe à Tindouf. Une information donné la fin de la semaine dernière par le secrétaire général de l'Institut Cervantès à Madrid, Rafael Rodriguez Ponga en visite en Algérie à l'occasion du 400e anniversaire de la mort du célèbre écrivain espagnol. Rappelant que l'institution qu'il dirige était présente dans trois villes algériennes à savoir Alger, Oran, et Mostganem, L'Institut Cervantès compte ouvrir une annexe à Tindouf. Une information donné la fin de la semaine dernière par le secrétaire général de l'Institut Cervantès à Madrid, Rafael Rodriguez Ponga en visite en Algérie à l'occasion du 400e anniversaire de la mort du célèbre écrivain espagnol. Rappelant que l'institution qu'il dirige était présente dans trois villes algériennes à savoir Alger, Oran, et Mostganem, M. Rodriguez Ponga, annonce que l'ouverture d'un autre centre à Tindouf était sérieusement envisagée vu le nombre d'hispanophones implantés dans la région. Il s'agit essentiellement des réfugiés sahraouis qui ont trouvé refuge dans ces camps de Tindouf dès le début 1976. Le Sahara occidental, avant sa colonisation par le Maroc, a été administré par l'Espagne de 1884 au retrait de 1975. Aussi, il est naturel que Rodriguez Ponga explique le choix de Tindouf par la présence d'une population hispanophone qui renforce sa conviction sur l'utilité de cette démarche. "Dans cette région, beaucoup de personnes parlent la langue espagnole. Nous croyons qu'il est possible de faire des études sur la culture et la langue espagnoles au centre universitaire de Tindouf", a-t-il encore précisé. M. Rodriguez Ponga, annonce que l'ouverture d'un autre centre à Tindouf était sérieusement envisagée vu le nombre d'hispanophones implantés dans la région. Il s'agit essentiellement des réfugiés sahraouis qui ont trouvé refuge dans ces camps de Tindouf dès le début 1976. Le Sahara occidental, avant sa colonisation par le Maroc, a été administré par l'Espagne de 1884 au retrait de 1975. Aussi, il est naturel que Rodriguez Ponga explique le choix de Tindouf par la présence d'une population hispanophone qui renforce sa conviction sur l'utilité de cette démarche. "Dans cette région, beaucoup de personnes parlent la langue espagnole. Nous croyons qu'il est possible de faire des études sur la culture et la langue espagnoles au centre universitaire de Tindouf", a-t-il encore précisé.