Quelques jours après avoir provoqué un incident avec deux journalistes de la chaîne de télévision privée Beur TV qui ont été chassés, par les agents de sécurité d'une conférence de presse organisée par Djezzy à l'occasion de son 14e anniversaire, la directrice générale de l'opérateur de téléphonie mobile Djezzy,Ghada Gebara, quitte l'Algérie pour rejoindre le siège de la maison-mère russe Vimpelcom Ltd. Quelques jours après avoir provoqué un incident avec deux journalistes de la chaîne de télévision privée Beur TV qui ont été chassés, par les agents de sécurité d'une conférence de presse organisée par Djezzy à l'occasion de son 14e anniversaire, la directrice générale de l'opérateur de téléphonie mobile Djezzy,Ghada Gebara, quitte l'Algérie pour rejoindre le siège de la maison-mère russe Vimpelcom Ltd. (VIP), basée à Amsterdam, a annoncé hier un communiqué de l'entreprise. Cette information relayée par le site TSA, n'a pas été détaillée et le nom de son successeur n'a pas été divulgué. Ghada Gebara n'a pourtant pris la tête de l'opérateur qu'en juin 2015, soit il y a moins de 9 mois. Elle avait succédé à Philipp Tohmé, quelques semaines après que l'entreprise ait présenté de très mauvais chiffres financiers pour l'année 2014. La question qui reste en suspend : les deux DG qui ont été précédemment présentés comme étant de grands diplomés, et ayant un grand sens de la gestion et de l'entrepreunariat, ont-ils été victimes du dictat de Vincenzo Nesci ? Ont-ils tous deux été à chaque fois des bouc-émissaires dans des affaires qui les dépassent ? Ou bien seulement ont été en conflit avec le président de Djezzy ? La seconde question à soulever est de savoir pourquoi l'Etat algérien qui est venu au secours de l'entreprise en faillite en achetant 51% des parts n'a pas le droit de regard pour désigner un DG, à l'image de l'entreprise et des espérances économiques que nous voulons atteindre avec la nouvelle politique, sachant au passage que les deux, le Dg et le président de Djezzy, touchent chacun plus de 10 millions de DA par mois, soit plus de 20 fois le salaire du P-dg de Sonatrach. (VIP), basée à Amsterdam, a annoncé hier un communiqué de l'entreprise. Cette information relayée par le site TSA, n'a pas été détaillée et le nom de son successeur n'a pas été divulgué. Ghada Gebara n'a pourtant pris la tête de l'opérateur qu'en juin 2015, soit il y a moins de 9 mois. Elle avait succédé à Philipp Tohmé, quelques semaines après que l'entreprise ait présenté de très mauvais chiffres financiers pour l'année 2014. La question qui reste en suspend : les deux DG qui ont été précédemment présentés comme étant de grands diplomés, et ayant un grand sens de la gestion et de l'entrepreunariat, ont-ils été victimes du dictat de Vincenzo Nesci ? Ont-ils tous deux été à chaque fois des bouc-émissaires dans des affaires qui les dépassent ? Ou bien seulement ont été en conflit avec le président de Djezzy ? La seconde question à soulever est de savoir pourquoi l'Etat algérien qui est venu au secours de l'entreprise en faillite en achetant 51% des parts n'a pas le droit de regard pour désigner un DG, à l'image de l'entreprise et des espérances économiques que nous voulons atteindre avec la nouvelle politique, sachant au passage que les deux, le Dg et le président de Djezzy, touchent chacun plus de 10 millions de DA par mois, soit plus de 20 fois le salaire du P-dg de Sonatrach.
