La Constitution révisée est officiellement entrée en vigueur. Le président de a République, Abdelaziz Bouteflika, a, en effet, promulgué hier la loi n° 16-01 du 6 mars 2016, portant révision de la Constitution. La Constitution révisée est officiellement entrée en vigueur. Le président de a République, Abdelaziz Bouteflika, a, en effet, promulgué hier la loi n° 16-01 du 6 mars 2016, portant révision de la Constitution. Cette Constitution amendée , qui a été adoptée par les deux Chambres du Parlement le 7 février dernier, consacre la volonté du chef de l'Etat de faire avancer davantage l les droits de la femme algérienne et ce dans le cadre de la promotion de son rôle dans la société. « L'Etat oeuvre à promouvoir la parité entre les homes et les femmes sur le marché de l'emploi » stipule l'article 31 ter qui précise dans un alinéa que « l'Etat encourage la promotion de la femme aux responsabilités dans les institutions et administrations publiques ainsi qu'au niveau des entreprises». Cette nouvelle avancée vient ainsi confirmer celles réalisées par le passé. En effet il y'a juste quelques années, le chef de l'Etat avait, lors d'un autre amendement de la Constitution, consacré les droits politiques de la femme algérienne. « L'Etat oeuvre à la promotion des droits politiques de la femme en augmentant ses chances d'accès à la représentation dans les assemblées élues » stipule l'article 31 bis de la Constitution amendée en 2008. Il s'agit, indéniablement, d'une reconnaissance constitutionnelle qui consacre le renforcement de la participation des femmes aux assemblées élues, et contribue à la promotion de l'égalité entre les sexes Aussitôt après, une loi organique est venue préciser les termes de cette fameuse nouvelle disposition constitutionnelle qui a été considérée à l'époque comme « révolutionnaire ». Cette loi a en effet permis aux femmes d'être présentes en force dans les assemblées élues, l'APN et les assemblées locales (APC , APW). Ainsi le 1/3 des sièges de ces assemblées leur revenait de droit. Dans ce cadre le 10 mai 2012 marque une date cruciale dans l'histoire de la femme algérienne. Les élections législatives organisées en ce jour ont en effet permis à 146 femmes d'accéder à l'Assemblée populaire nationale (APN). Pour se rendre compte de cette considérable avancée il faut dire que cette représentation etait minime dans la précédente assemblée. Au cours de cette mandature, soit de 2007 à 2012, il n'y avait que 29 femmes députés, soit seulement 7,7 de l'ensemble des élues de la Chambre basse du Parlement. C'est dire l'importance de cette avancée. Car avec cette considérable présence féminine dans cette assemblée élue l'algérie est parvenue a occuper le premier rang dans le monde arabe et le 28ème rang à l'échelle internationale en matière de la représentation des femmes aux parlements nationaux. Cette avancée est la conséquence de la loi organique du 12 janvier 2012 adoptée en application de l'article 31 bis de la Constitution, amendée en 2008. La présence des femmes sur les listes électorales a été pour la première fois un enjeu central dans ces élections législatives, un enjeu qui se situe à la confluence des attentes des femmes et de la volonté du pouvoir de promouvoir la représentation politique féminine. L'idée sous-jacente est qu'une forte présence des femmes dans les assemblées élues est à la fois la clé de leur autonomie et l'accomplissement du rôle de l'Etat dans la consolidation du principe d'égalité. Depuis les femmes n'ont eu de cesse de s'impliquer un peu plus dans la vie politique nationale et de gagner des galons, même si le chemin reste encore long en matière de représentation de la femme dans les postes politiques et gouvernementaux. Cette Constitution amendée , qui a été adoptée par les deux Chambres du Parlement le 7 février dernier, consacre la volonté du chef de l'Etat de faire avancer davantage l les droits de la femme algérienne et ce dans le cadre de la promotion de son rôle dans la société. « L'Etat oeuvre à promouvoir la parité entre les homes et les femmes sur le marché de l'emploi » stipule l'article 31 ter qui précise dans un alinéa que « l'Etat encourage la promotion de la femme aux responsabilités dans les institutions et administrations publiques ainsi qu'au niveau des entreprises». Cette nouvelle avancée vient ainsi confirmer celles réalisées par le passé. En effet il y'a juste quelques années, le chef de l'Etat avait, lors d'un autre amendement de la Constitution, consacré les droits politiques de la femme algérienne. « L'Etat oeuvre à la promotion des droits politiques de la femme en augmentant ses chances d'accès à la représentation dans les assemblées élues » stipule l'article 31 bis de la Constitution amendée en 2008. Il s'agit, indéniablement, d'une reconnaissance constitutionnelle qui consacre le renforcement de la participation des femmes aux assemblées élues, et contribue à la promotion de l'égalité entre les sexes Aussitôt après, une loi organique est venue préciser les termes de cette fameuse nouvelle disposition constitutionnelle qui a été considérée à l'époque comme « révolutionnaire ». Cette loi a en effet permis aux femmes d'être présentes en force dans les assemblées élues, l'APN et les assemblées locales (APC , APW). Ainsi le 1/3 des sièges de ces assemblées leur revenait de droit. Dans ce cadre le 10 mai 2012 marque une date cruciale dans l'histoire de la femme algérienne. Les élections législatives organisées en ce jour ont en effet permis à 146 femmes d'accéder à l'Assemblée populaire nationale (APN). Pour se rendre compte de cette considérable avancée il faut dire que cette représentation etait minime dans la précédente assemblée. Au cours de cette mandature, soit de 2007 à 2012, il n'y avait que 29 femmes députés, soit seulement 7,7 de l'ensemble des élues de la Chambre basse du Parlement. C'est dire l'importance de cette avancée. Car avec cette considérable présence féminine dans cette assemblée élue l'algérie est parvenue a occuper le premier rang dans le monde arabe et le 28ème rang à l'échelle internationale en matière de la représentation des femmes aux parlements nationaux. Cette avancée est la conséquence de la loi organique du 12 janvier 2012 adoptée en application de l'article 31 bis de la Constitution, amendée en 2008. La présence des femmes sur les listes électorales a été pour la première fois un enjeu central dans ces élections législatives, un enjeu qui se situe à la confluence des attentes des femmes et de la volonté du pouvoir de promouvoir la représentation politique féminine. L'idée sous-jacente est qu'une forte présence des femmes dans les assemblées élues est à la fois la clé de leur autonomie et l'accomplissement du rôle de l'Etat dans la consolidation du principe d'égalité. Depuis les femmes n'ont eu de cesse de s'impliquer un peu plus dans la vie politique nationale et de gagner des galons, même si le chemin reste encore long en matière de représentation de la femme dans les postes politiques et gouvernementaux.